LE MARI DE MA SOEUR ( dernière partie )

Pendant les 8 jours qui ont suivi, on baisait dès qu'on le pouvait, ma soeur ne s'apercevait de rien, ma tromperie me dégoûtait, mais c'était impossible de résister.
Pourtant il était vulgaire, autoritaire, mais il me faisait jouir comme personne.
A chaque fois la même intensité, j'attendais impatiente, avide, qu'il me rejoigne dans ma chambre ou qu'il me baise dans la cuisine.

Nous étions comme deux bêtes affamées de sexe. Il claquait des doigts et je devenais sa chose.

Ce matin là, le jour commençait à se lever,  je traînais sur le lit dévasté, épuisée, pleine de sperme, il était 5h00 du matin, il avait passé la nuit à mes cotés, il rejoignait rarement ma soeur désormais.

A vrai dire, celle ci lui était très reconnaissante envers lui, quand il avait proposé de passer les prochaines nuits sur le canapé.
La pauvre avait apprécié la délicatesse, dont avait fait preuve son époux.
Comment aurait elle pu imaginer un instant, qu'il partageait mon lit, depuis 8 jours.


- J'ai envie d'un bon café, allez file me faire une tasse. Exige t-il en baillant

Ses ordres étaient devenus si routiniers, que je n'y prêtais plus guère attention.

Fourbue de ma nuit, je me lève lentement et me prépare à enfiler le peignoir qui traîne sur la chaise.

- Non, mets juste un tablier, et reste à poil dessous. ça sera plus pratique.
Dans la cuisine, j'enfile le petit tablier noir qui recouvre juste le devant, et se noue per derrière,  mes fesses sont ainsi exposées
Je prépare donc le petit déjeuner les fesses à l'air, il arrive à son tour dans la cuisine. Sa main frôle mon cul dénudé, je frémis.

- Toujours prête toi, ouvre les jambes !

J'obéis sans hésiter, aussitôt un doigt s'engouffre dans ma chatte trempée de foutre. Le doigt disparaît profondément en moi, il s'assoit pour être plus à l'aise, et me somme de continuer à beurrer les toasts.
Je tente d'obéir, mais un second doigt rejoint le premier

- Ouvre bien tes jambes, tu sais bien que t'aimes ça

Il a raison, j'écarte bien mes jambes, pas facile de rester concentré sur les toasts.
Pourtant les doigts me libèrent la chatte

- Lèche, oui c'est bien, il y avait une  salope perverse et je suis tombée pile dessus, tu m'as vidé les couilles toute la nuit, et pourtant te voir ainsi le cul exhibé, tu me tentes à nouveau. J'ai la bite qui se dresse encore, assied toi dessus. Je veux ton cul.

Son sexe est raide à nouveau, bien dur.
Mon cul est irrité, tant il est sollicité depuis quelques jours. Mais je le veux encore, m'écarteler la rondelle.
Je ne le regarde pas, je suis dos à lui, juste sa queue qui se présente à mon cul, ses mains sur mes seins.
Je m'encule doucement, la voilà au chaud dans mes entrailles.

- Quelle pute tu es ! Vas y bourre toi  le cul sur ma queue, elle est assez bonne pour toi  ? Mmmmmmm Laisse moi titiller ton clito rajoute t-il en abandonnant mes seins pour descendre sur ma chatte trempée.

Mon bourgeon est en feu, bien gros, il le masse lentement alors que mon cul monte et descend sur sa bite en rut
Je gémis sans discontinuer, tant c'est bon....

- Ouiiiii ma pute, prend ton pied ! une vraie vide couilles, heureusement que tu es là pour te faire sauter par ton beau frère chéri
- Ahhhh Franck, je t'en prie, tais toi, dis pas ça  Ahhhhh
- Tais toi, tu n'es qu'une salope, pire que moi, dis le .."JE SUIS UNE SALOPE", dis le !

Je m'agite frénétiquement sur la bite érigée, mes gémissements se font plus forts, j'aime me faire enculer, ses doigts électrisent mon clito, je vais jouir

- Je suis une salope, oui, baise moi, encule moi profond, je jouisssssssss
- Ahhhh t'es bouillante, Mmmmmm salopeeeee

L'orgasme m'a, une fois encore, terrassé. Je reste quelques secondes, inerte.
Bouge toi, prend la dans ta bouche, finis moi comme ça.

Je me relève, sa bite quitte mon anus. A genoux j'avale la bête avidement, même ça je le fais maintenant, sans hésiter.

- Pompe mon dard, pompe moi bien, dit il, ses mains maintiennent ma tête.

- "Léa, Léa, viens vite"...... Raisonne la voix de Caro dans sa chambre
- Laisse la, finis de me sucer, vide moi les couilles avant !

A quoi bon le raisonner, je continue de le sucer alors que  ma soeur m'appelle.

- Elle fait trop chier celle là, Mmmmmmm ouiiiii tu suces si bien, je viens Ahhhhhh ouiiiiii

Le sperme arrive dans ma bouche, j'avale et me redresse. Les cris de ma soeur deviennent inquiétants, je cours sans attendre dans la chambre.

- Caro, qu'y a t-il ?
- "J'ai mal, si mal, je veux aller à la clinique, j'ai perdu les eaux, vite AHHHHH J'ai mal."

Je me rends compte qu'il y a un problème et m'empare du téléphone pour appeler le SAMU
Elle hurle, je tente de la rassurer et je me rends compte subitement de ma tenue, juste le tablier qui recouvre ma nudité

- Je reviens Caro, une minute....... Lui dis je confuse et rougissante, à reculons, je tente de quitter la chambre sous ses cris.

Dans le couloir, je vois Frank, un café à la main.

- Elle a perdu les eaux, elle souffre, le SAMU va arriver, je vais me changer, j'espère qu'elle n'a pas prêté attention à ma tenue..
- Tu rigoles ma cochonne, regarde tes seins qui débordent, ton cul bien ouvert et tu pues le sperme, ajoute t-il en s'amusant.
- Tu ferais mieux de t'habiller, toi aussi ! je réponds sèchement

Je file mettre des vêtements décents. Quelle honte, pourvu qu'elle n'est pas prêté attention. Ses cris sont atroces, enfin le SAMU arrive et l'évacue vers la clinique.

2 heures plus tard, une petite fille vient au monde, toutes les 2 se portent bien.
J'ai attendu pour voir ma soeur, celle ci épuisée n'a pas voulu me voir.
En rentrant chez elle, je me demande quoi faire, est ce que je pars ou  je reste.
4 jours de clinique, et elle sera rentrée à la maison, je me dis que  mon aide sera précieuse, mais il y a Franck, il faut que lui et moi arrêtions, c'est devenu trop dangereux, trop risqué.

Je lui en parlerais, il est papa, il faut qu'il réalise sinon je partirais.

En entrant dans la maison, il n'est pas là.
Je nettoie, je range. Tout est en place, 21 heures personne, je prends des nouvelles de ma soeur au téléphone, apparemment, elle dort toujours.

Le voilà qui rentre, ivre.
 
- Ohhh mais elle est là ma salope préférée, viens m'embrasser, viens embrasser ton beau frère
- Franck ça suffit, tu es saoûl ! Je file dans ma chambre, on parlera demain
- Prépare toi ma belle, j'arrive

Je feins de ne pas entendre, comment lui dire dans l'état ou il se trouve, que tout cela, c'est fini !
J'entends le téléphone qui sonne, je le laisse répondre et je vais me coucher.
Dans la soirée, alors que je somnole, j'entends des rires, il y a du monde, doucement je me lève pour aller voir. Il s'agit de son témoin que j'ai aperçu au mariage !

- Siiiiii, comme je te le dis, une affamée de bites, elle aime ça la garce, jamais assez ! Quoi tu me crois pas ?  Enfin mec, tu sais que je suis pas du genre à raconter des conneries.... C'est vraiment une belle salope ! Elle aim..........   "Léa, c'est toi" ?

Je ne bouge plus, cachée derrière la porte, comment m'a t-il entendu, je tente de faire demi tour, mais la porte s'ouvre brutalement.

- Ben quand on parle du loup, viens par là toi ! Il prends ma main et m'entraîne dans le salon, regarde qui j'ai trouvé, Léa, tu te rappelles de Michel

Le dénommé Michel, me fait un signe de tête, mais je vois bien qu'il me dévisage, ma nuisette ne cache pas grand chose.

- Allons Léa, soit pas si timide, j'ai parlé de toi à Michel, il ne croit pas un mot, dis lui que t'es une chaudasse qui aime la bite. Il en a une belle tu sais, allez Michel fais voir ta queue.

Pendant que Franck parle, il me tient d'une main solide, de l'autre sort son sexe, sans gêne devant son ami.

- Franck, je t'en prie !
- Tss allons Léa, pas de manières !

Le dénommé Michel, ne mets pas longtemps à imiter son pote, le pantalon valse dans la pièce, ainsi que le boxer.
Le sexe du nouveau venu est étonnant, d'une circonférence au dessus de la moyenne, bien que relativement court, il a une largeur impressionnante.
Je regarde les hommes assis l'un près de l'autre, ils se masturbent doucement.
Je faiblis déjà, comment suis je à ce point dépendante du sexe.

Franck qui me connaît bien maintenant, voit immédiatement le désir dans mes yeux

- Viens nous sucer, viens goûter à sa queue, viens ma salope, dit il en me lâchant la main.

A ce moment là, je pourrais partir, mais non.
Ma langue passe sur mes lèvres, j'ai envie de les sucer, tous les deux,  envie de leur sperme qui va inonder ma bouche.

Je m'agenouille, je prend un sexe dans chaque main, puis je commence à sucer la nouvelle queue bien large, à l'odeur forte.

- Alors tu vois, je t'avais pas menti, à moi ma jolie, suce la mienne aussi...

Je vais de l'une à l'autre, la bave me coule sur le menton, leurs mains me caressent, la nuisette est retirée

- Tu vas nous servir de vide couilles à tous les 2, tu es d'accord dit la voix grave de Michel, qui me parle pour la 1 ère fois
- Mmmmm ouiii, leur bite en bouche, je tente au mieux de répondre
- Et t'as pas tout vu, elle a un cul à disposition, et elle aime ça....Continue de me sucer, mais place toi à quatre pattes, fais voir ton cul à Michel

Sur le canapé, je m'agenouille et reprends le sexe de Franck en bouche, alors que les mains de Michel caressent ma croupe.

- Mmmmm joli cul, j'ai bien envie de te bouffer le cul pour commencer, sa langue caresse mon anus, alors qu'il me masturbe et que Franck m'humilie verbalement.

- Oui, tu es une belle pouffiasse, quand on pense que ta soeur a accouché ce matin, et que t'es entrain de me sucer la bite

J'ai honte de moi, mais j'aime être à la merci de ses hommes, la langue s'enfonce dans mon cul, les doigts s'agitent dans ma chatte et ma bouche est remplie d'une bonne queue.

- Putain, elle me rend dingue, je vais la baiser

Michel est excité comme un fou, sa large queue en main, il se prépare à m'enculer.
Depuis quelques jours, mes fesses reçoivent une bonne queue, mais quand celle ci me défonce, je hurle, elle est énorme.

- Vas y mec, bourre la bien, et toi suce, fais moi cracher

Je reprends ma fellation, avec l'énorme mandrin qui me défonce l'anus

- Je te baise bien à fond, tu la sens ma queue dans ton cul Mmm  c'est si bon que je vais pas pouvoir tenir

- Viens finir dans sa bouche, elle adore ça, viens avec moi dit Franck

Sans se soucier de moi, Michel se retire brutalement de mes fesses et place sa queue devant ma bouche

- Ouvre bien grande !

J'ouvre et je reçois un premier jet suivi de deux autres, ils vident leurs couilles dans ma bouche, qui se remplit rapidement de leur crème. J'avale une grande partie, le reste coule sur mon menton.
Je me sens dépravé, mais j'aime ça.

- Ma pauvre Léa, tu n'a pas joui, sers nous un verre, on récupère un peu et on s'occupe de toi, promis.

Toute la nuit, je me suis faite baisée, défoncée, léchée, sodomisée par les deux hommes.
Le matin, dans un état indescriptible, je me suis traînée sous la douche.
Michel est rentré chez lui, Franck épuisé, dort toujours.

Je suis allée à la clinique. Ma soeur réveillée, m'a juste demandé de quitter sa maison.
Elle a pardonné à son mari, qui la trompe autant qu'il le peut,  je suis d'ailleurs, l'une de ses nombreuses maîtresses.

Mais plus de contact avec Caro....

Ce fameux jour du tablier, elle a TOUT compris.





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Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

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