NUIT LUBRIQUE AU CAFE DU PORT

Véro est une fille un peu niaise. Sans être laide, elle n'est pas non plus un prix de beauté, mais c'est surtout sa nonchalance, son laisser aller qui fait qu'aucun homme ne la regarde plus.
La trentaine, elle vit depuis 6 mois avec un homme qu'elle n'aime pas.
Rmiste, elle n'accepte ce type chez elle, que pour les avantages de sa paye.
Elle le supporte autant qu'elle peux, par faiblesse, par fainéantise. Elle endure ses attouchements qui la dégoûte.
Après une dispute mémorable, Véro a quitté l'appartement sale et désordonné pour ne revenir, qu'à la nuit tombée.

La lumière l'aveugle un peu, il lui faut quelques minutes pour se rendre compte que le modeste logement a été vidé du peu de mobilier qu'elle possédait.
Un vrai foutoir règne dans l'appartement, les tiroirs ont été vidés à même le sol, les placards ont connus le même sort. Les meubles, la télévision, et même le lit ont disparu.

- Ce sale type m'a tout pris ! dit elle en s'effondrant dans le désordre, qui jonche le sol.

D'un coup, elle se redresse, et se précipite dans la salle de bains. Dans la colonne de l'évier, elle a planqué le RMI, qu'elle a touché ce matin.

- Ouf, il ne l'a pas trouvé ! Sourit elle, fière de l'avoir aussi bien caché.

Véro a aussi un bien vilain défaut, un défaut qui lui permet d'oublier la tristesse de sa vie, son misérabilisme. Elle aime boire. Et pas la moindre goutte dans ce fichu taudis.
Elle  prend 1 billet de 50 € de la liasse, elle éteint la lumière et ferme la porte.

Dans le froid hivernal, elle n'hésite pas un instant et se rend sur le port. Malgré l'heure tardive, elle sait qu'elle pourra trouver un café ouvert.

Effectivement, la devanture illuminée accueille son arrivée.

- Un cognac, s'il vous plaît Monsieur !

Le patron, un homme bedonnant de 54 ans la sert tout en se demandant ce que fait, seule, cette femme dans un quartier aussi mal famé. Il la regarde longuement, les cheveux emmêles encadrent son visage rougi par le froid, elle a avalé son verre cul sec, avant d'en demander un autre.
Le second verre lui fait du bien, enfin elle a moins froid, entreprend d'ôter son manteau, sa robe en laine trop petite la boudine un peu, ses collants sont élimés, les bottes crotteuses. Mais Véro s'en fiche, elle se sent mieux, elle jette un oeil aux alentours, juste elle et deux vieux qui jouent aux dés.

- Patron un autre, dit elle la voix affermi par l'alcool qui commence à agir.

Le 3 ème avalée, elle se met à onduler au son de la musique, ce qui ravit les vieux. Après tout, la soirée sera peut être plus animée, qu'ils l'auraient imaginé.
 
- Marcel, mets un verre à cette jeune femme pour moi  !
- Ohh merci msieur, je m'appelle Véro dit elle en se trémoussant.
- On fait une tite danse ma belle, dit il en la prenant dans les bras

 La jeune femme rit aux éclats, quand elle sent les mains du vieux sur ces fesses. Il pelote son cul sans ménagement, devant les rires de son compère toujours assis.

-  Dis donc bellote, y a de quoi là dessous

Grisée par l'alcool, elle réagit à peine quand le vieux passe ses mains sous la robe, puis sous le string.

- Douce--ment, vous me pre--nez pour qui ?
- Chut chérie, on s'amuse, boit ton verre !

Véro avale son 4 ème cognac, cul sec, riant, alors que la main calleuse, caresse ses fesses nues.

Marcel derrière son comptoir s'amuse du spectacle, le Léon faut pas le pousser, il a senti que ce soir, il y avait une possibilité avec cette fille. D'ailleurs, la nana n'a pas l'air farouche.

La musique raisonne dans le bistrot, Véro est euphorique. L'autre vieux boitillant les a rejoint et c'est un curieux trio qui danse et se trémousse. Des mains se baladent sous la robe, elle ne s'en plaint même pas.
Elle ne se rend pas compte que le vieux lui a descendu son slip, l'autre le récupère et le hume longuement.

- Mmmmm dis donc, t'embaumes ma jolie et à voir le fond de ta culotte, elle est pas d'aujourd'hui ?

Elle rit aux éclats. La fermeture dans le dos est ouverte et la robe chûte à ses pieds.

- Mais à quoi, on joue, vous voulez me fouuuttre à poil !!! hoquette t-elle

Ce qui est risible, car la belle n'a plus qu'un soutien gorge comme seul vêtement, ôté par le vieux déchaîné du spectacle.
Elle est nue au milieu du café.
Marcel ferme les rideaux, pour être plus intime, il est 23h00. Ils devraient être tranquilles.

Véronique qui se fait peloter par les deux vieux, ne réagit pas.

- Tu sais, tu nous excites, tu vas devoir t'occuper de nous, viens là, couche toi sur la table
- Mmm c'est froid, dit elle en riant, le cul en l'air

Le vieux, sort son sexe tout fripé, l'homme bande depuis un bon moment, il veux la baiser cette garce.L'occasion est trop belle.
Sans attendre, il s'enfonce en elle, elle glisse sur la table pendant qu'il la ramone

- Lucien, tient la bien, elle glisse.

Lucien, entrain de branler sa vieille bite, s'avance pour la maintenir, sa bouche a quelques centimètres de sa queue. Il se dit pourquoi pas après tout.
Il fait glisser son sexe sur les lèvres de la femme ivre, il est surpris de constater que d'elle même, elle ouvre la bouche, il y engouffre son sexe, sans attendre.
Les 2 vieux, ne mettront que quelques minutes avant de se vider les couilles, tant leur envie est grande.

Véro complètement saoule n'aura eu aucune réaction pendant leurs ébats.
Lucien comblé, ayant tout déchargé dans la bouche se retire satisfait et retourne en boitant à sa place. Son foutre épais dégouline de la bouche entrouverte, de la jeune femme qui semble dormir. L'autre vieux, sort son sexe flasque de la chatte remplie.

- Mmm Dis donc, ça fait du bien de se vider les couilles. Chef tu mets un coup, pour tout le monde, c'est ma tournée.

Marcel qui a assisté à toute la scène n'est pas de marbre lui non plus, il veux bien que sa clientèle prenne du bon temps, mais lui aussi a des envies. Il la voit roupiller, toujours le cul à l'air, indécente de lubricité.
Son sexe gonflé lui fait mal. Tant pis, il a trop envie de baiser, cette salope n'est venue là que pour ça, après tout.
Il fait le tour du comptoir et se place derrière elle, son pantalon tombe sur ses pieds, sa bite au gland violacé trépigne d'impatience, il lui caresse les fesses sous les encouragements des deux autres

- Allez vas y baise là, elle demande que ça, bourre la bien

Il a les doigts plein de sperme du vieux, qui est passé avant lui. Non, pas envie de mettre sa bite dans le foutre d'un autre, il va l'enculer, lui qui n'a que peu d'occasion avec sa bonne femme.
Sans ménagement, il écarte les lobes de son cul et le gland disparaît dans l'anus

- Ahh Mmmm mais non, dégage, crie Véro éveillée par la douleur
- La ferme sale pute, laisse moi faire !

Marcel transpire à grosses gouttes, ce cul est trop bon, trop chaud, il l'encule profondément, elle s'agite à peine, il la défonce comme un bienheureux, la table sursaute à chaque aller et venue. Enfin il éjacule longuement, au fond de ses entrailles

- Ahhhh t'es bonne, salope ! Éructe t-il en jouissant

L'homme se rajuste, la jeune femme se redresse en titubant.

- Gros porc, dit elle
- Et la belle, quand on veut pas, on vient pas dans ce genre d'endroit, dit Lucien

D'un coup, la porte s'ouvre, le froid s'engouffre et 6 types pénètrent dans le bistrot.

- Bonsoir, dit un gars qui a l'air bien éméché lui aussi, vous êtes encore ouvert , on est sur le Abidjanboat et on a .....soif !

Le gars voit Véro, nue, échevelée, ivre. Il comprend de suite la situation, elle vient de se faire baiser.

- Entrez et fermez à clé ! Bienvenue, vous buvez quoi ?
- Euhhh 6 bières,  dit le type en rigolant, les yeux injectés
- Vous êtes sur le bateau arrivé, cette après midi ?
- Oui c'est ça ! On s'est fait une bouffe et on avait l'intention de boire un dernier verre, avant de retourner au bateau
- Allez à la vôtre, les mecs, parle pas français vos collègues ?
- Très peu, tous des Ivoiriens

Véro sirote son nouveau verre qui lui est offert par elle ne sait qui ! Sa nudité contraste avec les hommes habillés chaudement. Mais sait elle seulement qu'elle est nue ? Ses yeux vitreux regardent les hommes qui peuplent la taverne.

- Vous faîtes une soirée privée, dit le type, en montrant la femme ? Une autre tournée patron, ajoute t-il en vidant son verre
- Ahhah Non pas privée, si ça te dit, vas y ! Elle est ivre et a chaud au cul !

Celui qui parle pour les autres, s'approche d'elle. Les seins lourds et blancs, la chatte poilue, elle est bandante, et à vrai dire, ils ont appareillé cette après midi et repartent demain matin, ils n'ont pas eu de femmes depuis un bon moment.
Il la caresse, soupèse ses seins, les pince, elle ne réagit pas, les yeux dans le vide.

- T'es sûr mec, on veux pas d'embrouilles !
- Mais non, allez y baisez là, hein ma jolie que tu as envie .

Véro ne capte plus rien, elle vocifère un "Ouiiii" en chuchotant.

Les 2 vieux, quittent le bistrot, il est tard, ils ont leur compte.
Maurice ferme le café, mets la musique en sourdine, les noirs entourent la jeune femme, parlent dans leur langue avec l'européen. 
Ils commencent sans gêne à se déshabiller, 5 blacks bien bâtis.
L'un deux s'assoit sur une table, le sexe dressé et montre qu'il veux  être sucer, Véro incapable de refuser, obéit telle une marionnette.
Puis tout s'enchaîne, elle n'est plus que le jouet décadent de ses hommes, qui la baisent, se servent d'elle comme une chienne.
Le tout entrecoupé de tournée, à n'en plus finir, cette orgie de luxure dure toute la nuit.

Elle sort de sa semi-torpeur quand les hommes la sodomisent chacun leur tour, ses trous sont remplis de foutre qui dégoulinent sur ces cuisses.
Puis ils l'enculent l'un après l'autre, parfois un type commence à lui défoncer la rondelle et au moment de jouir, il sort rapidement de son anus brûlant laissant la place encore chaude à son pote, et se soulage dans sa bouche toujours prête à recevoir une bite, même souillée.

Elle n'est plus rien, ni personne.
 
Ils sont tous soûls.
Ils écoulent de la bière sur son corps malmené, la lèche, la défoncent sans relâche, toujours un vaillant pour la tringler.
L'un d'entre eux, lui vide une canette de bière dans le vagin et s'en abreuve. Elle sera prise par les 3 trous en même temps, écartelée par les sexes insatiables, de ces marins en rut.
L'alcool  a fait d'elle une épave prête à n'importe quoi, cette orgie décadente ou les hommes se servent d'elles comme d'une chienne, n'ayant aucun respect pour cette femme dépravée et aussi ivre qu'eux.

Maurice le patron s'est endormi sur la banquette, avant de se faire vider les couilles une nouvelle fois, profitant d'un moment ou les hommes buvaient  un autre coup, il la vu, épuisée, répugnante de sperme, et pourtant il en a eu envie comme jamais, son sexe en main

- A mon tour, nettoie ma queue trainée

Son visage, barbouillé de sperme séché, aux traits épuisés par une nuit de folie, se réveille encore et la bouche pourtant repue de foutre, s'ouvre à nouveau, pour acceuillir le sexe puant.
Il la baise violemment se servant d'elle juste, comme d'une vide couilles.
A nouveau, il jaillit un long jet, savourant ce plaisir si peu autorisé.

Il est 4 h00 du matin, Véro gît sur le sol, profondément endormie, certains des hommes sommeillent sur les banquettes.
Deux discutent interminablement, sans doute de la nuit, quelle aubaine d'avoir tous trouver, comment les satisfaire.
Leurs sexes pendent, les couilles vidées.

Ils rient bêtement, en regardant la femme allongée sur le carrelage froid et sale, couvert de bière, de trainée de sperme.

L'un deux se lève, pris d'une pulsion subite et son sexe en main, il commence à uriner sur la femme presque insconciente.
Dans les vapeurs d'alcool, elle pense qu'il veux encore être sucer, prête comme une poupée à le satisfaire, elle ouvre la bouche et reçoit le flot d'urine, sans broncher.

Deux heures plus tard, en se réveillant le patron la découvre dans un état indescriptible de saleté. Il lui jettera ses vêtements et lui hurlera de quitter son établissement, pour ne jamais y revenir.

- C'est un lieu respectable ici, allez faire le tapin ailleurs !

Véro, femme souillée, humiliée, retrouve son logement vide....
Aussi vide que sa tête, puisque de cette nuit, elle ne se rapelle pratiquement rien.
Un énorme trou noir !


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Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

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