L'AVOCAT (suite N°1)

La matinée fut très enrichissante.
Le père de Guillaume est un excellent avocat, elle comprend que ce stage va lui apporter énormément au niveau professionnel.
C'est un homme respecté, elle admire son carisme et tente d'oublier ce qui s'est passé ce matin, sous le bureau.
En avalant un café pendant une très courte pause, elle ne peux s'empêcher de penser à la scène assez humiliante. Elle se sent désemparée à l'idée du mal qu'elle fait, même si Guillaume est à cent lieues d'imaginer les turpitudes de son père. Elle avale le breuvage avec délectation, tant le goût immonde du sperme imprègne toujours sa bouche.

- Camille, je vous attends, il n'est pas utile de rester des heures, devant la machine à café ! Tonne t-il dans le couloir du tribunal

Rougissante, elle jette le gobelet en carton dans la poubelle et se précipite pour le rejoindre.

La matinée s'écoule rapidement toujours passionnante. Puis arrive  midi, les collaborateurs disparaissent pour aller déjeuner, Camille attend de son patron, les directives, elle a très faim. Lui écrit consciencieusement, sans se préoccuper de la pause déjeuner.

- Bien, nous voilà seuls, jeune fille dit il enfin après d'interminables minutes. Peut être avant d'aller déjeuner, tu pourrais m'ouvrir l'appétit, quand dis tu ?
- Euhh je ne comprends pas !
- D'abord cesse de prendre cet air d'ingénue, tu as l'air au bord du malaise, ou tu as trop chaud dans ce bureau étouffant, mets toi à l'aise, retire donc cette vilaine robe.

Bien que vexée, par la critique vestimentaire, elle est encore plus outrée par la demande.
L'homme la rejoint et ôte la fermeture éclair dans le dos.

- Vas y, enlève moi ça, je ferme à clé !

Elle le regarde, pétrifiée, faire un tour de clé, puis il se retourne. Elle n'a pas bougé, seul son visage est devenu écarlate, les lèvres tremblantes.

- Tu n'es donc bonne à rien, ne me fais pas regretter de t'avoir prise comme stagiaire, quelle idiote tu es !

D'un coup, il ôte la robe. Dessous, elle a un soutien gorge blanc en dentelle, ainsi qu'une culotte de la même couleur.

- Mais a t-on déjà vu des sous vêtements aussi laids ? Tu n'as donc aucun goût et cesse de pleurer...... Dit il en dégrafant le soutien gorge

Les seins sont gros,  mais fermes, magnifiques en fait. L'avocat est ravi, il aime les fortes poitrines. La première chose qu'il avait remarqué, c'était ses seins. Il voit qu'elle tremble, il prend tout son temps, la détaillant longuement. Ses mains effleurent les tétons qui, comme par miracle, se dressent. 
Il ne résiste pas à l'envie de la téter, d'abord doucement puis goulûment, il aspire avec délice ces gros bourgeons.
Camille honteuse de la situation scabreuse, pleure doucement alors que le père de Guillaume lui suce les seins. Elle sent les larges mains de l'homme qui se plaque sur ses fesses, il caresse sa croupe.

- Mmmmm j'adore bouffer les seins et les tiens sont conséquents, dit il se redressant

Elle remarque avec consternation, que ses tétons sont devenus énormes, rouges vifs. Ils pointent avec arrogance.

- Tu es très sexy, tu sais, plus jolie à poil, que habillée avec tes horreurs de fringues, vire moi cette culotte de grand mère !

Tétanisée, Camille est incapable de bouger, les bras ballants, elle ressemble à un pantin.

- Pauvre idiote, siffle t-il, tu fais la paire avec mon crétin de fils.

Il baisse rageusement l'affreuse culotte de coton blanc.

Elle est nue au milieu de la pièce, nue devant cet homme au costume de grande marque. Lui silencieux, la contemple.
Elle est divinement belle.
Son fils est un idiot, pense t-il, avec une fille pareille, on ne doit songer qu'à baiser. En pensant ces paroles, il enlève délicatement son costume, et le pose sur le fauteuil, il se déshabille à son tour.
Toujours droite au milieu du bureau, frissonnante.
Elle voit que son sexe est devenu dur comme ce matin quand elle le suçait. Mais que veut il donc encore d'elle ?

- Assied toi, au bord du bureau, oui, replie tes jambes, en les écartant au maximum, MMmmm superbe chatte !

Il bande comme un âne, il sait qu'il va la posséder bientôt, elle se fera enfiler par SA queue pour la première fois, il va se taper une petite vierge effarouchée, il adore l'idée. Il lui pelote les seins, tire sur les tétons, elle réprime un cri, fière malgré sa honte.
Il approche son visage de sa petite chatte, la hume. Mais que lui fait il ? Elle ne comprend pas ce que désire cet homme ignoble. Camille est si prude, si chaste, quand elle sent qu'il la lèche, elle se rebiffe..

- Non pas ça, s'il vous plaît, non !!!!!!! C'est dégoûtant, ohh mon dieu !

L'homme jubile, il est aux anges, il sera le premier pour tout, il bande davantage, il la déguste, la savoure lentement, continue malgré les pleurs qui ont repris.

Outragée dans sa dignité, elle laisse faire l'abominable avocat, attendant qu'il se lasse d'elle. Mais quelque chose d'étrange se passe dans son intimité, une chaleur envahit son sexe, les larmes ont cessé de couler, elle retient avec difficulté quelques petits gémissements de plaisir, elle ne comprend pas ce qui se passe dans son corps et, est heureuse quand enfin, il s'arrête. Sa barbe est trempé, il a l'air ravi. Elle le trouve abject.
Avec horreur, elle se rend compte que son sexe a encore grossi, il est tendu à l'extrême.

- Viens là, viens goûter à ma queue.

Sa bite s'approche de la vulve humide, il entre en elle, lentement , le vagin étroit  n'a jamais connu la verge d'aucun homme, elle crie, elle pleure, lui continue sa pénétration, elle est si chaude, si serrée. Puis il force le passage avec frénésie.

- Chuttttt Laisse moi faire, Hannn.... Mmmm ça y est j'y suis, je t'ai défloré ma jolie, Mmmmm c'est bon

Elle est sans force, écoeurée de lui, d'elle même. Il continue quelques minutes qui lui semble un siècle et dans un cri, elle l'entend qui jouit.

-AHHH  ahhh Ouiiiii

Il se retire, la laissant vide, désemparée. Il s'essuie rapidement effaçant les traces de sperme et de sang.

- Allez, on se presse de se rhabiller jeune fille, je vous offre à déjeuner, je meurs de faim, essuyez vous, voyons, ça coule partout.

En effet, elle prend le mouchoir tendu et essuie ses cuisses. Elle n'est plus vierge par sa faute, elle le déteste, mais elle sait qu'elle est aussi responsable de ce fait, en acceptant la proposition du matin, elle savait à quoi s'attendre.
Elle est tout aussi répréhensible que lui.  Il s'est déjà revêtu,  elle en fait de même et quelques minutes plus tard, ils roulent en silence, pour aller  au restaurant.

L'après midi se déroule normalement, pendant les heures de bureau, c'est un personnage captivant, elle apprend énormément de lui, elle tente de ne pas penser aux horreurs qu'il lui a fait.

A 18h00, la journée se termine.

Elle a RV avec guillaume à 19h00 et souhaite prendre une douche par décence, avant de le retrouver.

Hélas, les bureaux sont vides et elle se retrouve à nouveau seule avec son patron.

- Bonne soirée Maître, à demain.
- Une minute, tu vois mon fils ce soir ?
- Euhh oui à 19h00
- Pas de soucis alors, on a un peu de temps devant nous !
- S'il vous plaît, je voudrais rentrer me doucher.....
- Ahhh hahaha, tu as peur qu'il s'aperçoive que tu t'es faites baiser ????

Elle ignore la remarque cinglante, mais elle le voit ouvrir sa braguette, non pas encore, pense t-elle ! Cet homme est un obsédé.

- Juste un petit coup avant que tu ne le rejoignes, Mmmm j'ai encore envie. Penche toi sur le bureau
- Laissez moi y aller, s'il vous plaît ! Pensez à Guillaume...
- Mais jeune idiote, si mon fils est impuissant, ça n'est pas le cas de son père ! Penche toi... Non, le ventre sur le bureau, ouiii, dit il en la voyant obéir.

Il baisse la culotte, et caresse les  fesses à la peau si douce, quel plaisir ça sera aussi de lui défoncer la rondelle....!
Enfin soyons patient,  il se branle un peu, imaginant comme ce moment sera jouissif. Sa queue est raide, prête à s'enfoncer dans le vagin défloré.
Elle tressaille quand la queue investit sa chatte. Il la baise doucement, lui murmurant qu'il la trouve bonne à limer.
Puis il accélère la cadence, elle ne bouge pas, se laisse faire sans participer. Et soudain, comme à midi, cette chaleur qui revient, c'est bon mais inquiétant, car la vague de chaleur s'amplifie, et soudain elle ne contrôle plus son corps, un éblouissement terrible la submerge, un flot de plaisir la transperce, sans le vouloir elle crie, un cri rauque de jouissance.
L'avocat n'en croit pas ses oreilles, il a senti le vagin se contracter , il l'entend crier, elle jouit.

L'orgasme dure plusieurs longues secondes. Excité, il jouira à son tour, les deux amants restent  pantois.

Puis l'avocat se redresse, claquant les fesses bruyamment.

- Ma belle, tu as l'air d'apprécier mes faveurs, n'est il pas vrai ? Je crois sans me tromper, que tu seras une belle cochonne dans ton genre, sous tes airs de pimbêche coincée du cul, je crois que tu aimes la bite.

Camille est indignée tant par le vocabulaire grossier, que par les insultes.
Sous son rire tonitruant, elle feint d'ignorer la remarque déplacée et se rajuste prestement.

- File donc le retrouver, à demain. Mmmm je vais penser à toi, cette  nuit !

Elle murmure à son tour, "à demain" et prend le chemin qui mène au parking. Quand son portable sonne, c'est Guillaume, mal à l'aise, elle répond

- Oui, Guillaume.
- Tu vas bien ? Comment s'est passé ta journée, pas trop dur avec mon père ? Il s'occupe bien, de toi ?

Les questions fusent les unes après les autres, il veux tout savoir, elle ne dira que :

- Oui, tout va très bien, Non, non,  pas trop dur !  Il est prévenant avec moi.

Alors que dans son fond intérieur, elle a envie de hurler," J'ai  sucé ton père sous son bureau, il m'a dépucelé à l'heure du midi, et là, je viens de jouir pour la première fois de ma vie".

- Oui, j'arrive Guillaume, oui moi aussi, je t'aime, répont-elle encore avant de racrocher.

Une page vient de se tourner pour la gentille Camille, sans le savoir encore, elle est déjà devenu une autre femme.



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Mon premier blog

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

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