leshistoirescochonnesdedoucelea2

Elle doit être présentée à ses parents, ce soir. Camille est terriblement angoissée, à l'idée de cette rencontre.

Ils se fréquentent depuis 2 mois, Guillaume est très beau, mais d'une grande timidité.
Elle a cru comprendre à demi mots, que ses parents d'une nature autoritaire et d'un niveau social élevé, le rendent peu sûr de lui.
Son  père est avocat, sa mère est médecin, il n'a jamais manqué de rien, hormis de la tendresse, et leur confiance, eux qui le rabaissent constamment.

Guillaume en effet, a de piètres résultats à la Fac.  Il ne s'y plaît pas et poursuit des études de droit uniquement parce que son père l'a exigé. 
Camille fille d'ouvrier d'usine, suit les mêmes cours que Guillaume. Munie d'une bourse d'études, elle bosse  pour y arriver et a des résultats très prometteurs.

Guillaume est  contraint par son père de lui présenter la jeune fille. Cette perspective de rencontre ne l'enchante guère.
 
18h30
Il  pense à ce matin, quand il a quitté Camille après un doux baiser. 2 mois qu'ils se voient chaque jour et hormis ces chastes baisers, ils n'ont jamais rien fait d'autre.
 
Guillaume est puceau, même si son envie est grande de lui faire l'amour, il n'ose pas. Sa timidité le bloque carrément, au point même qu'il ne se risque même pas, à quelques caresses.
Camille lui a avoué, qu'elle aussi est vierge. A 21 ans, ni l'un, ni l'autre n'ont connu les plaisir du sexe.
Bien sûr, Guillaume se masturbe régulièrement le soir sans bruit, il crache dans un mouchoir en papier qu'il jette prudemment le lendemain matin. 

19h00
Camille a garé sa petite Twingo d'occasion, devant l'un des 3 garages de la gigantesque maison.
Intimidée, elle sonne à la porte d'entrée, dans ses bras, un modeste bouquet de dahlias qui provient de leur petit jardin. Camille a refusé de le prendre, mais ses parents ont tant insisté qu'elle a fini par accepter. Elle se sent ridicule car le superbe jardin qui entoure la maison de Guillaume,  est immense et très fleuri.

La porte s'ouvre,une jeune femme se tient devant elle

- Mademoiselle, entrez, vous êtes attendue !

Camille pénètre dans l'immense hall, de suite, elle est conduite dans un salon magnifique, sur le canapé, une femme se lève en la voyant, elle la dévisage, Camille baisse les yeux, gênée par le regard perçant.

- Bonjour Madame, je.. je suis Camille, dit elle en bafouillant et en lui remettant le petit bouquet, qu'elle ne regarde même pas
-  Bonjour Camille, asseyez vous ! répond elle en prenant les fleurs et sans un remerciement, elle les tend à la jeune femme qui l'a accueilli

Madame xxx la détaille sans gêne, la petite est assez jolie pense t-elle, vêtue très simplement. Bien faite, quoi que, une poitrine trop grosse pour sa taille plutôt fine. Les cheveux blonds naturels, longs lui tombent sur les épaules. Une robe imprimée, serrée à la taille fait un peu trop ressortir ses seins, la robe est longue, cachant ses jambes. Des sandales premier  prix couvrent ses pieds.

 - Ah vous êtes là, Mademoiselle !

Le père suivi de Guillaume s'avance vers elle, et lui serre la main, d'une poignée ferme.

- Assied toi Guillaume, ne reste pas là comme une statue, tu vois pas que tu gênes !!!!!
- Désolé, Père
- Je vous sers une coupe, Mademoiselle, décide l'homme en servant le champagne, sans attendre la réponse.

Quelques minutes plus tard, ils discutent des études, du métier, de l'avenir.....
Camille n'est pas très à l'aise, mais tente d'être souriante et répond à toutes leurs questions, devant un Guillaume muet.

- Ton amie est fort heureusement plus douée que toi, pour discuter. Décidément, tu n'es bon à rien.

La remarque fuse de façon cinglante, le jeune homme baisse la tête et ne dit mot.

- Bien, dit le chef de famille, j'ai beaucoup de travail encore, veuillez m'excuser, si vous avez besoin de livres, n'hésitez pas à me le demander, j'ai tout ce qu'il faut et mon fils ne les ouvrent  que trop rarement, peut être voudriez vous voir ma bibliothèque, dit il en se levant !
- J'en serais ravie, dit poliment Camille, qui pourtant n'a qu'une seule envie, celle de partir de cette maison.

Guillaume se lève lui aussi.

- Je pense que tu as du travail mon garçon, , pas la peine de nous accompagner, la bibliothèque est un endroit que tu ne fréquentes guère, ironise le père.

Camille suit l'homme dans le vaste couloir. Il marche vite, une porte s'ouvre et se referme. Elle se trouve dans une pièce comblée de livres jusqu'au plafond. C'est impressionnant.

- Prenez tout ce que vous avez envie, il suffit juste de le noter dans ce cahier.

Le ton s'est radouci, elle voit même sur le visage, un léger sourire auquel elle répond. L'homme l'impressionne, la quarantaine, il est très grand, une légère barbe ainsi que des lunettes lui donnent un air strict.

- Voyez ceux du haut, uniquement des livres anciens de grande valeur..... Allez y regardez, certains sont très vieux, dit il en lui tendant l'échelle prévue pour.

Elle grimpe et découvre les livres de valeurs. Absorbée par ses merveilles, elle ne se rend pas compte de suite que l'homme a une vue complète sous sa robe. Il ne s'en cache même pas.

Écoeurée, elle entreprend de descendre aussitôt, mais il lui bloque une cheville d'une main et de l'autre caresse doucement sa jambe, sa main monte lentement vers sa cuisse, il touche l'élastique de son string.

- Monsieur xxx , arrêtez de suite !
- Allons, pas de quoi vous énervez, dit il
- Laissez moi partir ou je hurle, crie Camille 

Il lâche la jeune femme, de peur de l'esclandre.

- Bien jeune fille, mais sachez que je déteste qu'on me parle sur ce ton, sortez de chez moi ! Mais je vous garantie que vous aurez du mal à trouver un confrère pour y faire vos stages, jeune demoiselle, un conseil...... Changez de métier, DEHORS !

Camille rentre, chez elle, et se réfugie dans sa chambre choquée et tremblante.

Les jours suivants, comme prévu, elle contacte tous les cabinets d'avocat, aucun d'eux n'accepte de la prendre comme stagiaire, toute sa classe a trouvé, ainsi que Guillaume, elle non !

- Écoute dit Guillaume, je vais en parler à mon père, je suis sur qu'il t'appuiera, tu risques de perdre ton année, sinon !

Camille est désespérée mais refuse la proposition. Pourtant dans la soirée, Guillaume excité l'appelle...

- Camille, mon père est d'accord pour que tu fasses ton stage, dans son étude !  RV demain 8h30, à son bureau pour signer ton contrat. Je t'embrasse mon coeur.

Elle ne dort pas de la nuit, mais le matin, elle est décidée à faire son stage chez lui. Son avenir compte plus que tout. Elle soigne sa tenue et opte pour une robe très sage de couleur bleu qui mets en valeur ses yeux.

8H28 Il la fait entrer dans son bureau.

- Bonjour Camille, heureux de voir que vous avez réfléchi, je vous propose de suivre avec moi, un dossier très important. Vous m'accompagnerez dans toutes les auditions, tribunal, Eetc... car le procès est dans 1 mois.
 
Camille est stupéfaite, l'occasion de suivre un tel procès est inespérée. Elle accepte avec empressement.

- Bien. Je pense qu'un petit remerciement serait approprié.
- Merci Monsieur !
- Je pensais à autre chose, j'aime que mon personnel me témoigne son intérêt et désormais, je vous considère de mon personnel. A vous de voir ! Passez sous mon bureau, soyons discret, n'est ce pas ! Je n'attendrais que 10 secondes pas une de plus, pensez à tout ce que vous apprendrez avec moi, et dans tous les sens, si vous voyez ce que je veux dire...

Elle voit, oui !  Que faire, 10 secondes, c'est trop peu pour peser le pour et le contre. La chance inouïee d'apprendre son métier, de rencontrer des gens affluents.
Il glisse son fauteuil afin qu'elle puisse se faufiler sous le bureau, alors lentement, elle le rejoint et crapahute sur la moquette, et se place sous le bureau. Il s'assoit, personne n'imaginerait  ce qui va se passer dessous.

Elle tremble. Elle voit ses larges mains, ouvrir la braguette et en sortir un sexe encore au repos. 1 ère fois, qu'elle voit un sexe d'homme en vrai.

- Allez y jeune fille, dites merci à votre patron, sucez !
- Je.......je........ n'ai jamais fait ça !!!
- Mon fils est un imbécile ! Tu verras, tu t'y feras, tu suces et quand ça vient, tu avales, histoire de pas nous tâcher tous les 2.  Presse toi, à moins que tu ne préfères attendre que quelqu'un entre !

Camille s'affole, elle ne sait pas comment s'y prendre, de sa main fine, elle prend la verge, la décalotte doucement et lape le gland doucement, instinctivement elle  fait disparaitre le sexe dans sa bouche. Elle se rend compte que la queue grossit, elle coulisse sur la queue, maladroite au début, elle finit par trouver le bon rhytme, alors que la verge est tendue de plaisir, dans son palais humide.

- Mmmm pas mal, tu seras une bonne élève, dommage je n'ai pas le temps ce matin, on a un RV, continue que je gicle rapidement !

                
Elle continue comme il lui demande, elle est à l'étroit sous le bureau, mais soudain, il tressaille, elle pense lui avoir fait mal quand elle reçoit une longue décharge de sperme

- Ahhhh avaleeeee Mmmm

Camille est affolée par  le sperme  qui inonde sa bouche, elle se surprend à tout avaler écoutant les conseils, pour ne pas tâcher sa nouvelle robe.

- Maître, je vous rappelle que vous avez RV dans 20 mn  au palais, mais où est la gamine ?
- Ohhh je l'ai envoyé prendre un café, elle revient dans un instant
- Ah très bien, voici le courrier à signer

La porte se referme, Camille sous le bureau tétanisée, ne bouge plus. Le sexe flasque est replacé par son propriétaire dans le caleçon, puis l'homme la laisse sortir.

- Très bien, jeune fille, vous deviendrez une bonne suceuse, vous avez aimé ça ?
- Je ne sais pas, Monsieur
- Maître, demoiselle, et il faudra vous y habituer car moi, j'adore et plein d'autres choses aussi, je ne suis pas mon fils, j'ai plein d'idées... Il vous baise bien, au moins ?
- S'il vous plaît, je ... euh.... on a jamais....Enfin on a jamais rien fait !
- Quel imbécile ! Bon portez tous ces dossiers, on va dans ma voiture et on file au tribunal. Mais ce midi, ne prévoyez rien, j'ai de quoi vous occuper.
- Oui, Maître.
- Allez vite, dit il en lui claquant les fesses.

Camille qui aimerait se rincer la bouche, se presse de récupérer les dossiers, et les bras chargés le suit en trottinant, jusqu'à sa voiture.

A suivre !