LE JARDINIER ( dernière partie )

Ils se réveillèrent, la nuit était tombée.
Martine part dans la salle de bains prendre une douche.
Les hommes restent sur le lit.
Elles les entend chuchoter gaiement.

- Au fait, crie Pierrot, nous aimerions que tu nous prépares quelque chose à manger, on meurs de faim, pas vrai !

Martine folle de rage, entre dans la douche. Mais pour qui, ils la prennent, elle n'est pas devenue servante, non plus. Qu'ils aillent se faire voir, ailleurs.

L'eau ruisselle, fraiche et apaisante. Elle se savonne longuement, elle insiste sur les endroits intimes de son anatomie, son anus est encore sensible.
En sortant de la douche, Pierrot est devant elle avec une serviette.

- Tiens essuie toi, mais pour tout vêtement, tu passes ce tablier. A qui, est-il donc ?

Il tend le petit tablier noir. Il appartient à Laura qui travaille chez eux en extra. Car Martine aime bien, que son employée ressemble à ce qu'elle est, une domestique..!

-  Et dessous, je mets quoi ? Demande t-elle interloquée par cette nouvelle exigence
- Mais RIEN ma poule, Rien à poil..... Grouille toi et rejoins nous en bas, d'abord tu nous serviras un petit apéro. Allez go !

Le jardinier plus arrogant que jamais, quitte la salle de bains en sifflotant, toujours nu comme un ver.

Seule devant son miroir, elle se regarde. Les seins ni trop gros, ni trop petits, elle a un bassin assez large, du  ventre et des cuisses bien trop grosses à son goût . Elle ne peux pas accepter de se ballader nue avec juste ce minuscule tablier, elle le pose sur elle, c'est pire que mieux, ses seins déborde de chaque coté.
C'est dégradant, humiliant.

- TU TE MAGNES OU JE VIENS TE CHERCHER ???? Crie Pierrot du rez de chaussée

Immédiatement, elle sort sans  regarder davantage  son corps dénudé, paré d'un tablier qui lui donne un genre douteux.

En pénétrant dans le salon, les 2 hommes un verre à la main s'arrêterent de discuter.

- Une vraie petite bonne à notre disposition, tiens chérie, sers nous donc un autre verre et prépare quelque chose à manger

Martine réfrène son envie de rétorquer. Elle se tait, elle voit le visage ébahi de son mari qui n'en croit pas ses yeux de l'avoir ainsi accoutrée.
Elle leur sert 2 whiskys et sauve dans la cuisine, trop heureuse de ne plus être toisée.
Elle ouvre le congélateur, prend un paquet de lasagnes et l'enfourne dans le micro ondes.
Le ronronnement se fait entendre, les hommes rient.  Mais que fait elle ici ? Pourquoi ne part elle pas ?

La sonnerie mets fin à sa rêverie.

Les hommes affamés s'assoient à table, et attendent d'être servis.

- On attend ma grosse, on a faim, mange toi aussi ? Dit Pierrot alors qu'elle ne sert que leurs 2 assiettes.
- Non merci, je n'ai pas faim.

Les 2 hommes sans se soucier d'elle, dévorent leur plat. Toutes les lasagnes y passent. Pierrot repu, rote bruyamment.
Martine est écoeurée par tant de manque de savoir vivre.

- Poulette, avant de débarasser la table, passe donc sous la table, nous sucer à tour de rôle histoire de nous remettre en condition. MAGNE TOI LE CUL !

Martine susaute devant le haussement de voix, l'homme la dévisage froidement.
Réprimant les larmes qui montent, elle s'agenouille, passe sous la table de cuisine et se présente devant le sexe du jardinier, celui ci a repris sa discussion avec Olivier, sans se préoccuper d'elle.

Aucun d'eux ne s'est encore lavé, elle sent une odeur très forte qui émane de la verge.
Elle réprime son dégoût et lèche le sexe, sa langue douce et humide fait réagir  immédiatement le sexe encore endormi, il gonfle dans sa bouche, quelques minutes plus tard, le jardinier bande.

- Occupe toi aussi de la bite de ton homme, chérie ! Lui dit il

Elle soupire et se déplace légèrement. Face à son visage, le sexe d'Olivier, dur, rien qu'à imaginer sa femme sous la table entrain de les sucer tout à tour.  Il se raisonne pour ne pas se lever, la prendre et la baiser sur la table, il soupire d'aise quand il sent sa bite se fondre dans la bouche chaude.

- Tu vois comme elle aime la bite ta salope, dis lui que c'est une pute, dis lui qu'elle le sache, dit Pierrot
- Bouffe moi la queue, sale pute, tu aimes ça, toi qui faisait ta mijaurée, regarde toi Mmm une chienne.... Tu es une chienne !

Il se retient de ne pas cracher là de suite, il a envie de faire durer le moment....

- C'est bon, sors de là, rejoins nous ! Ordonne le jardinier

Martine s'extrait de dessous la table, le visage mouillé, de la bave autour de la bouche. Les hommes sont toujours assis, se caressant mutuellement le sexe

- Viens caler ton gros cul sur ma pine, je vais te huiler l'anus, dit il en s'emparant de l'huile d'olive sur la table.

Il en fait glisser sur ses doigts et lui dit :

- Penche toi en avant !

Elle sent les doigts huileux, qui imprègnent sa raie, son anus.

-Allez assied toi sur ma queue en regardant ton mari, ça va glisser tout seul

Affolée à l'idée de ressentir la même douleur que précédemment, elle se laisse glisser doucement sur le pieu, l'huile fait son oeuvre et facilite la pénétration, le sexe d'enfonce facilement.
La bouche ouverte, elle souffle, elle est remplie, prisionnère d'une queue. De ses mains huileuses, il caresse ses seins, faisant rouler les tétons sous ses doigts.

- Bouge ton cul, baise moi ! Eructe Pierrot

Martine se soulève et retombe sur la queue qui l'empale à chaque fois, elle gémit sous l'oeil affaré de son mari.

- Salope, tu aimes, tu aimes qu'il t'encule, dis le ! Insiste Olivier  pénétrant de son doigt,  sa chatte trempée.
- Ouiiii, ahhhh Ouiiii, crit t-elle déchaînée

Il caresse son clito, elle est les jambes ouvertes, la bouche ouverte, elle baise comme jamais elle n'a baisé, son mari la masturbe, l'embrasse, l'insulte...... A nouveau, elle jouit puissamment, elle hurle dans la cuisine.

- Ahhhhhh je jouiiiiiiiss..... Hurle t-elle


- Elle a le cul bouillant, si tu la veux ?  Moi je veux gicler dans sa bouche, on échange nos places, propose Pierrot
- Tu parles, si je veux, répond Olivier

Pierrot ôte Martine encore sous l'effet de son plaisir. Son mari est assi à la place de Pierrot, la queue dressée.

- Prend place, salope !

Sans attendre, elle s'empale sur la verge.

Elle est remplie à nouveau.

- Oublie pas d'ouvrir ta bouche pour notre ami Pierrot, il va te la remplir..

Elle ouvre sa bouche impudique, en voyant le sexe s'avancer, plus d'appréhension à lécher une queue qui sort de son cul, elle est devenue la salope qu'ils veulent.
Martine, la sage martine,  une queue dans le cul, une autre dans la bouche est devenue une dépravée en quelques heures.

Au bout de quelques minutes de ce traitement, les deux hommes se regardent et libèrent leux bites de leur semence.

Elle avale gloutonnement sans rechigner, le foutre qui jaillit dans sa gorge. Olivier lui se vide dans les entrailles de son épouse, qu'il reconnait à peine.
Il aime voir comme sa femme a changé, il espère que désormais, elle restera comme elle est ! 
Dans sa tête déjà, il imagine ce qu'il pourra faire d'elle, la soumettre à plusieurs hommes.
Olivier a des désirs très pervers, rien que d'y penser, il sent son sexe rebander à nouveau.
Alors qu'elle se relève, le jardinier s'agenouille à son tour et doucement, très doucement nettoie sa queue souillée.
Il caresse  des ses deux mains, le crâne chauve, il aprécie la douceur de sa langue.

Il ne remerciera jamais assez cet homme de lui avoir fait connaitre tant de nouveaux plaisirs et surtout, la révélation que sa femme est une salope qui aime le sexe.
Il lui est totalement redevable.



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Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

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