DEVERGONDAGES

Louisa est une femme irréprochable, mariée depuis 28 ans à Franck. 

Ils ont eu 2 garçons, qui  sont mariés. Louisa est d'ailleurs grand mère.

Maintenant que les garçons sont devenus des hommes, qu'ils ont leur propre vie, elle se sent souvent bien seule.

Franck travaille beaucoup. Louisa ne travaille pas.

Son mari juge que son seul salaire suffit à leur procurer une vie agréable.

Pourtant Louisa s'ennuie ferme. Elle adore quand son petit fils lui est confié toute la journée, hélas trop peu souvent à son gré.

Louisa est encore belle, ses 53 ans ont fait d'elle, une femme aux courbes épanouies, son corps supporte les kilos superflus que les régimes et la gym ne peuvent plus effacer. Elle prend soin de se maquiller soigneusement chaque jour, et aime s'habiller avec coquetterie.

Mais Louisa s'ennuie.

Elle a pris l'habitude de se promener chaque jour, au parc.
Depuis plusieurs jours, un groupe de jeunes ayant une moyenne d'âge de 20 / 25 ans traînent leur mal être, dans ce si joli endroit.
Les jeunes hommes sont assez bruyants, vulgaires, parfois une jeune fille les accompagne, Louisa a vite remarqué qu'elle passait de l'un à l'autre.
Elle les ignore, bien qu'ils font tout pour se faire remarquer.

En ce début d'après midi ensoleillé, Louisa s'assoit sur le banc, situé à coté d'un somptueux magnolia, en fleurs.


Quelques minutes plus tard, le jeune  homme apperçu les jours précédents, s'assoit négligemment à coté d'elle.

Il est seul.
Discrètement, elle l'observe du coin de l'oeil, il est grand, le jean sale, de vieilles santiags, un blouson en cuir élimé. Elle l'entend qui renifle.

Dans sa jolie robe à fleurs, elle ose à peine bouger. Puis leur regard se croise. Elle détourne les yeux devant le regard glacial.

Mal à l'aise, elle décide de quitter le square.
Quelque chose dans cet homme l'a affolé, elle marche rapidement, passe par le port comme elle le fait souvent.
Ses pas raisonnent, mais il lui semble entendre du bruit derrière elle.


Elle se retourne, il est là, son regard perçant.

- Que me voulez vous ? Je n'ai rien, pas d'argent.
- Pauvre conne, j'en veux pas à ton fric. J'te vois tous les jours m'reluquer. Je suis pas aveugle. Alors j'te plais la vieille, dis le ?
- Vous êtes fou, laissez moi tranquille
- Eh faut pas me prendre pour un con, viens là avec moi, viens j'te dis....

L'homme a pris le bras de Louisa, qui panique.

Il ouvre la  porte d'un hangar désaffecté, qu'il a l'air de bien connaître et la pousse rudement à l'intérieur.

 

Dans la pénombre, elle distingue un vieux matelas éventré, aux tâches répugnantes, des immondices traînent partout. Des bouteilles vides jonchent le sol. L'endroit est d'une saleté repoussante.


- Allez fous toi à poil, dit il en laissant tomber son blouson  sur le sol cimenté. 
 
Tétanisée, elle ne bouge pas.  Lui,  sans se soucier de son désarroi, ôte son jean, sous les yeux affrayés de Louisa     
                    
- S'il vous plaît, laissez moi ! Chuchote t-elle

Il a retiré son caleçon, elle est incapable de réagir, ni de se sauver, ni de crier.
Rien !

Il s'approche d'elle et lui dit

- Tu l'enlèves gentiment ta robe ou je  l'arrache, choisis !

Quelque chose dans cet homme lui fait peur, les traits durs, la bouche fine, les cheveux gras. Elle sait qu'il doit être fort, son jeune âge, sa musculature. Elle obéit et enlève en tremblant sa robe sous le regard pénétrant.

Elle est en soutien gorge et petite culotte. Elle a honte d'être à demi nue devant ce gamin, qui doit avoir l'âge de son fils.

Elle a peur, horriblement peur.

- Dis la vieille, t'as de beaux restes, de sacré nibards, tire le soutif,  mémé !

L'insulte sur son âge l'humilie autant que le reste. Les larmes aux yeux, elle dégrafe les attaches. Ses seins libres tombent un peu, ils sont lourds, les tétons rougeâtres.

Il caresse lentement un sein qui réagit malgré elle. L'autre subit le même sort.

Avec inquiétude, elle voit le sexe tendu de son agresseur. Elle avait presque oublié avec quelle facilité un homme de son âge pouvait bander aussi vite.
Avec Franck, elle doit le caresser longuement, le sucer, pour espérer qu'il se mette à bander et pas toujours avec du résultat.

- Caresse ma bite, tu vois comme elle est dure, c'est ton jour de chance ma vieille, je suis seul aujourd'hui, rien d'autre à faire, que de m'occuper d'une vieille bourge, en manque.

- S'il vous plait, laissez moi partir, je ne dirais rien à personne, je vous le jure !

 

En riant, il la prend par les cheveux afin qu'elle s'agenouille.


Prostrée devant ce gamin arrogant et immonde, Louisa ne peut que s'exécuter.

Jamais elle n'a touché un autre sexe que celui de Franck, il a été le seul homme, durant toutes ces années. C'est à lui qu'elle a offert sa virginité, le jour de ces 18 ans.

- Caresse ma bite, répète t-il sans crier, mais d'une voix glaciale

Louisa avance sa main, s'empare du sexe chaud, lisse et dur. Elle retouve les mêmes gestes répétés, tant de fois avec Franck

- Ehhh faudrait voir à te remuer le cul, viens me la sucer un peu
- Non s'il vous plaît, laissez moi rentrer..... Je ne....
- Tu la fermes, tu ouvres ta bouche et tu suces

Il pousse sa tête brutalement, son sexe érigé, est à portée de la bouche, la queue arrogante se présente près de ses lèvres closes.

- Suce, dit il, en se tenant le sexe


L'odeur qui émane de la verge est forte, entêtante. Elle a mal aux genoux sur le béton, la bite glisse sur ses lèvres.


- Ouvre, putain tu vas la sucer !!!

Louisa, la sage Louisa, ouvre enfin la bouche, aussitôt le sexe s'introduit sans attendre.


Elle maitrise la nausée qui arrive, l'homme s'enfonce profondément, un haut de coeur la submerge, ce qui ne dérange pas son agresseur.

 

- Je vois, mémé n'a pas l'habitude d'avoir un beau calibre dans la tronche, dit il en riant

 

Louisa laisse échapper quelques larmes, ne souhaitant qu'une chose, en finir au plus vite et surtout, qu'il ne l'oblige pas à avaler.

Déjà parce qu'elle a toujours refusé avec Franck, et surtout par peur des maladies.

 

Suffoquant sous le sexe qui lui baise la bouche, elle se rend compte avec horreur qu'il n'est pas pressé d'en finir, il est jeune, plein de fougue pas comme son époux, qui résiste de moins en moins longtemps.

 

- Mmm Fais voir ta tête ! T'es bien arrangée, avec ton maquillage qui a coulé partout, j'ai plus envie de voir ta tronche, j'ai la bite bien dure. Viens t'allonger, que je te fasse les honneurs de mon lit.

 

Elle se relève, les genoux écorchés, et personne pour l'aider, la sortir de cet enfer !

Déjà, il prend son bras de force, et l'entraine sur le matelas repoussant de crasse.

 

- Tourne toi, et empale toi sur ma queue, je meurs d'envie de te baiser, en matant ton cul.

 

 

Comme dans un état second, elle obéit, que faire d'autre..... Elle s'installe au dessus de lui, mais face à ses pieds.

Son sexe au dessus du sien, elle comprend qu'il n'a pas l'intention de mettre un préservatif.

 

- Grouille mémé, enfile toi sur ma queue

 

Il guide son sexe sur sa vulve, et s'enfonce en elle.

Elle qui n'a connu qu'un seul homme, se rend compte immédiatement de la différence avec son époux, la bite dure et épaisse emplit totalement son vagin.

 

- Bouge toi un peu le cul, putain... quelle molasse !

 

Elle bouge doucement, sentant la verge qui la remplit, les mains de son agresseur malaxent ses fesses.

 

- T'as un gros cul, ma salope, bouge toi plus que ça... Mmmm t'es bonne....

 

Il enfonce un doigt dans l'anus de Louisa, qui surprise, lui hurle :

 

- Non, pas ça, je vous en prie !

- La ferme, ne me dis pas ce que je dois faire !!!! Contente toi de bouger, ton gros cul

 

Priant le ciel, qu'il ne recommence pas, elle décide d'en finir au plus vite et commence un va et vient sur la tige qui la baise.

 

- Ouiiiii continues, t'es bonne tu sais, pour une vieille Mmmm, j'adore mater ton cul qui tremble..

 

Elle n'écoute plus, ne pense qu'à en finir, elle s'active sur la bite, quand à nouveau il enfonce un doigt puis un second dans son anus, Louisa n'a jamais connu ça, avec Franck.

 

La bite qui la pistonne ne faiblit pas, elle commence à ressentir un bien être à se faire ainsi baiser, une chaleur envahit son bas ventre. Elle qui n'a pas jouit depuis des mois, sent que l'orgasme est proche, et effectivement quelques secondes plus tard, elle est transpercée par la jouissance, sans pouvoir résister, elle hurle de plaisir.

 

- Ahhhhhhh

 

Surpris de ce revirement de situation, le voyou excité par cette femme, qui vient de prendre son pied avec sa queue, jouit à son tour et inonde sa chatte de sperme.

 

- Salope, Mmmmmm Ohhh  prends ça MMmm

 

Les jambes tétanisées, Louisa n'a pas bougé. 

Décontenancée par sa conduite, elle se sent horriblement mal. Quelle honte, quelle déchéance, s'abandonner ainsi.....

 

- Ehhh mec ! ça gaze pour toi ?

 

Elle se retourne brutalement vers la porte. 3 des jeunes, qu'elle aperçoit au square, sont là !

 

- C'est qui, celle là ? Demande la jeune femme qui les accompagne

- Ouais c'est qui, cette meuf ?

 

2 jeunes hommes, plus la fille, les regardent les yeux écarquillés.

Louisa cherche sa robe des yeux, un jeune l'a ramasse.

 

- C'est ça que tu cherches ? Demande t-il

- Oui, s'il vous plaît, laissez moi partir ! Supplie Louisa

- T'es pas bien avec nous ? Pourtant on t'as entendu brailler jusqu'au dehors, ehhh Roberto, tu l'as trouvé où ta vieille ? Elle est encore baisable ?

- Tu l'as dit, ouais ! Elle m'a vidé les couilles comme une pro et elle a aimé ça !

 

Recroquevillée sur elle même, Louisa le visage blême ne bouge plus. Elle évite de regarder les nouveaux venus, et espère qu'ils vont enfin la laisser repartir.

Elle veux oublier à jamais cette histoire et surtout son infamie.

Le pire pour elle, étant d'avoir joui avec son agresseur.

 

- Ehh c'est ton "exclu", ou t'en fais profiter les potes ?

- Ben allez y, faites la brailler à votre tour, ajoute Roberto, en riant

- Non, non laissez moi repartir ! Je jure, je ne dirais rien......

- Ben nan, c'est sûr, dit le nouveau venu, vu comment t'a aimé te faire tringler !!!!  Ha haha......  S'esclaffe  le blondinet, suivi par le rire des autres

 

Les 2 nouveaux se déshabillent sans attendre. La jeune femme, elle, n'apprécie pas l'intruse, et ne se gêne pas pour la critiquer.....

 

- Vous êtes dég. une vieille et grosse Berkkkk

 

Louisa humiliée par la remarque, se met à pleurer doucement... Entre ses jambes, elle sent le sperme qui s'écoule.

 

- Allez suce nous un peu, tous les 2, vu que l'autre fait sa jalouse, tu t'occuperas que de nous 2.

 

Deux sexes se présentent devant son visage. Elle ne peux s'empêcher de penser malgré sa peur et sa honte,  qu'ils bandent déjà.  

 

- Allez suce ma queue, exige le garçon blon aux cheveux longs

 

Il approche son gland de la bouche, écoeurée elle laisse place à la queue, qui coulisse dans sa bouche toute chaude et humide

 

- Mmmm suce la bien, ouais

- A moi, suce la mienne s'impatiente le second

 

Louisa sans réfléchir, abandonne le premier sexe et s'empare du second

 

- Waooooh Roberto, t'es tombé sur une vieille qui aime la bite

 

Le Roberto en question, n'en revient pas, il regarde la gonzesse qui va de l'un à l'autre, sans sourciller.

 

- Putain, tu suces bien, tiens prends nos 2 bites dans ta bouche MMmmmmm ahhh

- Quelle pute, vas y continue comme ça

 

La bouche de Louisa, ouverte à l'extrême, reçoit les 2 bites qui l'une contre l'autre tentent d'entrer le plus possible.

Excités par cette femme, qui a  l'âge de leur mère, ils bandent comme des fous. L'un d'eux,  trop émoustillé, ne pouvant se contenir davantage, explose dans sa bouche.

 

- Ahhhh merde, je peux pas me retenir, elle me rend dingue cette salope Ahhhhhhh

 

L'autre s'enlève...

 

- Fous toi à quatre pattes, que je t'enfile

 

Hébétée, la bouche remplie de foutre, elle obéit, ne réagit plus aux hommes, qui abusent d'elle.

 

Le blondinet, s'enfonce en elle comme la fait auparavant le dénommé Roberto. Jeune, fougueux lui aussi, il la bourre avec force.

 

- Hann hann t'es une bonne vieille salope, dit il en la pistonnant, comme un diable en furie

 

Ses couilles  claquent sourdement, comme avec l'autre type, il comble son vagin.

Comme avec l'autre, elle tressaille, elle va encore jouir, c'est inhumain !

Son corps est envahi par un plaisir inouï, elle jouit à nouveau....

 

- Ahhhhhhh

- Ouiiii salope, prend ton pied, t'aime ça hein ?

 

 

La pauvre Louisa est atterrée, possédée par un plaisir immoral, l'autre continue à la baiser, infatiguable.

 

Roberto, qui ragaillardi par la vision de cette cochonne qui en redemande, se met à lui téter les seins, la tête sous ses seins, il aspire ses gros tétons, quand un nouvel orgasme atteint Louisa, comme une démente, elle se met à hurler, alors que s'écoule un flot de sa chatte.....

 

- La salope, elle pisse ?? Dit la jeune femme sidérée qui n'a rien perdu du spectacle. 

- Mais non, elle prend un pied de dingue. Comme un mec, elle éjacule, waooooohhh...  Une sacré salope, qu'on a là !!!

 

Louisa n'a jamais ressenti un tel plaisir, c'est absolument incontrôlable, une jouissance insoupçonnée, elle ne comprend même pas ce qui lui arrive.

 

- Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Ahhhhhhhh

 

L'homme qui la baise à son tour se laisse aller en elle, et se vide les couilles

 

- Ouiiiiii Bonne salope Ouiiii

 

Enfin le silence revient dans le hangar, seul leur souffle raisonne encore, Roberto la queue raide, n'avait jamais vu aucune femme éjaculer, il en avait déjà entendu parler, mais c'est tout.....

 

Le matelas est trempé, sa chatte est bien remplie, par deux reprises.

 

L'instigateur de l'orgie est heureux de l'avoir ramené ici, pas tous les jours, qu'ils ont une bonne chaude salope, comme elle.  Doucement, il se place derrière elle, exténuée, elle râle à peine quand il la positionne une nouvelle fois, le cul en l'air.

Que pourrait elle dire de toute façon, pense t-il, cette pute n'ira pas se plaindre, il en est sûr !

 

Sa chatte dégouline de foutre, de cyprine, de son jus, il la caresse et remonte jusqu'à l'anus, il veux l'enculer, elle est si trempée, plus question de la tringler dans la chatte.

 

Il fait signe à sa copine de le sucer un peu, histoire de bien humidifier sa queue.

Lola a compris ce qu'il a en tête, elle s'assoit à coté d'eux, la femme elle ne bouge toujours pas, épuisée sans doute, honteuse sûrement, elle se tient tranquille dans sa position, pourtant obscène.

Lola suce la bite de Roberto quelques secondes, puis le regarde faire quand il s'enfonce dans le cul inerte, ce qui provoque immédiatement un hurlement, de la part de Louisa

 

- Non, non pas ça ....... crie t-elle !

 

Mais Roberto l'encule, sans se préoccuper de ses cris, il la force sans douceur et la ramone pendant que Lola les regarde, heureuse de voir que la vieille n'apprécie pas d'être enculée.

 

- Vas y, défonce lui son gros cul, à ta grosse

- Ahhhh non, ça fait mal, ahh je vous en prie....

 

Roberto, déchaîné, se retire brutalement, voyant Lola qui les regarde

 

- Bouffe moi la queue, mouille la bien que je l'encule à nouveau

- Quoi ? T'es ouf !!!

- Suce moi, merde !

 

Lola qui connait les colères de Roberto, reprend le sexe qui sort du cul de la vieille et le suce

 

- Mmmmmmm ouiii c'est bon, salive la bien ma bite, attends chérie, je reviens dans ton cul, elle me mouille bien la queue pour ton toi

 

Lola pompe la bite quelques instants, puis il la quitte et replonge dans l'anus, la douleur est maintenant moins vive..

 

- Je t'encule MMmmm bien à fond, devant mes potes, Ahh t'es bien serrée, t'as déjà baisé par là ?

- Non non jamais, ahhh doucement, je vous en prie

- Suce, dit il à Lola, alors qu'il ressort du cul de Louisa

 

La jeune fille se rue sur la bite, bien décidée à ce qu'il jouisse dans sa bouche, plutôt que dans le cul de l'autre.

Lola n'aime pas qu'une intruse accapare ses potes, elle préfère être la seule à s'occuper des mecs du groupe.

Elle mets tout son talent à bien le sucer, pour qu'il dégorge dans sa bouche

 

- Ehhhhhh tu veux me vider les couilles ou quoi ? Dit il en sortant de sa bouche, pour repartir dans le cul défloré

 

Louisa supporte mieux la sodomie. Elle voit les 2 autres qui la regardent la bouche entrouverte. Ses gros seins ballottent sous les assauts répétés, dans son cul

 

- Ehhh Lola, viens lui caresser le clitolui demande le blondinet

- T'es malade, tu peux courir !

- Viens là, on te dit...

 

Ils la poussent sur le matelas, elle voit les gros seins qui pendouillent, les siens sont tout petits, elle n'en a jamais vu des pareils.

 

- Eh Lola, t'es subjuguée par les mamelles de mémé, goûtes y, allez fais pas ta timide

 

Lola se risque à attraper un téton et le suçote doucement, puis sa main caresse la vulve dégoulinante de sperme. Elle sait ce qu'ils attendent d'elle, qu'elle soit salope.

Ces mecs, tous des porcs.

Pourtant, toute sa vie tourne autour d'eux, elle aime leur plaire, alors elle caresse le clito de la vieille

 

- Ouiiii regarde comme elle aime ça, elle gueule même plus, une bite dans le cul, lèche sa chatte, t'es pas dégoûtée de notre foutre, tu l'avales tous les jours

- Ouaisss allez Lola, lèche lui sa fente baveuse, dit l'autre, alors que Roberto tringle toujours le cul de Louisa  

 

Lola prête à tout, pour se faire remarquer, avance sa bouche vers le sexe de Louisa qui comprend son intention, tout cela l'écoeure au plus haut point, et pourtant quand la douce bouche se pose sur sa vulve trempée de sperme, la lape, l'aspire, puis lèche son clito, à nouveau, elle jouit....

 

-Ohhhh ouiiiiiiiiiiiii

- Ouiiii je te remplis le cul, jouis salope, bonne pute ahhhhhhh, crie Roberto

 

Lola est satisfaite, elle a réussit. Son visage trempé de secrétions, elle regarde les autres fièrement

- Et voilà le travail ! Qui s'occupe de moi maintenant, José ?

 

Le sexe en main, excité par le spectacle, José se vide très rapidement, dans la bouche de Lola.

 

Roberto a quitté le cul de Louisa, celle ci est éreintée, contrite.

 

- Alors que dis tu de notre après midi ? ça te change du square et de tes petits enfants, hein ??? Dit il en riant

- Ben elle doit pas baiser souvent avec papy, ajoute un autre

- Rhabille toi, nous, on se tire....! Dit Roberto

 

Elle remets sa jolie robe fleurie, sans les sous-vêtements qu'elle ne trouve plus.

 

- Dis donc, si ça te dit, on remets ça dans quelques jours, histoire que tu récupères un peu ! Ajoute t-il en lui faisant  un clin d'oeil

- Vous êtes fous, complètement..... JAMAIS !

- Ok ma poule, si t'as envie, on passe au square tous les jours, crie t-il plus fort, alors que Louisa quitte le hangar, les jambes tremblantes.

 

Les deux jours qui ont suivi, repentante, Louisa n'a pas quitté sa maison.

Mais vendredi, dernier jour de la semaine, ses pas l'ont amené vers le square, ou le coeur battant, elle s'est assise sur le même banc, quelques minutes plus tard, Roberto sûr de lui est arrivé, accompagné du blondinet.

 

- Tu vois, je te l'avais bien dit qu'on se reverrait, viens on va te baiser, comme une salope. 

 

FIN

 

 

 

 

 

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