leshistoirescochonnesdedoucelea2

Ils s'étaient mariés dans l'urgence, ma soeur attendait un heureux évènement pour août, et c'est le ventre bien arrondie, qu'elle lui avait dit "oui".
Mon beau frère était un homme imposant, direct. Apparemment j'avais cru comprendre que le mariage était quelque peu forcé, la grossesse n'ayant pas été détecté dans les premières semaines, il avait été contraint d'épouser ma soeur.
L'homme était froid, dur et autoritaire. Je me demandais ce qu'avait bien pu lui trouver Caroline.
Apparemment, elle en était  folle, mais j'avais entendu lors de la cérémonie, une discussion entre mon beau frère et son meilleur ami, que ce sentiment n'était pas partagé.

J'en étais attristée pour ma soeur, mais je me disais qu'une fois  que le bébé serait là, il changerait.

Le dernier mois, elle dut garder le lit. Et c'est en proposant mon aide, que les ennuis commencèrent.

- C'est vrai, Léa, tu veux bien rester chez nous jusqu'à l'arrivée du bébé, c'est tellement sympa de ta part. Franck ne cesse de se plaindre que la maison est dans une pagaille monstre, le linge s'accumule, et le pauvre n'a même pas des repas décents à avaler. Je suis bonne à rien, il a raison.
- Ne dis pas de bêtises, c'est juste une question de jours, après tout ira bien. J'arrive dans l'après midi, en lui promettant au téléphone.

Après tout, sans emploi actuellement, je pouvais bien lui rendre ce service. Entre soeurs, il faut bien s'aider.

Je prépare 2 valises que je porte dans ma voiture. Et dès 14h00, je quitte mon joli petit appartement pour me rendre chez Caro et Franck.

Il ouvre brutalement la porte. Je sens qu'il est énervé, mais je préfère l'ignorer. J'ai par moment beaucoup de mal à le supporter, il est si désagréable.

- Alors ça y est, te voilà.... Désolé, qu'elle t'emmerde à venir ici, tu sais à part traîner au lit toute la journée, ta soeur ne fout rien.

Je fais mine de ne pas avoir entendu la remarque et j'entre dans la maison, une valise dans chaque main.
Il fait chaud, ma petite robe à bretelles me colle sur le corps. Une bretelle a glissé sur mon épaule, l'autre menace d'en faire autant, ce qui serait très ennuyeux puisqu'avec cette robe, je ne peux pas mettre de soutien gorge.
Je décide de poser les valises, puisqu'il n'est pas disposé à m'aider. Évidemment la seconde bretelle glisse et en me baissant, il a une vue plongeante sur mes seins.

C'est en me redressant que je me rends compte de son regard perçant, sur moi. Ça commence mal, je ne suis pas aveugle, son short est tendu au maximum.

- Tu peux les porter dans la chambre d'amis, je lui demande rougissante, en remettant hâtivement mes bretelles.
- Ok  Faut bien que je serve à quelque chose, ici !

Je file voir ma soeur, qui hélas dort à poings fermés. La chaleur est étouffante, je décide de me mettre à l'ombre dans le jardin. J'enfile un maillot de bains et m'allonge sur le transat.

- ça chauffe, hein ?

Il est arrivé sans bruit dans le jardin.

- Oui, trop, tu ne bosses pas cet après midi ?
- Non, je suis crevé, et j'ai des heures à récupérer. On va passer l'après midi ensemble.

Il s'allonge sur l'autre transat, lui aussi a enfilé un maillot de bains ridicule, du reste. Un truc minuscule. Une nouvelle fois, je me sens terriblement mal à l'aise. D'autant plus que son regard se fait insistant.

- Mets toi de l'huile, tu vas grillé sinon.

Effectivement, je sens ma peau qui tiraille. Et j'accepte le flacon qu'il me tend. J'enduis mon corps de cette huile odorante, en évitant son regard.
- Attends laisse moi faire, dit il en s'emparant nerveusement du flacon.
- Non, ça ira !
- Allez pas de chichi, belle soeur, tourne toi que j'en mette sur les épaules et le dos
Sa voix est brutale, j'aime mieux obéir, ça n'est pas si grave.

Ses mains caressent mes épaules doucement, ses mains, le soleil, c'est agréable, je me détends enfin.
Il descend sur mon dos, mes reins. Puis mes fesses. Je pourrais presque m'endormir. 
Mais je sens des doigts qui passent sous ma culotte, je pense avoir rêver, mais non plus de doute, les doigts s'infiltrent davantage.

- Franck, ça suffit, tu arrêtes tout de suite
- Allons belle soeur, sois pas si farouche. Pas de quoi fouetter un chat. Mmmmmm  t'as la peau si douce.

Je me retourne brutalement, il est à quelques centimètres de moi. Son sexe menace de craquer le mini slip. D'un bond, je me lève.

- Je vais voir caro.

Le coeur battant, je vais voir ma soeur, elle dort toujours. Un long tee shirt recouvre son corps qui a triplé par la grossesse. Elle a pris 24 kg, et  la pauvre est très abattue avec la chaleur.

Je rejoins ma chambre et m'allonge sur le lit. Quel immonde porc que ce type qu'elle a épousé. Pourtant je suis, bien malgré moi flattée, d'avoir provoquer une si belle érection.
Sans homme depuis ma rupture avec mon ex, je peux comprendre ses envies, comprendre oui, accepter bien sûr que non.

La chaleur a raison de moi, je m'endors.
 
Le matelas qui s'affaisse me réveille. Mon beau frère est là, il me regarde.

- Léa,  ta soeur me rend fou. Elle veux plus rien faire, si tu savais ce que j'ai envie.
- Sors d'ici Franck, DEGAGE !
- Allons soit sympa, regarde, j'en peux plus, j'en ai marre de me branler tous les jours, j'ai la bite qui me fait mal.
 
En disant ses paroles, je m'aperçois avec effroi qu'il sort son sexe du ridicule maillot. En opposition avec le petit bout d'étoffe, le sexe est énorme. 

- S'il te plaît Franck, Caro est à coté, tu as perdu la tête ou quoi ?
- Regarde me dit il, en me prenant la main comme elle est dure

C'est vrai le sexe palpite sous ma main. Elle est chaude, dure.
Je voudrais retirer ma main, mais je suis comme fascinée par la verge qui se tend.

-  Tu es en manque toi aussi, on pourrait se faire du bien tous les deux, ta soeur n'en saura rien, promis. Léa, j'ai envie de toi !

Sur ce, il se met à ôter, sans plus attendre, le micro maillot.

- NON  Franck, c'est de la folie, tu es le mari de ma soeur !

Mais je sais que je ne suis guère convaincante, comment résister à cette hampe de chair alors que je sens couler entre mes jambes mon désir d'être baiser.
Ce salop l'a bien compris, nous sommes tous les deux en état de manque sexuel.
 
Lentement sans quitter mon regard, il m'enjambe, se place au dessus de ma tête et dit doucement

- Suces la, tu en crèves d'envie !

La queue est près de mes lèvres, arrogante, sublime. Alors je deviens folle, je fais l'impensable et ma bouche s'ouvre bien grande pour accueillir la bite impatiente.

- Ohhh oui, putain comme c'est bon, vas y Léa, suces moi bien la queue, pompe moi le dard

Que oui, je le suce, bien épaisse, elle me remplit la bouche, il tient mes mains levés, au dessus de ma tête et me pistonne sans ménagement la bouche, je respire avec difficulté, j'adore.
Mon entre jambes est trempé, je mouille comme une folle.

- Tu suces comme une pro, tu sais, Mmmmmm vas y !  Ahhhh trop longtemps, je ne vais pas pouvoir me retenir..... Léa, je jouiiiiiiiiiiiis

Il m'envoie une quantité impressionnante de sperme, alors que je le vois, la bouche crispée qui retient son cri.
La queue encore palpitante, il me libère et s'allonge à mes cotés. Je reste sans bouger, honteuse d'avoir si facilement céder.

- Dis donc, tu sais y faire, t'es plus douée que ta frangine ! Dit il en riant
- ça suffit, ne parles pas de caro ainsi, tu me dégoûtes.
- Ah ça y est, tu vas me faire la sainte nitouche qui ne voulait pas, je ne t'ai pas forcé ma belle, t'en avais envie. Et puis gourmande avec ça, tu as tout avalé, t'aimes le sperme toi, pas comme elle.

Je ne relève pas la dernière phrase, à quoi bon. C'est vrai que j'ai pris un plaisir évident à tout avaler.
 
Je lui demande juste de quitter ma chambre.

- Tu plaisantes ma jolie, regarde toi. Ton  maillot de bains est trempé. Il joint le geste à la parole et sans hésitation, passe sa main sous mon slip
- Bien trempée ma cochonne, laisse moi l'enlever ?
- Franck, on a fait une connerie, il est temps d'arrêter.
- Tsss laisse moi  faire, je te dis..

Immédiatement il ôte le maillot humide, il hume le fond de ma petite culotte
- Tu sens la femme qui as envie d'être baisée, regarde ma bite redevenue dure, je vais te l'enfiler

Je résiste mollement. Sa queue a retrouvé une belle taille. Il relève mes jambes sur ses épaules, à ce moment là, je n'ai qu'une seule envie, qu'il me prenne, qu'il me baise.

- Viens te faire baiser, viens goûter à ma queue

Son sexe me pénètre enfin, il me remplit la chatte totalement, un bonheur que de l'avoir en moi, je gémis de plaisir.

- Tu aimes ça hein, je ne t'imaginais pas aussi salope, tu sais. Mmmm t'es brûlante cochonne, Mmmm

Il me baise doucement bien à fond, c'est trop bon, puis la cadence accélère, il veux m'embrasser, je refuse.

- Tu as raison, on se contentera juste de baiser tous les deux, que du cul. T'es bonne à ça. Mmmm

                 

C'est trop bon, je sens l'orgasme tout proche, je vais jouir, je ne dois pas crier, non pas crier...!

- Je ....................ahhhh, je jouis en tentant à mon tour, de retenir mon cri
- Ouiiiiii c'est bon hein,  ma queue te plaît, attends je vais te remplir la chatte, Mmmmmmmm je me vide en toi !!!!!

On reste quelques instants sans bouger, encore sous la jouissance. Les jambes toujours sur ses épaules, je bouge la première.

- Merci belle soeur pour ce bon moment, je me sens merveilleusement bien, les couilles vides, j'ai soif, tu veux bien aller me servir
- Va te faire voir ! je lui réponds sèchement.

Je suis tellement en colère contre lui, contre moi. Comment j'ai pu faire ça à ma soeur, je suis la pire des salopes.

- " Léa, tu es où ??? Léa .............. "  Raisonne le cri de Caro,  dans la chambre, au bout du couloir

- Ahh  voilà ta soeur qui se réveille, tu devrais y aller ma belle

Affolée, j'enfile un paréo sans remettre mon slip de bain et je cours la voir.

- Je suis là Caro, tu veux quelque chose ?
- J'ai horriblement soif, ça va toi ? Tu es toute rouge, fais attention au soleil quand même !
- Oui tu as raison, je crois que j'ai abusé, je vais rester un peu avec toi.

Je m'assois sur le fauteuil en espérant de tout coeur ne pas tâcher le tissu, en effet, je sens le sperme de mon beau frère qui s'écoule.