LE JARDINIER ( partie3 )

 

Pétrifiée par cette découverte de la jouissance, Martine ne bouge plus, savourant encore ce moment d’extase, inconnu jusqu’alors.


C’était donc ça, ce qui lui avait manqué toute sa vie, cet instant magique ou le corps se lâche, ou l’on ne maîtrise plus rien.

 

Elle regarde l’homme qui vient de lui faire vivre ce moment.

Le corps en nage, les muscles saillants, le crâne luisant, elle le trouve vulgaire, pervers.

C’est pourtant lui qui l’a amené au plaisir de la chair.

Ses jambes sont toujours sur ses épaules, la position est inconfortable, mais submergée par sa jouissance, elle a beaucoup de mal à reprendre contact avec la réalité du moment.


Elle croise le regard d’Olivier, elle y lit l’étonnement. Toutes ces années de mariage ou il lui faisait l’amour, sans qu’elle y prenne du plaisir.

Aujourd’hui elle sait.

 

Elle est mélangée par le désir de revivre ça, et par la situation dégradante pleine de débauche, qui la amené à la jouissance.

 

-        Alors mon gros, tu vois que ta nana est capable de jouir….. dit le jardinier d’un ton sarcastique, elle a juste besoin d’être traitée comme une salope. N’est ce pas, Madaaaame se sent mieux ? Encore envie peut être ?

-        ………

 

Elle ne répond pas.


Enfin ses jambes se retrouvent à l’horizontale. Le sperme dans son vagin s’écoule sur le drap.  Elle a mal aux bras, à force d’être attaché.

 

-        Olivier détache moi, je suis ankylosée.

-        T’as pas compris chérie, c’est moi qui décide. Dis-moi que tu es prête à obéir à tous nos fantasmes et je te délie, ajoute Pierrot.

-        Jamais je ne dirais ça ! Siffle t-elle

-        Ahhh ahhhh j’en suis pas si sûr, bon j’ai soif, viens toi, on va boire un coup et piquer une tête dans ta piscine, laissons la

-        Quand tu seras décidée, ma belle, préviens-nous !

 

Les hommes quittent la chambre.

Elle se retrouve seule, elle les entend plonger, rire, personne ne se préoccupe d’elle. Elle a soif, les bras engourdis. Elle n’en peut plus, au bout d’une heure, un cri sort de sa bouche.

 

-        S’il vous plait…….J’en peux plus, hurle t-elle !!!!

 

2 mn plus tard, Pierrot passe sa tête

 

-        T’as appelé ma poulette ?

-        Détachez-moi !

-        Tu es ok pour obéir

-        Oui dit-elle doucement

-        Bien, tiens je t’ai amené à boire, il enlève les attaches de ses poignets.

 

Enfin le sang circule normalement, elle vide le grand verre d’eau fraiche d’une traite.

Olivier est revenu lui aussi, il est souriant, toujours nu.

 

-        Ta femme s’est  enfin décidée,  elle va être notre pute, pas vrai chérie ? Demande t-il à Martine

-        Oui, murmure t-elle

-        Alors à quatre pattes, chérie, Tsss non ne commence pas à râler, ni à te plaindre, sinon je te rattache illico.

 

Martine péniblement se mets dans la posture souhaitée. Jamais elle n’a éprouvé tant de honte.

 

-        Eh mon gros, t’as pas envie de la brouter un peu ?

-        Ben c’est que, c’est que … Elle est remplie et ..

-        Et quoi, t’aimes pas mon sperme, allez mon gros, vas y !

 

Olivier se dit qu’après tout, rien de bien terrible. Et puis les fois, ou il a pu la lécher, il les compte sur les doigts d’une seule main.

 

Le sexe est trempé, un mélange de mouille, de sperme.
L’odeur est forte, entêtante, il a un instant d’hésitation puis se lance.
Sa langue s’abreuve des liquides enivrants. Son hésitation est vite remplacée par une envie démesurée, il aime bouffer cette chatte odorante.
Il lèche le jus de sa femme et l’entend gémir, des soupirs non feints cette fois, il est conscient qu’elle y prend goût. Il voit sur ses fesses potelées les mains du jardinier, ses grosses mains aux ongles souillés par la terre.

 

-        T’aime ça hein mon gros, bouffe la bien, vas y passe ta langue sur sa rondelle aussi, ouiiii comme ça, lèche son clito doucement conseille l’homme


Olivier obéit et suit les instructions, il bande à nouveau, sa femme gémit de plus en plus fort, Pierrot en profite pour enfoncer un doigt dans l’anus serré.

Elle geint mais ne se dérobe pas. Pierrot joue avec son doigt alors qu’Olivier poursuit son cunni, Martine le nez dans la couette, perd pied une nouvelle fois, la langue qui masse doucement son clito en feu, lui procure un orgasme. Son corps tressaille sous le plaisir.

Les 2 hommes s’en rendent compte.

 

-        Ta femme, aime le sexe, mon gros, tu ne le savais pas….. ? Bouge ma poule, je vais te faire goûter à ma bite, histoire de voir si tu apprécies quelque chose de plus gros qu’un doigt.

-        Non pas ça….

-        La ferme, toi maintient là, fais pas cette tronche mec, tu auras le droit d’y goûter aussi à son cul, je te la prépare….


Olivier acquiesce d’un hochement de tête, jamais elle n’a accepté la sodomie, une pratique qu’elle juge sale et dégradante.

Elle se débat mais Olivier la tient solidement, les yeux hypnotisés par le sexe raide et dur de Pierrot, il repense au moment ou lui-même a reçu le gourdin dans son cul. Il est excité à l’idée que maintenant, c’est au tour de son épouse d’y goûter.

Elle crie, elle pleure, mais Pierrot n’est pas homme à se démonter, il veut la baiser cette chienne, il veut l’enculer…..

Son gland se présente sur l’anus trempé de la salive d’Olivier, il n’hésite pas une seconde et s’enfonce dans la rondelle fermée. Martine ne bouge plus, elle sent le sexe qui lui arrache les chairs, la queue s’avance dans son anus, c’est horrible


-       
T’es serrée ma grosse, faudra remédier au problème, une bonne sodo tous les jours, tu verras, on y rentrera comme du beurre… Mmmm j’y suis presque, arrête de braire !


Les pleurs et les couinements sont incessants, l’homme ignore et la besogne lentement.


-       
C’est bon, ma poule, j’y suis dans ton cul, laisse moi faire, Mmm je t’encule chérie, ton mec bande comme un âne à me voir faire, suce le un peu avant que je lui cède la place.


 
Olivier s’approche de la bouche de sa femme, son visage en larmes, le nez qui coule, il avance son sexe et est surpris que sans broncher, elle le suce.

 

-        Voilà, tu vois, Tu ne savais pas y faire avec elle, regarde comme elle te pompe le dard alors que je lui troue le cul, Mmmmm elle est bonne, tu veux essayer, viens je te remplace dans sa bouche.

 

Pierrot se retire d’un coup, ce qui fait à nouveau crier Martine. Olivier quitte la bouche chaude et humide pour se plonger dans les entrailles de sa femme, le passage est étroit, bouillant, les fesses blanches le rendent fou, il voit avec satisfaction sa bite disparaître dans le cul.

Pierrot se place devant la bouche

 

-        Bouffe ma queue, j’ai envie de te la remplir, ton homme te remplira le cul, ouvre !


La bouche s’ouvre pour laisser place au sexe malodorant, les hommes baisent Martine si prude, si réservée. Olivier le premier, ne tient  plus, voir sa femme enculée par sa bite alors qu’elle pompe la queue d’un autre, son excitation est décuplée.

Il se vide avec extase dans le cul de Martine. Son sexe encore dans l’anus de sa femme, il voit Pierrot qui décharge dans la bouche

 

-        Mmmmm avale ma poule, c’est du bon Ahhhhhh C’est bon !! ! !

 

Tous les 3 s’écroulent sur le lit.
Martine se rue aux WC. Les hommes se sentent merveilleusement bien, Olivier n’aurait jamais imaginé vivre de tels moments. Béat, heureux, il regarde le jardinier avec admiration.

 

-        Ehhhh ça t’a plu mon gros, on va bien se marrer tous les 3 hein ? Viens me rouler une galoche.

 

Olivier n’est pas très chaud, mais Pierrot n’aime pas qu’on se refuse, ni elle, ni lui.

 

-        Viens je te dis !

 

Il s’avance dans le lit, leur bouche s’écrasent l’une contre l’autre, il embrasse un homme pour la première fois de sa vie. Martine revenue dans la chambre, les regardent, sa robe toujours en lambeaux, son maquillage a coulé, elle a piètre allure.

 

-        Qu’est ce qui a ? Tu veux qu’on t’embrasse aussi, viens là salope, dit Pierrot en tapotant sur le lit.

 

Soumise, elle s’assied timidement.

Le jardinier l’attire à lui et l’embrasse goulûment,  puis la passe à Olivier qui a son tour enfourne sa langue dans sa bouche. Elle est devenue un pantin, une poupée gonflable.

Rassurée, elle voit leurs sexes au repos, comblés par les 2 heures qui viennent de s’écouler.

Tous les 3 s’allongent sur le lit et tombent endormis, repus.

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Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

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