à la ferme ( 3ème partie et fin)

Désormais chaque jour Lucien avale sa petite pilule qui l'aide à honorer sa nouvelle amante.
Tous deux ont les traits tirés, la nuit n'est plus faite pour le sommeil mais pour une orgie de sexe, la Marylou accepte au delà de ses espérances d'exaucer ses moindres désirs.

Mais cette garce le rend dépendant, il ne peux plus s'en passer et les visites à l'hôpital s'en ressentent, Raymonde son épouse se plaint de le voir si  peu. Il sait que sa femme ne va plus tarder à rentrer, cela le bouleverse à l'idée de retrouver le lit conjugal et une épouse frigide.

Il repousse ses idées noires et pense à  l'autre, cette nuit encore elle a hurlé de plaisir, même se faire baiser le cul, elle a fini par aimer ça, elle en réclame toujours. Elle rechigne juste à l'embrasser ou à le sucer quand il s'est vidé les couilles dans son cul, pourtant lui ça le remets d'applomb très vite, sa petite bouche sur sa queue chaude et odorante, rien que d'y penser, il sent son sexe gonfler.
 Il faut pourtant qu'il donne à manger aux bêtes..... Une petite sieste s'imposera pense t-il ! Tant pis pour la ferme qu'il néglige.

Hélas le déjeuner sera terni par une triste nouvelle pour lui, Raymonde lui apprend qu'elle rentrera après demain.

- T'as pas l'air heureux, le lucien ? Râle t-elle au téléphone, sentant que la nouvelle ne le réjouit pas plus que ça
- Ben dis pas n'importe quoi la vieille, je suis juste crevé
- Faut dire à la gamine qu'elle t'aide, elle est pas là pour bronzer, elle te soulage au moins
- Oh ça oui, dit le fermier en pensant que pour ça, il est bien soulagé, ses couilles n'ont jamais été si bien vidées.

Ils discutent encore quelques minutes et Lucien raccroche mécontent.

- La vieille rentre samedi, viens là ! Laisse ton assiette, y a mieux à faire ! Ordonne t-il en ouvrant sa braguette et en sortant sa queue
- Mais je mange, ça peux attendre quand même, merde !!!
- Petite éffrontée, ne me fais pas répèter..

Elle jette sa fourchette violemment et se place à genoux devant le fermier

- Allez suce, suce ma bite, Mmmmmm vas y doucement, une vraie suceuse de queue

Il pose ses grosses paluches sur la tête de la jeune femme et ajuste le mouvement. La tête en arière, les yeux révulsés, il savoure cette pipe qui lui sert d'entrée. Elle sait se servir de sa bouche, y a pas à dire !!!



Le vélo est posé devant la grange, bien content d'arriver à l'heure du repas !
Il a eu une matinée effroyable, les gosses sont de plus en plus turbulents, faire le cathéchisme n'est plus de son âge.
Enfin, il connait le Lucien depuis des années, et il sait qu'en venant à l'heure du repas, il sera gardé à manger. Il secoue sa robe noire, pleine de poussières et il emprunte le passage qui mène à la maison, et se dit qu'avant de taper, il va regarder discrètement pour voir  s'il n'arrive  pas trop tard.
Caché par les géraniums à la fenêtre, il mets un certain temps à réaliser ce qu'il voit.

- Mon Dieu, est ce que j'ai une hallucination ? Quelle horreur, quel sacrilège ! Pense t-il tout bas, sans pour autant se retirer de la fenêtre

Lucien qui n'a pas vu le curé, se retient pour ne pas cracher dans la bouche de Marylou.

- Tourne toi, vite

En un mouvement, elle est retournée, les avants bras sur la table, le nez dans l'assiette de Lucien. Il soulève la jupe, dénudant les fesses charnues

- Tu la veux ma queue, tu la veux salope ?
- Oui vite, grouillez vous....

La queue raide et luisante de salive, il s'enfonce d'un coup dans la chatte brulante et humide.

Le curé n'en revient pas, tant de souillure, d'infammie.
 Il regarde Lucien, le sexe tendu et surtout la jeune femme au derrière proéminent qui se laisse faire sans se plaindre, bien au contraire. Le curé est abasourdi, tétanisé, il devrait entrer et crier à l'outrage, au scandale, mais non, son  regard est fixé sur la scène indécente et pire encore, il ressent une envie terrible d'être à la place de Lucien. 
Honte à moi pour de telles pensées impures, pourtant ce qu'il voit le mets dans un état oublié depuis  longtemps, le curé bande, et il bande fort.
N'y tenant plus, ne réfléchissant plus, il soulève sa soutane et d'une main impatiente libère son sexe, et sans hésiter, se branle furieusement en les regardant baiser. Le gros cul de la gamine s'agite sous la bite du fermier, ses gros seins balottent , il la voit la bouche ouverte, elle aime ça, il entend ses cris, elle en veux encore, encore... hurle t-elle

Le curé se branle sans vergone devant la fenêtre, un jet suivi d'un autre atteint le pot de fleurs, le curé jouit alors que Lucien se vide les couilles dans la jeune femme .
Le curé, la main souillée, s'essuie dans l'intérieur de la soutane, regrettant déjà cet abandon si délicieux toutefois mais si répréhensible par son Dieu.
Le temps d'essuyer sa main, à l'intérieur tout est redevenu normal,  il voit la jeune femme servir la soupe au fermier.
 Hésitant, il finit par taper.

-  Euh y a quelqu'un ? C'est m'sieur le curé
-  Ben vas y  l'abbé, entre donc

Les présentations sont faites, le curé est convié à diner. Sans en avoir l'air, il regarde discrètement la jeune Marylou, qui dessert la table, il la sait nue sous sa jupe et rien que l'idée le mets dans un drôle d'état. Il faut qu'il parle au Lucien, sans attendre et qu'il fasse partir de chez lui, cette tentatrice. Ainsi tout redeviendra normal.

- Alors le curé, t'es bien silencieux ! Dit Lucien, et la Marylou, sert nous un coup de gnole.

Elle va dans l'armoire et discrètement le curé la voit qui s'essuie l'entrejambe avec le torchon à vaisselle, il comprend alors que la semence de Lucien s'écoule sur son entrecuisse

- Hum hum Alors juste un verre Lucien, ne nous égarons pas. lucien, j'ai besoin de te parler en privé
- Vas voir dans la chambre si j'y suis.... Dit le fermier à marylou

En haussant les épaules, elle obéit.

- A la tienne, curé dit il

Ils avalent cul sec le verre de gnole, Lucien ressert immédiatement.

- Hum Hum Lucien, je ne crois pas qu'il soit décent que cette jeune femme reste sous ton toit, en plus Raymonde revient samedi
- Et alors, c'est moi que ça regarde
- Toi et le seigneur, et sache qu'il voit tout, dit le curé en avalant son 2 ème verre
- Tu cherches à me dire quoi, le curé ? demande Lucien en servant encore

Pour se donner du courage, le curé avale le 3 ème verre de gnole, ce qui ne l'aide pas au contraire, ses idées sont confuses.
Alors d'un trait, il dit.

- Je sais tout, je vous ai vu

Lucien le regarde surpris et eclate de rire.

- Et ça t'a plu, avoue ! T'en as pas eu envie, toi qui baise jamais
- Enfin Lucien... Dis le curé en lui prenant la bouteille des mains et se servant lui même un verre, qu'il avale cul sec.
- Est ce qu'un jour, t'as eu une jolie fille  pour te sucer la queue
- Hum non jamais, mais c'est pas la ... Enfin je....
- Marylou, rapplique tes fesses ici !

Le curé a trop bu. Il se demande ou Lucien veux en venir.

La jeune femme arrive.
- Le curé nous a vu baiser, et il en veux aussi
- Quoi ? dit la jeune femme
- Je suis sûre que l'idée  de te taper  un prêtre nest   pas pour te déplaire, une bonne action, ajoute t-il hilare.

Elle regarde l'homme à la soutane, la cinquantaine, grisonnant, un ventre rond mais le visage agréable. Faire ça avec un curé, ils sont fous. Il somnole à moitié  ivre.

- Allez vas y, incite Lucien qui doucement soulève la soutane,  suce le !!!

Elle s'approche timidement, doucement elle extrait le sexe du slip blanc immaculé, et prend la bite poisseuse dans ses fines mains

- Hé l'abbé, tu t'ai fait une branlette, on dirait ! ça pue le sperme constate Lucien
- Oui mon fils, j'ai fauté...   Mmm  Non jeune fille que faites vous ? Non Ohhhh mais... Ohhhhh

Marylou à genoux, lèche la bite du curé qui grossit par le traitement infligé. Lucien la regarde faire et avale une nouvelle gélule, préconisant de beaux moments.
La ferme et les bêtes attendront.
Il soulève la jupe de la jeune fille, quoi de plus excitant que de la voir à genoux, en train de sucer un homme en soutane, sa jupe relevée, libérant son gros cul

- Suce le bien salope, dit il en caressant le fessier imposant

Le prêtre gémit en la regardant faire, elle même ne le lache pas du regard, elle prend de l'assurance et surtout il n'est pas vilain à regarder,  pas comme l'autre.

- Caresse ses couilles, oui prend les dans ta bouche, t'aime ça l'abbé ? Gêne toi pas pour l'asticoquer, cette salope aime qu'on soit cochon avec elle. Insulte là ! Tiens reprend un verre de gnole

Ils avalent leur verre ensemble. Le curé n'a plus de morale, plus de devoir. Il a juste envie de cette bouche, de cette dévoyée.

- Marylou emmène le dans la chambre, on y sera mieux

Tous les 3 rejoignent le lit, Lucien enlève lui même la soutane du père qui ne réagit pas. Et nus, ils s'allongent.
Les hommes ont le sexe dessé

- Reste pas là à nous reluquer, suce nous, allez une bite dans chaque main, et suce, c'est que tu sais faire le mieux, pas vrai l'abbé ?
- Sans nul doute, mais je vais devoir y aller... Ahhhh Mademoiselle vous.... Ahhh

Marylou le pompe avec douceur, alors que Lucien lui attrape les seins en passant dans son dos, il tire sur ses tétons, ce qui la rend folle.
- T'aime ça hein salope, baise le curé, vas y grimpe lui dessus

Elle enjambe le curé qui a le sexe droit et dur et s'assoit d'un coup sur son manche

-Regarde moi ça curé, pelote lui les nichons, t'en as plein les paluches, hein vas y tête la !!!

Monsieur le curé la tête, Marylou commence à se mouvoir sur la queue qui la transperce

- Ahhh créature du diable, ahhhh petite salope, salope
-ouiiiii curé c'est une salope, elle aime ça, penche toi plus sur lui que je t'enfile mon doigt

Elle approche son visage du prêtre, et immédiatement, elle est enculée par 2 doigts qu'il remue dans son anus
Comme prise de folie, elle s'agite plus vite,  comme prise de convulsions.

- Ouiiii ah c'est bon
- Mon sexe est en feu dans ta chatte, tu es brulante, c'est si bon ahhhh pardonnez moi mais c'est si bon

Marylou s'agite frénétiquement sur la queue du prêtre et les doigts de Lucien

-Ouiiiii encore ouiiii j'en veux, baisez moi ouiiiiii Ohhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Le curé n'en peux plus et jouit dans la chatte trempée en gémissant longuement

- A quatre pattes, salope vite, hurle Lucien

Sitôt dit, elle s'exécute et sous le regard anéanti du curé, se fait enculr devant lui. Ne perdant pas une miette de la scène lubrique qui se joue devant ses yeux éberlués. Lucien la queue raide, s'enfonce et se recule dans cet imposant postérieur, dans des bruits immondes

- Putain, t'aime ça l'avoir dans le cul, un cul à bites salope... Ah bon sang je te baise à fond, je t'encule, ma queue te défonce Ahhhhhhhh touche la curé, touche sa chatte, caresse là

- Ahhh ouii c'est bon, allez y ouiiiiiii encore ouiiiiiiiiiiiiiiii je vais jouirrrrrrr ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
- Tu me rends fou,  t'es trop bonne ahhhhhhhhhhhhh ahhhhhhh

Cette après midi, ils usèrent de son corps,  ils lui emplirent chaque orifice plusieurs fois. Et la nuit venue, la tête lourde, les membres engourdis et les couilles vides, le curé décide de reprendre la route. Sur le chemin, il a honte de lui, comment  regarder ses paroissiens à la messe dimanche?

 Dans la maison, plus un bruit, le silence règne enfin.

Le lendemain matin, comme tous les vendredi arrive Eugène, un arriéré mental âgé de 50 ans qui vient uniquement pour aider aux nettoyages des étables et porcheries.
Lucien a déjà vu Eugêne nu sous la douche, car après le nettoyage il faut dire que les hommes ne sentent guère la rose.
A plusieurs reprises, il a constaté que le débile était pourvu d'une bite à la taille sidérante provoquant une jalousie chez Lulu.

 Fort d'avoir pu amener Marylou à baiser avec le curé du village, Lucien a décidé de faire un petit plaisir à Eugène qui n'a surement jamais connu de femme. Au village, tout le monde l'appelle quasimodo, car il y a une forte similitude entre lui et le "quasimodo du film", hormis le fait qu'en plus d'être hideux, Eugêne est débile.
Il sait que Marylou déteste quasimodo, mais l'idée germe depuis quelques jours et la journée d'hier a confirmé l'envie.

- Alors quasimodo, ça va ce matin ?
- Oué, oué
- Allez mets ta tenue, et on va bosser

Dans la grange, il enlève jean et tee shirt, pour mettre bleu de travail. Quasimodo ne mets jamais de slip

- Alors t'as encore oublié de mettre ton slip, aujourd'hui ?
- nan ça fait mal, ça serre le kiki
- il est trop gros, faut te trouver une copine, ça fait du bien
- quasimodo a pas de copine
- t'aimerais pas ?
- pour jouer ?
- pour toucher ton kiki, et faire comme les vaches
- sais pas
- Reste là, et attend moi dans la paille, je reviens avec une copine

Dans la maison, il appelle Marylou qui se prélasse devant la TV

- Tu deviens fénéasse, t'as rien d'autre à faire, et la vaisselle ? Viens avec moi j'ai envie, viens on va à l'étable !
- Pourquoi à l'étable ?
- T'occupe et vire ta robe, on va gagner du temps

Elle râle, refuse mais il tient bon et enlève sa robe, elle est nue, elle est bandante. Il la prend par la main et l'amène dehors. Honteuse que quelqu'un puisse la voir, elle se presse pour arriver. Il ferme la porte en bois.

Il l'amène vers la paille et là, elle voit Quasimodo, elle comprend de suite, et hurle

- Jamais, jamais !!!!! Je veux partir... Hurle t-elle en allant vers la porte
- Allons pas de manière, regarde moi sa queue, elle est énorme

L'homme hideux a un sexe énorme effectivement, des couilles pendantes ce qui effraie encore plus la jeune femme.

- Viens jouer avec mon kiki
- Non non jamais, siffle Marylou
- Bon arrête de faire ta mijaurée, tu dis non à chaque fois,et t'en réclame toujours, tu quitteras pas l'étable sans l'avoir fait cracher, annonce Lucien
- Cracher, je sais bien carcher, quasimodo peut cracher loin
- La ferme, on t'a pas parlé !!!! hurle Lucien exaspéré

Il prend les bras de la jeune femme et le mets de force dans son dos, puis l'oblige à s'agenouiller

- Toi viens ici, elle va te sucer, tu verras, ça va te plaire
- Non pas ça, s'il vous plait !!!

Kasimodo arrive en boitillant, son énorme sexe pendouille, de sa main libre Lucien, le prend

- Vas y Eugêne, prend ta queue, et mets là dans sa bouche.

Eugêne ne comprend pas trop ce qu'on veux de lui, mais il sent que Lucien ne sera pas content s'il n'obéit pas, alors il obéit.

Marylou voit arriver près de sa bouche la grosse queue, le gland épais et rose pâle se pose sur ses lèvres, elle voir le visage de l'abruti qui sourit. Elle persiste à tenir ses lèvres closes, quand Lucien appuie ses ses machoires, sa bouche s'ouvre et la bite s'engougffre à l'intérieur, enfin juste un peu car il est si gros que tout ne rentre pas

- Marylou, Lulu? marylou suce mon kiki
- Dis ma bite, abruti, ma bite
- Marylou suce ma bite
- C'est bon, t'aime ça ?
- Oui mais je .. ahh je coule.. je coule Ahhhh
- Ahh cochon, tu craches déjà, t'es un sacré toi !!!! rigole Lucien

Marylou reçoit un jet énorme, suivi d'un autre, épais, concentré au goût fort, l'autre idiot ne se retire pas, elle est obligée d'avaler le sperme. Elle est dégoûtée, à la limite de vomir.

- C'est bon, tu peux t'enlever ! Dis donc, c'est incroyable tu bandes encore
- Oui bite dure, marylou suce encore
- Non on va jouer à autre chose, dit Lucien. Allonge toi dans le foin, ma beauté !

Résignée, elle feint de s'alonger puis se lève d'un coup. Quasimodo la retient

- Lulu a dit, faut obéir à lui

Il la jette dans le foin. Elle voit sa queue qui n'a pas diminué, toujours raide.

- Vas y, Eugêne , regarde je vais te montrer comment faire dit Lucien qui s'est déshabillé, il s'allonge sur elle et enfonce sa queue en remontant ses jambes sur ses épaules
- Mmmm tu verras, c'est bon, mais faut pas cracher de suite, faut attendre, attendre, ok ?
- Oué attendre répète Quasimodo, qui a les yeux injectés

Il s'allonge sur la jeune femme, prends sans douceur ses jambes, les mets sur ses épaules et attends bêtement.

- Attends je vais t'aider, dis Lucien

Il attrape sa queue palpitante et chaude, et la pose devant la fente humide de Marylou

- Vas y pousse, enfonce ta bite, s'impatiente Lulu

L'idiot obéit, alors que Marylou crie, et soudain elle hurle, il enfonce sa queue

- ouii c'est bien,  bouge comme je le faisais, c'est bon ? dit Lucien
- oué oué bon, oué bon ahh oué bon

Marylou se fait baiser par le débile, elle est défoncée par le pieu énorme, devant l'air hagard du cinglé qui bave, Lucien fait le tour par derrière et se cale à ses épaules, la queue dressée

- Suce moi, toi continue à la baiser et tu craches pas, tu attends
- oué oué bon

La bouche pleine et le chatte défoncée par le monstre, Marylou est devenue la pire des dépravée, la bave du débile coule sur ses seins qu'il mord parfois, elle a tellement honte d'être tombé si bas, quelle déchéance.

- Oué oué bon, ahh lulu bon pas craché
- Salope, tu me suces trop bien, tu aimes sa grosse queue, elle est bonne hein MMmmmmmm tiens salope, avale ça Ahh

Quasimodo ne comprend pas, il a envie de cracher, ça vient mais il n'a pas le droit, il va plus vite, encore plus vite et là il l'entends hurler, la femme crie

- Ahhhhh ahhhhhhhhhh Nannnnnnnnnnn ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh
- Vas y craches eugêne,  vas y
- OUé oué je crache  oué ahhhhh bon ahhhhhhhh

Il regarde la femme t lulu, un sourire aux lèvres, content de lui

- C'est bien, elle est contente, hein ma grosse, t'as pris ton pied !

Elle ignore la remarque même si c'est la vérité, trop honteuse de l'avouer.

- Allez Eugêne au boulot maintenant, toi aussi beauté !


Le lendemain, Raymonde arrive.
Dès son arrivée, elle prend en grippe la jeune femme, quelque chose ne tourne pas rond, elle ne saurait dire quoi encore, mais elle le sent.

Lucien rejoint Marylou quand Raymonde dort, mais une nuit alors qu'il baise la jeune femme, il s'est senti très mal, et après une vive douleur dans la poitrine, il décéde brusquement, était ce l'abus des pilules bleues ?

1 heure plus tard, Marylou quitte la maison en pleine nuit, jetée  à la rue comme la pire des trainées.

FIN

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Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

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