LE JARDINIER ( partie 2 )

Le jardinier lui, était un homme d’une quarantaine d’années, un homme aimant aussi bien les hommes, que les femmes.
Il avait compris dans le regard de son patron, ses envies cachées.
 

Il était accroupi les mains dans la terre. Olivier qui l’avait rejoint, se trouvait à quelques centimètres de lui.

En se retournant pour lui parler, le nez du jardinier était presque sur son maillot de bain.

Olivier n’avait pas reculé, trouvant la situation déroutante. Sentant malgré lui, son sexe qui se gonflait sous le maillot. Le jardinier avait lâché sa binette, sans quitter Olivier du regard, caressé doucement la bosse qui se profilait dans le slip de bains.


Olivier surpris avait laissé faire, n’avait esquivé aucun geste pour l’arrêter, mieux, il avait aimé ce contact masculin.
La main s’était faite plus curieuse, cherchant à libérer le sexe, la main encore pleine de terre l’avait caressé, masturbé quelques secondes.


La voix dure et rauque de Pierrot l’avait fait reprendre contact avec la réalité.

 

-        ça te plait, approche toi !

 

Comme un gosse, il avait obéi, le maillot de bains  avait glissé sur ses chevilles. Quand la bouche de l’homme  s’était emparée de sa verge, il avait failli crier de plaisir.
 

L’homme si grand, si fort le suçait avec une douceur inouïe, ses larges mains lui caressaient les couilles. Il voyait le crâne chauve de l’homme luisant au soleil, sa bouche gourmande le sucer, le pomper, un délice insoupçonné jusqu’à ce jour.

Ce fut trop pour lui, une envie irrésistible de s’écouler dans la bouche de son nouvel amant.

Sans l’en avertir, il jaillit dans un gémissement, le jardinier nullement offusqué de recevoir la crème, avale avec plaisir la semence de celui qui le paye, pour s’occuper de son jardin.


Il se relève, il dépasse de deux têtes Olivier, celui ci plus trapu, plus grassouillet.

 

-        Tu m’emmènes dans ta chambre, ici ça craint, tu ne crois pas.

 

C’est vrai, dans l’excitation du moment, Olivier n’a pas un instant pensé au risque d’être surpris par quelqu’un.

 

-        On y va ? Tu me dois bien une petite gâterie toi aussi ? Dit l’ouvrier en souriant.

 

Olivier avait remonté son slip de bains. Ils étaient entrés dans la maison et tout naturellement, il avait entrainé son nouveau compagnon de jeux, dans la chambre matrimoniale.

 

Le slip de l’un et le short de l’autre, avaient vite disparu.

 

-        Je suis le premier ?

-        Oui

-        Alors je vais y aller en douceur, mets toi en position

 

Encore, il s’était exécuté, heureux de connaître de nouveaux plaisirs. Il s’était de lui-même placé à quatre pattes, exhibant sans gêne ses fesses.

 

-        Dis donc, faut pas te prier toi, t’as le cul en chaleur, pire qu’une gonzesse, cambre toi bien !

 

Anxieux néanmoins sur le sort qui l’attend, Olivier est excité, il aime le ton autoritaire de l’homme.
Quand il sent le souffle qui s’approche de son anus, quand il sent la langue le lécher, il défaille de plaisir, tout ce que sa femme lui refuse, il lui fait sans attendre. Les bruits de succions se font entendre, Olivier se surprends à gémir.

 

-        Petite pute, tu aimes hein ? Elle ne te lèche jamais le cul ta légitime ?

-        Mmmm Non jamais, elle est frigide, déteste le sexe..

-        Mon pauvre biquet, MMmmm ton cul est un régal, tu me fais bander

 

Le jardinier se redresse, sa queue est gonflée, prête à déflorer la rondelle. Il prend son temps, regarde l’homme qui s’offre à lui, le ventre flasque. Il voit que sa langue a fait son effet, son cher patron le cul en l'air, bande à nouveau.
 

Il s’avance vers l’orifice humide, pose son gland violacé

 

-        Je vais te la mettre, te remplir ton petit cul  de salope.

 

Le sexe entre sans l’anus qui se contracte sous la douleur. Olivier hurle dans le coussin, il va probablement l’arracher tant il est gros, il sent que l’homme y va doucement, mais la douleur persiste. Quand enfin un dernier coup de reins le transperce.

 

-        Ahhhhhh hurle t-il

-        Ça y est, j’y suis, décontracte toi, prend du plaisir avec ma bite

 

Effectivement, il coulisse plus facilement dans son anus ouvert, c’est un bonheur nouveau d’être ainsi baisé. Les 2 hommes savourent l’instant, Olivier gémit enfin de plaisir, la douleur a presque disparu, il aime sentir son cul rempli d'un sexe d'homme, depuis longtemps qu'il avait cette encie cachée de se faire enculer.

 

-        T’as un bon cul, tu sais Mmmm , dit le jardinier

 

Pierrot s’agite plus vite, plus profondément…. Il voit la queue de son amant raide. Il ne tient plus, et libère un long jet de foutre dans ce cul déniaisé par ses soins.


Et c’est là, qu’ils ont vu Martine.
 
 ...........   ...............    ...............   ..............

 

-        Alors, répète t-il, ça fait quoi, dis lui à ta grosse, t’as aimé te faire enculer comme une tapette.

-        …Oui, avoue Olivier

 

Martine la bouche ouverte, ne sait plus que dire, ne sait plus comment réagir.

Son regard va de l’un à l’autre. Son mari bande toujours, ça la dégoûte.

 

Pierrot s’avance vers elle.

 

-        Madame fait la fine bouche, mais peut être que madaaaame est du genre coincée du cul, viens par là ma poule.

 

Il l’attire vers lui et sans attendre, l’embrasse à pleine bouche sous le regard ébahi d’Olivier.

Martine tente de se soustraire à l’homme, la langue répugnante et baveuse se mêle à la sienne.

Enfin le souffle court, il cesse de l’embrasser.

 

-        Comment osez vous, et toi comment peux tu le laisser faire ?

-        LA FERME.  Il est temps que t’apprennes à te comporter comme une femme soumise à son mari, comme il n’arrive pas à se faire respecter, je vais l’assister un peu, tu es d’accord pour me laisser agir comme bon me semble avec elle ?

       

Olivier, à qui la situation échappe complètement, ne sait que répondre, mais voir sa femme être embrasser par un homme nu dans leur chambre, l’a excité au plus haut point.

 

-        D’accord, permission accordée.

-        Tu me laisses décider de TOUT !

 

Martine croit vivre un cauchemar, les hommes parlent d’elles comme si elle était transparente, ça suffit, elle décide de quitter cette maison de débauche.

 

La porte se referme brutalement devant elle.

 

-        Tssss Ne m’obliges pas à m’énerver ! Toi, attaches la au lit, sur le dos, Ordonne t-il à Olivier.

 

Martine crie, se débat, supplie son mari de reprendre ses esprits.

Olivier fait le sourd, il est déchaîné, émoustillé par ce qui va se dérouler dans leur chambre, habituellement si calme.

 

Martine est attachée les bras et les jambes en croix. Pierrot lui enfourne le maillot dans la bouche pour ne plus l’entendre.

Il prend les ciseaux sur la commode et entreprend de découper sa robe qui ne tient plus que par des lambeaux

 

-        Désolée pour ta robe, dit il en riant !

 

Le soutien gorge blanc et le slip connaissent le même sort. Elle est nue.

 

-    Pas trop mal pour ton âge, t’as de beaux restes, ajoute t-il en caressant ses seins. Un peu de bide comme ton mec, manque d’exercice ma grosse, on va y remédier. Eh toi, viens là, tu bandes toujours, viens…. On va se placer comme ça au dessus de sa tête, je vais te sucer un peu, elle prendra le relais ensuite.

 

Olivier se place à genoux, coté gauche de la tête de son épouse, Pierrot coté droit. Sans attendre il suce la queue de son employeur.

Martine ne peut que regarder la scène qui se déroule au dessus d’elle, elle voit le sexe de son mari qui s’engouffre dans la bouche de ce type, celui-ci bave copieusement, la bave qui s’écoule sur son visage.

 

-        Mmmm elle est bonne à sucer, fais la goûter à ta chérie.

 

Pierrot enlève le maillot de la bouche et guide la queue trempée de sa salive, dans la bouche fermée de Martine.

Il pince ses narines, elle ouvre la bouche pour respirer, la verge s’enfonce immédiatement dans sa gorge.

 

-        Bien, vas y mon pote, crache dans sa bouche, elle aime ça ?

-        Mmmmm non, elle n’a jamais avalé

-        Elle va rattraper le temps perdu, dit Pierrot en lui caressant les seins. Il suce les pointes qui se dressent, au contact de sa bouche.

 

Martine peux à peine respirer, son mari s’est installé sur son visage et sans pitié pour elle, il baise sa bouche longuement, profondément. Elle geint, espérant peut être sa pitié.

Libérant le téton, Pierrot regarde Olivier qui s’active comme un diable dans la bouche de sa femme.

Au passage il pose sa grande main sur les couilles qui s’agitent, il les malaxe, ce qui a pour but d’exciter davantage Olivier.

 

-        T’aime ça mon gros cochon, vas y remplie la, de ta crème.

 

Olivier gémit à son tour et déverse son sperme dans la bouche outragée. La malheureuse ne peut qu’avaler.

 

Pierrot a de nouveau envie

 

-        Allez vire mec, laisse ta place, allez ma cocotte, fait moi bander que je te baise ensuite

 

Il prend la place d’Olivier. Martine sent immédiatement la forte odeur, elle est consternée, son sexe est sale.

Mais Olivier s’engouffre dans la bouche, quelques secondes plus tard, il a la queue raide

 

-        Détache ses pieds, dit-il à Olivier qui le regardait se faire sucer.

 

Les pieds sont libérés. Pierrot soulève les jambes de la jeune femme et les placent sur ses épaules.

Sa bite à l’entrée de son vagin, il entre d’un coup. Elle hurle, sans attendre, Olivier lui remet dans la bouche le maillot pour cacher ses cris. Il est fasciné par le sexe qui baise sa femme. Jamais il n’aurait pensé que cela puisse être aussi excitant.

Le jardinier se délecte de cette chatte si serrée, si chaude.

 

-        Mmmm elle est bonne à baiser, tiens ma grosse, prends ça Mmmmm dit il en la pistonnant à fond

 

Ayant bien déchargé plus tôt, dans le cul de son patron, Pierrot se sent une forme du tonnerre, pas prêt à se lâcher. Il veut profiter de cette femme, qui le toise avec mépris depuis des mois.

Sa bite s’enlève et rentre à nouveau, il prend son temps. Olivier, le regard fou caresse les seins de sa femme en fixant la bite qui la défonce.

 

-        Mmmm Elle est vraiment bonne, goûte son jus, dit Pierrot en sortant sa verge dégoulinante de la chatte.

 

Olivier de jette sur le sexe avec avidité.

 

-        Suffit, quel gros cochon lubrique tu es, dit il en reprenant place dans le sexe béant de Martine, il la ramone comme un fou, quand celle-ci ressent en elle un sentiment étrange de chaleur qui monte, et soudain un flash terrible, elle jouit longuement, intensément alors que le jardinier se vide dans sa chatte.

 

Surpris, Olivier regarde sa femme, entend son gémissement, elle a les yeux hagards. Il comprend que pour la première fois de sa vie, elle vient de jouir.

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Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

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