A la ferme ( partie N°1)

Marylou venait de fêter ses 19 ans, sa mère Martine, qui avait rencontré récemment un homme dont elle s'était follement amourachée, avait décidé de placer sa fille pour les 2 mois d'été dans une ferme, afin d'aider aux travaux ménagers..... etc.
Martine connaissait l'agriculteur depuis son enfance, et se rendait encore chez lui afin d'acheter ses produits, tellement meilleurs qu'en grande surface.
Lors de son dernier passage, il lui avait appris l'hospitalisation de Raymonde, son épouse, et depuis le malheureux homme débordé par le travail ne savait plus ou donner de la tête. Très vite, elle avait proposé que Marylou vienne l'aider pendant l'été, proposition acceptée.
Marylou elle, était folle de rage. Elle avait menacé, hurlé, mais rien n'y avait fait, sa mère intransigeante et surtout ravie d'être débarassée de cette fille encombrante, l'avait déposé avec 2 valises, le dernier jour de juin, à 18h00.

- Je te récupère, le 31 août, ma chérie, cela nous fera du bien à toutes les 2, de souffler un peu. Aide bien, Lucien ! Bye

La voiture démarre en trombe, dans des klaxonnements intempestifs.

Marylou prend la route du chemin de terre, caillouteux, elle se tord les pieds, une valise dans chaque main, maudissant sa mère. Enfin elle arrive à la ferme. Elle apperçoit un vieux monsieur en bleu de travail.

- S'il vous plait, je cherche un Monsieur Lucien
- Ben c'est moi que tu cherches, t'es Marylou, j'crois bien ?
- Oui
- J'vais t'montrer ta chambre, et tu vas v'nir m'aider......

Elle suit le vieil homme, en marmonnant..
Dans la maison, rêgne une belle pagaille, il pénètre dans une chambre au mobilier réduit : une armoire et un grand lit. La tapisserie est horrible, démodée. La chambre sent le renfermé.

Lucien l'observe de dos, jolie p'tit lot, pense t-il !  Un tee shirt blanc lui colle au corps, et un jean moulant montre ses formes.
Une fille comme on les aime à la campagne, bien charpentée, rien à voir avec ses gamines maigrichonnes. Ah lala s'il était plus jeune.......

- Range la maison, fait à manger, moi  j'vais nourrir les bêtes.

Marylou est stupéfaite, elle n'est pas sa bonniche à ce vieux con !
Pourtant elle mets de l'ordre, fait la vaisselle, sort les poubelles.

Le voilà qui revient. Il s'assoit devant la télé.

- T'as fait quoi à manger ?

Elle en a déjà marre, elle est fatiguée, elle a chaud, se sent sale.

- Rien
- T'as donc pas faim ! Alors au lit, tu mangeras mieux demain...

Marylou est folle de rage et file dans son horrible chambre en claquant la porte.
Sans même prendre une douche, elle enfile sa chemise de nuit, cherche son portable et se rend à l'évidence, sa mère lui a dérobé en douce. 

- Comment tu as osé me faire ça, maman !

 Il est 21h00, elle a faim et se dit que jamais, elle ne pourra dormir si tôt. Pourtant le sommeil la gagne et très vite elle s'endort.

Lucien a avalé un fond de soupe, avec du pain et du fromage. Il a encore en tête le tee shirt qui collait aux seins de la gamine, bon sang, elle en a une belle paire.
Doucement sous la table, il se caresse.
Depuis si longtemps qu'il a pas touché sa femme. Là, il bande. Sans bruit, il ôte ses vêtements, son sexe d'homme de 61 ans a retrouvé une vigueur oubliée.
Il écoute devant la porte, pas de bruit, hormis un léger ronflement, il ouvre doucement, et entre.
Elle dort, il fait chaud, elle est sur le ventre, au dessus du drap, sa chemise de nuit relevée, offrant un fessier impressionnant.
Il meurt d'envie de la toucher, mais s'abstient, il se masturbe devant elle, l'envie est si forte, qu'il jouit vite,  le sperme s'écoule sur le drap.
Apaisé, il quitte la chambre.
Marylou dort toujours, à quelques centimètres de sa tête, de longues traînées de sperme.

Le lendemain est une journée affreuse, la jeune fille n'en peux plus, elle n'arrête pas de trimer.  Elle veux rentrer chez elle, et profite d'un moment ou elle est seule en début de soirée, pour appeler sa mère, du fixe qui est dans le salon.
Personne, chez elle.... Elle tente le portable de sa mère, juste le répondeur  indiquant qu'elle sera injoignable pour les 2 prochains mois.
A ce moment là,  Lucien arrive pour souper et la voit le téléphone en main, furieux, il débranche tout et part cacher l'appareil

- Ta mère t'a laissé pour 2 mois, faut t'y faire ma p'tite, elle a mieux à faire que t'avoir à ses basques, allez on mange, sert moi !

La pauvre Marylou, ravale ses larmes et sert le vieil homme qui ne cesse de la critiquer.

- Ben tu sais pas faire à manger, c'est juste bon pour mes cochons, ça ! dit il la mine dégoûtée, allez la vaisselle et tu vas te coucher

Elle ne réagit même pas, à quoi bon, de toute façon, que faire ici, elle tentera de partir demain.

Une fois, tout rangé, elle disparaît dans sa chambre. Épuisée, elle s'endort rapidement malgré qu'il soit si tôt.
Comme la veille, Lucien patiente 1 heure, puis se déshabille et le sexe en main, la rejoint sans bruit. Il entend ses doux ronflements derrière la porte, il entre à pas de loup. Elle est sur le dos, cette fois, ses seins pointent sous la chemise de nuit de façon arrogante

- La garce, se dit il en se caressant

Puis lentement, il tente de relever la liquette, pour apercevoir sa toison, elle est très poilue, comme il aime. Il respire plus fort, il a tellement envie, lui qui ne se touchait plus depuis si longtemps. Il regarde le visage de la jeune fille, la bouche entrouverte. Il se retient pour ne pas la toucher, sa respiration s'accélère, il se masturbe.
Dans son sommeil, Marylou se rend compte d'une présence, elle ouvre les yeux et voit le vieux qui se branle

- Non, non,  dégagez, vous êtes fou, vieux cochon

Lucien ne se contrôle plus, il l'enjambe, s'empare de ses chevilles, lui lève les jambes avec force, il est fort, elle a beau se démener, elle est coincée. De sa main valide, il dirige son sexe bien dur et la pénètre d'un seul coup

- Bon sang, Ohhhh que t'es bonne, ohhhhhh laisse moi faire, t'as déjà connu la queue, je vois ! Salopeeee

Elle pleure de honte, de dégoût. L'homme au dessus d'elle est répugnant, malgré son âge avancé, il est très fort, musclé, elle ne résiste plus. Il s'agite dans sa chatte, soufflant, quand une grimace se profile sur son visage basané, ridé. Il jouit en elle.
Enfin il libère ses jambes et s'allonge sur elle, tentant de récupérer, le souffle haletant.

- Cesse de couiner, t'étais pas vierge et ta mère m'a expliqué que t'avais le feu au cul à courir derrière tous les garçons, pour sûr qu'elle avait la trouille que tu lui piques son jules.... Allez roupille, demain y a du boulot !

Elle ne peux plus fermer l'oeil de la nuit, tant elle appréhende qu'il réapparaisse, mais plus de bruit dans la maison, au petit matin, elle finit par s'endormir épuisée.

- Debout là, ben quelle fainéasse ! l'es 5 heures...

Elle se lève, les yeux enflés d'avoir si peu dormi et tant pleuré.
Sans un regard pour l'homme, qui d'ailleurs l'ignore également, elle prépare le petit déjeuner. Avalé en quelques minutes, il rote bruyamment avant de quitter la ferme pour travailler. Mais en prenant soin de fermer la porte à clé.
Résignée, elle travaillera sans relâche, priant que sa mère ne change d'avis et vienne la rechercher.
La journée s'écoule monotone, et le soir si angoissant arrive rapidement. Elle se couche, le drap remonté jusqu'au menton malgré la chaleur de l'été. Pas un bruit, hormis le ronronnement de la télé.
Éreintée, elle s'endort malgré l'angoisse qui l'étreint.

Lucien, dans son fauteuil ne peut se concentrer sur le programme TV, il ne pense qu'à elle, son esprit est perturbé depuis l'arrivée de cette gamine, même au boulot, il peine à s'occuper de son travail, sans cesse il revoit ses gros seins laiteux, ses grosses fesses bien fermes qui ont l'air si douces. Il repense encore à hier soir quand il la pénétrait comment c'était bon, sa bite serrée dans sa chatte chaude et humide. Il bande à nouveau, sa main caresse son sexe doucement, il a envie de la prendre encore. Il ôte ses vêtements et se rend dans la chambre.
Il fait lourd cette nuit, inconsciemment elle a  enlevé le drap, il voit qu'elle a laissé sa culotte, enfin si on peut appeler ça une culotte, comment une fille peut mettre un truc pareil, juste un un petit bout de tissu triangulaire qui laisse dépasser les poils pubiens. Il remarque une auréole, est ce que cette cochonne a envie elle aussi, est ce une trace d'urine..... Il se masturbe plus fort. 
Les seins de Maylou pointent sous le tee shirt, provocante sans le savoir.

Doucement sans bruit, avec une agilité surprenante pour ses 61 ans, il enjambe la jeune femme, qui se réveille.

- Non, non... Laissez moi, vieux vicelard
- Chut, tu vas la fermer ou quoi dit il rageusement, laisse toi faire ajoute t-il en lui relevant les bras au dessus de la tête d'une main, l'autre s'appliquant à arracher le string,
- S'il vous plaît !!!! gémit elle doucement

Ça y est le string n'existe plus, son doigt caresse la fente qu'il trouve trempée, il la caresse un peu avant de sentir son doigt

- Mmmm tu sens la femme qui a envie
- Vous êtes fou

Sa queue en main, il s'engage dans la chatte mouillée, un vrai délice ce fourreau serré et humide, il a décidé de bien prendre son temps, pas comme hier soir. Il relève la nuisette libérant les seins aux tétons érigés, sa bouche avide se jette sur un téton et l'aspire.
Lucien s'agite en elle doucement, sa queue à la vigueur retrouvée est bien dure, il la lime, s'arrête parfois pour la téter et recommence à la baiser, qu'elle est bonne cette garce, il a fini par la lâcher, tel un pantin, elle se laisse faire, elle ferme juste les yeux pour ne pas voir son visage hideux. Il s'en fiche le vieux.
Il prend ses jambes pour les hisser sur ses épaules, il la sent profondément.

- Putain qu'est ce t'es bonne ? Tu la sens la bite au Lucien ?

Il accélère, sentant qu'il ne pourra plus tenir longtemps, ses couilles ne demandent qu'à être vidées, encore.
Marylou tressaille, il la voit qui souffle comme lui, il a même l'impression qu'elle aime se faire baiser. Il va jouir, là maintenant, remplir sa chatte encore une fois, mais elle le devance et le surprend en criant

- Ahhh  oh non pas ça.........Je....  Ahhhhhhh ahhhhhhhhhhh

Elle jouit grâce à sa queue, il en devient fou, la pilonne comme un dément et explose en elle,  en longs jets

-  Prends ça, Ahhhhh   je me vide.........

Marylou est dégoûtée, comment a t-elle pu !!!!!
Ce cochon est avachi  sur elle, son sperme coule en elle, et elle a joui comme une folle pour la 1ère fois de sa vie.

Ankylosé, il se laisse tomber à ses cotés.

- Ben dis donc ma fiote, t'as pris ton pied avec la bite du Lulu, je savais pas que ma queue faisait encore autant d'effet, ajoute t-il fier de lui

Elle ignore la réflexion.

- Je voudrais dormir, je suis fatiguée.
- Te gêne pas, je vais rester là, autant pas défaire mon lit et de rester dans le tien, on sait jamais, si une envie nous reprenait !! Dit il en lui faisant un clin d'oeil

Elle ferme les yeux, ne plus le voir....Elle déteste le savoir nu à ses cotés dans ce lit étroit. Il finit par s'endormir en ronflant bruyamment. Elle le toise avec haine, le corps flétri, mais encore musclé et bronzé.
La bouche ouverte, il bave un peu. Le crâne commence à se dégarnir. Puis les yeux se posent sur le sexe, comment a t-elle pu avoir du plaisir avec ça, la queue flasque repose, encore humide. Elle voit les couilles ridées de l'homme. Elle a une mine de dégoût.

Sans bruit, elle tente de se lever.

- Tu vas où comme ça ?
- Aux toilettes, je peux aller pisser, non ? Dit elle sèchement
- Hé là petite, faudrait voir à être polie, sinon tu pourrais le regretter ! Ouvre l'armoire, tu y trouveras un pot, tu fais d'dans comme ça, t'évite de quitter la chambre et grouille toi

Elle hausse les épaules, ne comprenant pas trop, elle ouvre l'armoire et trouve un seau avec un couvercle

- Mais je peux pas faire comme ça, ici ?
- Grouille toi, j'tai dit

Résignée, elle s'assoit sur le seau. L'homme amusé la regarde, les cuisses écartées et entend l'urine qui s'écoule.

- Je n'ai rien pour m'essuyer
- T'inquiètes,  vient là !

Rouge de honte, elle retourne au lit, l'entrejambe est humide se sperme et d'urine

- Enlève ce tee shirt, il fait chaud ici.

Elle obéit, que faire d'autre. Aussitôt, il se jette sur les tétons et lui suce les seins.  Puis les doigts de l'homme caresse la chatte trempée.

- 'tain t'es trempée, écarte bien tes cuisses, oui comme ça ! Tu sais, je voudrais bien encore bander pour toi, mais faut me laisser un peu de temps...! A mon âge..

Il s'agenouille devant sa chatte, puis s'allonge sur le ventre. Elle sent son souffle, puis sa langue qui la lèche doucement, écoeurée, dégoûtée, elle le laisse faire...

Puis l'homme se redresse un peu, il enlève quelque chose et le pose sur le drap, elle a une nausée, quand elle voit un dentier.
Mais vite le vieux reprend ses succions, sans "ses dents".
Rapidement, elle se rend compte que les caresse buccales ne la laisse pas insensible, c'est écoeurant, dégradant, mais merveilleusement bon.
Il la fouille, la boit, dans des bruits abjects. Puis il s'attarde sur son clito, elle n'en peux plus de ce traitement, sans s'en rendre compte, ses mains appuient comme pour les guider, sur la tête du vieux. Elle est tout comme lui au bord de l'asphyxie, puis son corps tressaille de la tête au pied, un orgasme terrible la submerge et l'atteint. Elle hurle comme une démente.

- Ouiiiiiiiii ouiiiiiii là !!!!!  Ahhhhhh c'est bonnnnnnnnn ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Puis elle ne bouge plus, épuisée, repue.
Lucien se relève, le visage trempé de mouille. La bouche sans dent, il sourit. Il réajuste les dents devant elle.

- Regarde dans quel état est ma queue, grâce à toi.
- Je veux dormir !!!!
- On dormira après, j'ai encore envie de te baiser...

Il bande à nouveau. Le sexe dressé est bien raide.

- Viens donc sur moi, t'es jeune, faut me laisser souffler un peu. Allez remue ton gros cul

Elle reprend conscience de l'horreur  de la situation
- S'il vous plaît, non
- Grouille tes fesses, merde

Elle l'enjambe et s'enfonce aussitôt sur la tige de l'homme. Bien trempée par la salive du vieux.
 Il caresse ses seins, lui triturant les tétons sans ménagement. Ses mains malaxent ses fesses.

- ' tain quel cul, mais quel cul, ouais vas y remue toi, bouge les tes mamelles, Mmm t'es bonne

Marylou ne l'entend pas, elle ne l'écoute pas.... Marylou a fermé les yeux pour ne plus le voir et elle se fait baiser.... Et bon sang, cette queue de vieux l'a rend dingue, à peine remue t'elle que déjà elle reconnaît les prémices de l'orgasme qui monte, c'est impensable, incroyable, mais ça recommence, elle va jouir encore... Elle en veux de sa queue

- Ouii   ouiiii vas y baise moi, je .....Ohhh que c'est bon ça vient Encore...ouiiiiii ahhhhhhhh ahhhhhhh

Lucien le souffle court, devient fou, cette gamine le rend fou, ses gros nibards qui s'agitent devant son visage cramoisi, ses fesses qu'il malaxe sans ménagement, il la voit qu'il se démène sur sa queue dure et ragaillardie. Il  voit son visage se transformer quand elle jouit, et hurle de plaisir, le corps s'arc-boutant sous l'orgasme, dans un dernier effort, il gicle une nouvelle fois, en criant

- Mmmmm salope, prends ça........ Ma salope t'es bonneeeeee 

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Mon premier blog

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

http://histoires-de-cul.over-blog.com/

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