SOUVENIR AU CAMPING ! ( partie 1)

J'étais à peine sortie de l'adolescence, quand je suis partie comme tous les ans, en camping avec mes parents.
Ceux ci dormaient dans leur caravane, pour ma part, ils avaient accepté que je dorme dans une petite tente ou j'avais mon intimité.

Mes parents et moi à l'époque avions beaucoup de difficulté à nous entendre, comme bien souvent en cette période transitoire de l'adolescence et de la jeune adulte, que je devenais.

En arrivant, il faisait un temps magnifique, je me souviens avoir insisté lourdement pour monter ma tente le plus rapidement possible avec mon père, afin de filer à la plage.

La journée s'est écoulée ensoleillée, joyeuse.

Le soir, nous avons été cordialement invité à prendre l'apéro chez nos voisins situés à coté.
Contrairement à nous, c'était la première année qu'ils venaient au camping de l'Ecume.
Le couple avait la quarantaine, et 1 enfant plus jeune que moi.
 
Je me rappelle comme l'air était doux. J'aurais préféré sortir avec les jeunes aux alentours, que je connaissais depuis quelques années, mais mes parents comme toujours avaient exigé, que je les accompagne.

Les voisins étaient gentils, les tournées d'apéro se succédaient à n'en plus finir, je voyais bien qu'ils commençaient tous à parler très fort, à rire pour un rien.
La femme était ni jolie, ni moche. Peut être trop maigre, son mari lui au contraire arboré un ventre rebondi qui ne le gênait guère vu sa tenue négligé, short et tee shirt trop étroit. Il était de grande taille néanmoins. Un "je ne sais quoi" me dérangeait dans son regard, pourtant il était souriant, aimable.

Nous avons réintégré caravane et tente, il était 23h50. J'étais fatiguée et heureuse enfin de me coucher.

6 jours, que nous étions là.
Ma mère et la voisine qui s'appelait Michèle ne se quittaient plus. Mon père lui, avait retrouvé ses copains de toujours et chacun profitait des vacances.
Les soirées se passaient autour de barbecue, les uns chez les autres.

Ce soir, nous retournions chez Michèle et Patrick.

Les regards de Patrick devenaient insistants, parfois même gênants. Personne ne voyait rien, était ce mon imagination ?

La soirée arrosée était joyeuse. On avait fini par danser au rythme de la musique endiablée pour finir, quelques slows.

- Allez Léa, viens danser, me dit Patrick, les yeux pétillants
- Non merci, j'ai pas envie, je suis un peu fatiguée
- A ton âge, ça va pas ! Allez ...

Il prend ma main et nous nous approchons des autres couples enlacés. Je me sens toute petite dans ses bras, son ventre nous gêne un peu, mais ça oblige à ne pas être trop collé.
Pourtant dès qu'il le peut, j'ai l'impression de sentir ses mains me frôler légèrement les fesses, puis je me raisonne, car les mains se replacent autour de ma taille. 

La musique s'achève, mais furtivement il chuchote à mon oreille :

- "Tu me rends fou" !

Et aussi vite, me libère pour plaisanter avec les autres.
Je suis stupéfaite, dois je en parler à mes parents, mais alors, les vacances seraient irrémédiablement gâchées, je connais mon père, un esclandre au camping et un départ immédiat.
 
Je décide de me taire.

Enfin nous rentrons nous coucher, je suis songeuse, perplexe et fatiguée.
Je m'endors aussitôt.

J'ai cette impression étrange d'être dans un mauvais rêve, j'ouvre les yeux et je vois Patrick, je m'apprête à crier, sa main bâillonne ma bouche

- "Chut, je ne vais pas te faire mal, rassure toi, je veux juste te parler, chuchote t-il, seulement te parler".

Et sa main se retire.

- "Mais qu'est ce que vous faites ici ? Vous imaginez si quelqu'un vous a vu entrer, votre femme"?
- Elle dort, tu sais quand elle picole comme ça, elle s'écroule ensuite.
- Et alors, je comprends pas, qu'est ce que vous faites sous ma tente en pleine nuit.
- Mais Léa, t'as pas entendu ce que je t'ai dit tout à l'heure ? Je pense qu'à toi, tout le temps, je te regarde à la plage, quand tu es avec tes amies. Je ne te quitte jamais des yeux. J'ai terriblement envie de toi, tu n'as pas envie d'un homme un vrai, pas comme tes copains boutonneux, ajoute t-il, en caressant mon bras nu
- S'il vous plaît Patrick, il faut sortir, je veux pas d'ennuis avec personne.
- Chut, réfléchie ma chérie, je pourrais t'apprendre plein de choses, je serais ton amant, ton professeur !

Sa main s'aventure sous  le duvet qui recouvre mon corps nu, je ne mets rien depuis mon arrivée, la  température sous la tente étant élevée. Il caresse mes seins, et ne cesse de me parler pour m'amadouer.

-  As tu déjà connu un homme, aimes tu faire l'amour ?

Mon esprit est confus, sa caresse est si douce, si agréable, j'ai effectivement couché avec un garçon du même âge que moi, ce qui ne m'a pas laissé un souvenir inoubliable, je me demande comment ça peut être avec un homme.
Sa bouche s'approche de mes tétons, il en prend un et le suce doucement. Je sens mon corps qui s'anime sous sa langue, je lui chuchote malgré tout de s'arrêter.

Mais l'homme n'a pas envie de s'arrêter, cette gamine, il la veut, depuis son arrivée qu'il la reluque, son sexe est dur, prêt à exploser, il se retient pour ne pas la prendre sans plus attendre. 

Sa bouche devient plus gourmande, ses mains pétrissent mes seins. Je le supplie encore de s'arrêter sans conviction, il m'embrasse à pleine bouche, je goûte sa langue, ça sent l'alcool. Sa main force mon intimité, il entre un doigt en moi, malgré moi, mes cuisses s'ouvrent. 
Il abaisse son short, dans l'obscurité, j'aperçois son sexe en érection, dans quelques secondes, nous aurons commis l'irréparable, je tente une dernière fois de me soustraire à son désir

- Patrick, non...
- Laisse moi faire

Il me grimpe dessus, et je sens sa queue qui va me pénétrer, il entre en moi facilement, tant je sens que la situation m'excite en même temps qu'elle me terrifie.
 
- T'es bouillante, Mmmm t'es bonne, laisse moi te baiser

Son souffle s'accélère alors que je sens son haleine avinée, son sexe me transperce profondément, je gémis sous les coups de queue.
 
- Viens sur moi, exige t-il !

Il s'allonge à ma place, son short disparaît, je monte sur lui, sa queue est luisante de mouille dans la nuit, je m'empale sur son sexe, et je m'agite comme une folle sur ce membre qui me baise.

- Mmm je n'en espérais pas autant, tu sais !

Je me doute bien de ce qu'il doit penser, mais sa bite me rend folle, je n'ai jamais eu d'orgasme auparavant mais là, une chose étrange m'envahit, un sentiment de bien être, c'est terriblement bon, je jouis pour la première fois de ma vie, sa bouche s'empare de la mienne, mon cri est atténué... De son coté, il tressaille et inonde mon vagin de sperme.
Je m'écroule à ses cotés sans dire un mot, encore surprise par la jouissance.

- Merci Léa, c'était un plaisir. Je dois hélas te laisser je ne voudrais pas que Michèle s'aperçoive que je ne suis plus dans le lit.

Sur ce, il m'embrasse chastement sur le front, et quitte ma tente.

Ma main se glisse sur ma chatte poisseuse, avec horreur je me rends compte qu'il n'a pas mis de capote, je prends la pilule, mais je ne sais rien de cet homme. Pourtant je lui suis reconnaissante de m'avoir fait connaître le plaisir, je me caresse doucement, très vite mes doigts qui sont trempés de sperme me donnent à nouveau du plaisir, et je finis par m'endormir.

Le lendemain matin, je me réveille très tôt et file à la  douche. Les voisins dorment encore, mes parents aussi.
Je passe la journée à la plage avec les copains.
Je ne peux m'empêcher plusieurs fois de scruter les alentours, pour voir si Patrick est là, mais nul part, je le vois.
Sans doute satisfait, je ne l'intéresse plus.

Un soirée costumée est organisée par le camping, bien qu'agréable, je suis agacée par l'indifférence totale de mon voisin, je préviens mes parents que je suis fatiguée et je rejoins ma tente, les laissant à leur soirée.

Pas moyen de dormir, la chaleur est toujours présente, et mes pensées ne cessent d'être préoccupées par cet homme. Quand  soudain des pas se rapprochent, Patrick est là.

- J'ai dit que j'étais mal fichu, les moules de ce midi. J'ai trop envie de toi, ma jolie, dit il en se déshabillant
- Mais personne ne vous a vu ?
- T'inquiètes, ne perdons pas de temps, j'ai eu envie de te baiser toute la journée, et toi ? J'ai bien vu que tu me cherchais aussi
- Vous étiez .... à la plage ?
- Mais oui, ma jolie, je veille à ce que tu restes sage, maintenant que tu es toute à moi, pour tout le mois.

Je ne sais pas si je dois être flattée ou irritée par cette phrase qui laisse supposer que je lui appartiens.

- Viens me sucer un peu, tu as déjà sucé une bite ?
- Oui une fois, mais je déteste le goût, je ne veux plus jamais avaler !
- Avec moi, tu apprendras à aimer, suce ....

Comment ose t-il me parler ainsi, je ne suis pas sa chose, ni sa femme.
Il vient sur moi, sa queue au dessus de ma bouche

- Allez prends la, ouvre ta jolie bouche, ma belle

Pour ne pas paraître trop nulle, j'ouvre grande ma bouche, son sexe se glisse dedans sans attendre, l'homme est lourd, le sexe grossit très vite, et rapidement j'ai du mal à respirer

- Mmmmm tu fais ça bien, Ouiiiii continue, je vais jouir une première fois et après je m'occuperais de toi, Mmmm continue comme ça, tu es une vraie petite salope pour ton âge, Ahhhh ça vient Léa, je vais cracher Ahhhh

Je m'agite, je respire avec peine, et je ne veux pas avaler mais trop tard, je sens les spasmes de jouissance de mon voisin, qui s'écoule par saccades dans ma bouche. Enfin il ne bouge plus, et se retire, me laissant respirer et ingurgiter son foutre.

- Tu m'as bien pompé, j'ai pas pu tenir longtemps, tu fais ça comme une pro

J'ignore la remarque, ne sachant si je dois bien la prendre ou le contraire

- Je vais m'occuper de toi, je vais te faire jouir, je ne suis pas égoïste, tu es un petit canon, si douce, dit il en me caressant les seins

J'ai son goût dans ma bouche, je déteste ça, des yeux, je cherche ma bouteille d'eau. Je vais pour la prendre, lui me devance
 
- Tu as soif, attends laisse moi te donner à boire

Il avale une grande goulée d'eau et s'approche de ma bouche, je comprends ce qu'il veut faire, il est fou. Mais il me tient fermement et force ma bouche qui s'entrouvre pour laisser couler le liquide que je reçois.

- Avale, ma cochonne

Je suis écoeurée, mais je ne dis rien.
Lui repose la bouteille et reprends ses caresses, il force mes cuisses à s'ouvrir

- J'ai envie de te bouffer la chatte, ouvre toi bien en grand, laisse toi aller

Jamais personne ne m'a léché à cet endroit si intime, je sens son nez qui me renifle, sa langue qui me lape, c'est agréable, je fais comme il dit, je ferme les yeux et le laisse faire, espérant quelque chose d'agréable.
Sa langue est douce, humide, il aspire mes lèvres, me pénètre, suce mon clito, je m'agite, je geins, je gémis de plaisir et au bout de quelques minutes de ce traitement délicieux, je sens comme la veille, un orgasme qui arrive, je crie de plaisir.

L'homme est ravi.

- Toi et moi, on va bien s'amuser... Tu vas devenir ma petite pute, j'ai encore plein de chose à t'apprendre. Demain après midi, rejoins moi à 14h sur la place du village, on ira se planquer dans les dunes, je connais un petit coin désert. Ne mets rien sous ta robe, sois nue. A demain, ajoute-il en me faisant comme la veille, une bise très chaste sur le front.

Je me retrouve seule.
Toutes sortes de questions fusent dans ma tête, vais je me rendre à ce RV, et si sa femme l'apprenait et mes parents.

Et pourtant, j'ai envie d'en savoir plus sur les plaisirs du sexe, seul ses paroles grossières me perturbent mais après tout, c'est peut être comme ça chez les adultes. A presque 17 ans, on ne sait pas grand chose encore.

Mes parents sont rentrés se coucher, je vois la lumière chez les voisins, puis tout s'éteint. J'ai si chaud, je décide d'enfiler un tee shirt et de rester un peu dans le jardin.

Pas le moindre bruit, pas un souffle d'air.
 
Pourtant un léger couinement attire mon attention, ça vient de la caravane  des voisins, doucement je m'avance vers le gémissement.

C'est bien ça.
De la fenêtre entrouverte, j'entends Michèle qui geint. J'ose aventurer ma tête, derrière leurs rideaux.

Patrick est entrain de lui faire l'amour, Malgré l'obscurité, je le vois chevauchant sa femme, immédiatement je suis jalouse, je les regarde faire, comme pour moi, j'entends distinctement l'homme qui insulte Michèle de grosse salope, alors j'avais raison, les hommes se conduisent comme ça, je ne dois plus être indignée.

Il se démène sur elle et finit par gémir à son tour, je comprends qu'il vient de jouir en elle. Puis sans un autre regard, il se tourne et dort.

Je m'éclipse sans bruit pour rejoindre ma tente.

Qu'est ce que je croyais après tout, il est marié.
Je me sens nulle, je n'irais pas à son RV, et pourtant je me demande déjà qu'elle robe, je vais mettre pour lui plaire, et sans rien dessous..........

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Mon premier blog

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

http://histoires-de-cul.over-blog.com/

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