VOYAGE A DAKAR

Je suis partie à Dakar.
Dès mon arrivée dans notre chambre d'hôtel que j'ai trouvé d'une propreté douteuse, j'ai détesté être dans ce pays.
Le reste de la journée n'avait pas été des plus concluants, fatiguée par les heures d'avion, je n'avais pas réussi à me reposer sur le sable, infesté de puces affamées.
La chaleur, les bestioles, et leur cuisine ne me plaisant pas, j'avoue que les 15 jours qui m'attendaient, ne m'emballait pas.

Du coup,  de mauvaise humeur, je laissais seul, dès le lendemain de notre arrivée, mon mari partir pour la journée en ballade organisée, l'idée de rester dans un car durant des heures ne m'attirant guère.
Je maudissais le fait de m'être laisser entraîner à ce voyage décevant.

Après avoir avaler un modeste petit déjeuner, je me décide d'aller au bord de la piscine, lieu qui logiquement ne devrait pas être infesté de puces, de moustiques.....

Il faisait déjà chaud, les touristes étaient nombreux à se prélasser au soleil.
D'un oeil distrait, je regarde les hommes. Partout ou je me rends, j'aime regarder, j'aime mater les mecs. Pourtant même là, je suis déçue. Des couples pour la plupart, et rien de bien attirant, à priori.

Alors ces fichues vacances risquent d'être bien ennuyeuses. Je finis par somnoler.
L'heure du déjeuner approche, j'ai terriblement chaud, et une migraine terrible.
Je décide de prendre une douche dans ma chambre et de me faire servir un léger repas.
Je passe ma commande par téléphone, et file sous la douche, l'eau est fraîche, je me sens mieux.
Sitôt sortie de la salle de bains, on tape à la porte, j'enroule une serviette et ouvre la porte.

- Bonjour Madame ! Djadji à votre service, voici votre repas ! Dit un homme de grande taille, avec un accent très prononcé.

Je m'efface pour le laisser passer. Je détaille l'arrivant, très grand, large d'épaule, le teint très noir, la bouche épaisse.
Un homme magnifique, je dois dire.

L'homme dans la chambre prend une place considérable, au vue de son imposant physique.

Aussitôt je pense qu'il doit être divin dans un lit. Je ressens déjà le besoin d'un homme. Mon mari ne m'a pas touché depuis quelques jours, et j'imagine déjà ses grosses mains sur moi, sa langue s'agitant dans les endroits les plus intimes et comment peut être son sexe, grand , gros...?
L'homme lui aussi me regarde, il détourne les yeux en voyant la serviette, qui recouvre le strict minimum.

Je le remercie chaleureusement. Nous parlons de mon séjour et il finit par quitter ma chambre.
Je me sens abandonnée, mais désormais j'ai trouvé ma nouvelle occupation, je veux cet homme !
Je grignote mon déjeuner et je rappelle pour qu'on vienne me desservir, non que le plateau me gêne, mais surtout pour avoir de nouveau la visite de Djadji.

Je prends soin d'enfiler une robe avec une fermeture dans le dos, sous la robe, je suis nue.
Je suis déjà toute excitée à l'idée de le revoir.
5 mn plus tard, on frappe. Je crie d'entrer.

Je suis dans la salle de bains, feignant de râler sur cette maudite fermeture.

- "Puis profiter de votre aide Djadji, je n'arrive pas à remonter cette fichue fermeture éclair, ça ne vous ennuie pas trop, j'espère" ?
- "Non bien sûr que non, M'dame" !

Je me retourne face au miroir, dévoilant mon dos, la fermeture démarre très bas, je sais qu'il apercevra mes fesses nues.
Je sens ses mains qui frôlent ma peau. Je me retiens pour ne pas me jeter sur lui.
Lentement la fermeture remonte, il prend son temps, dans le miroir, je vois qu'il transpire.
Est il excité lui aussi ?
Je me retourne, le remercie, nos corps se frôlent.
Je ne peux m'empêcher de caresser son torse. Je sens qu'il tressaille, surpris sans doute.

Je chuchote de façon indécente :

- "J'ai terriblement envie d'un homme, mon mari revient par le car de 19H00" !

Comment ai je pu lui dire ça !
Il me regarde, interloqué, puis je l'entends me dire :

- "Je finis mon service à 16 h M'dame, je reviens après.."

Et il se sauve précipitamment.
Il est 14H00, deux heures à attendre ce superbe mâle. Je décide de retourner  à la piscine.

A 16h00 tapantes, je l'attends.  Va t-il oser revenir ?

Un grattement à la porte me dit que c'est lui.

Effectivement, il a changé son costume contre un tee shirt blanc et un pantacourt et des tongs.
Il est magnifique.
Un peu gênée de mon aplomb, je ne sais comment me comporter soudainement, je sais qu'il doit me prendre pour une belle salope.
Ce que je suis, il est vrai.

Il s'approche de moi, sa tête près de la mienne, je sens son souffle. Puis ses grosses lèvres s'approchent des miennes, et nous nous embrassons.
Des siècles que je n'avais pas été embrassé ainsi. 
Ses mains me caressent, passent sous la robe, j'ai pris soin d'enlever mon maillot en rentrant de la piscine, je suis tremblante sous ses mains énormes.
Il retire d'un coup la fermeture qu'il avait fermé un peu plus tôt, la robe tombe au sol. Je suis nue devant lui. Il enlève son tee shirt, il est superbe, puis le pantacourt, rien dessous lui non plus. Et je vois enfin son sexe qui m'a fait fantasmer, avant même de l'avoir aperçu.

Une grosse queue noire, brillante, le gland saillant rosé. J'en salive rien que de la voir ainsi.

Je m'agenouille sans qu'il m'en prie et je le lèche, je le hume. 
Je soupèse ses grosses couilles, me réjouissant d'avance de ce que je vais avaler. Ma bouche enfin, s'ouvre la plus grande possible pour avaler cette queue qui mérite d'être superbement sucé.
Un vrai bonheur, que d'avoir la bouche si bien remplie

- "Mmmmm..... Viens, viens M'dame t'allonger sur le lit, moi aussi je veux te goûter".

Je coule déjà de plaisir entre mes jambes.
On s'allonge sur le lit en 69, et je goûte à sa langue, sa grosse langue baveuse. Alors que sa bite s'enfonce dans ma gorge, me bourre la bouche, avant de me bourrer autre chose.
Il lèche comme un dieu, s'abreuvant à mon sexe, aspirant mon clito qui s'enflamme à chacun de ses passages, un de ses doigts se perd dans mon cul, j'aimerais lui donner plus tard, pour le moment je veux profiter de sa bouche.
Je le sens qui tressaille, il reste inerte et se vide en gémissant, un flot de sperme se répand dans ma bouche. La tiédeur de sa liqueur est un bonheur. Sa queue quelque peu ramollie par ce traitement, il se retire de ma bouche et reprend sa caresse buccale avec soin, il veux me faire jouir à mon tour, me caresse les fesses, me doigte le cul, sa langue est un délice.
Je finis par jouir longuement dans un cri que je ne tente même pas de réprimer.

Alors que lui se redresse de toute sa stature imposante, je reste là les cuisses grandes ouvertes, le sexe humide de salive, ma jouissance a été si forte.
Puis je reprends contact avec la réalité, je ne veux pas perdre un instant, je veux profiter de ce superbe mâle au sexe proéminent.

Ma main s'active déjà à le caresser encore, sa peau est si douce.
Sa bouche rejoint de nouveau la mienne, je sens l'odeur de nos sexes respectifs qui se mélangent, j'aspire sa langue, sa salive, je caresse sa bite qui grossit comme par magie dans ma main.
Lui quitte ma bouche, me tète un sein, nous ne parlons pas, lui comme moi avons juste, très envie.
L'autre sein est tété à son tour. Il est gros dans ma main, je n'arrive pas à refermer ma main sur son sexe, d'une largeur impressionnante.

- "Viens, M'dame viens t'empaler dessus" !

Je m'empresse de lui obéir ma chatte réclame une queue, sa queue.

  
Je grimpe à califourchon sur les lui, me voilà à genoux, je vois le sexe démesuré prêt à pénétrer ma chatte.
Sa bite impatiente se place à l'entrée de mon vagin, et enfin je m'enfonce. Les premiers centimètres se font sans résistance, mais la grosseur et la longueur de sa tige force mon vagin, je suis remplie comme rarement je l'ai été, ses mains énormes me triturent les seins. Je sens mon sexe qui se dilate pour laisser place à la queue.

J'entame mes va et vient sur sa hampe, ces grosses paluches quittent mes seins et se plaquent sur mes fesses.

- "Mmmm Viens c'est bon, c'est bon".....

Je suis assise complètement sur sa queue, je la sens au fond de moi, écartelée, baisée. Et je m'agite sur lui, il transpire, d'énormes gouttes de sueur sur le front, je suis en nage moi aussi. Et tout s'accélère, je me déchaîne sur ce sexe noir qui envahit si merveilleusement bien,  ma petite chatte de salope.

Un black, depuis le temps que j'en voulais un, un superbement bien membré. Nous gémissons tous les deux, il n'ose parler. C'est moi qui le supplie

- "Vas y baise moi ! C'est bon, j'aime ta bite", ahhhhhhhh

Je jouis une fois encore, comme une chienne, je hurle de plaisir quand je sens qu'à son tour, il m'inonde de son sperme.

Je suis heureuse de ce moment qu'il m'offre, hélas, mon époux arrive dans 1/2 heure et il me faut prendre une douche avant son arrivée.

- "Tu vas devoir partir Djadji, mon mari va bientôt arriver" !
- "Oui M'dame", dit il sans rechigner

Je le regarde, se revêtir, quel corps magnifique, j'aimerais pouvoir en profiter toute une nuit. Comment le revoir ! Et surtout quand ?

- "Je te rappelle, dès que j'ai un moment de libre, je te rappelle, tu es d'accord"
- "Oh oui M'dame ! Djadji est à votre service".

Oh que oui, tu es à mon service, je pense tout bas.
Il sort de ma chambre discrètement. Ma main passe sur mon sexe encore ouvert, une grande quantité de sperme s'écoule. Je repense à cette magnifique bite toute noire qui a si bien honorée la blanche que je suis.
Péniblement, je quitte le lit en bataille et file sous la douche. En sortant, mon époux est là.

- "ça va chéri, plus fâché ? Tu sais mon ange, on a une petite demi heure avant d'aller dîner, tu ne me ferais pas une petite gâterie, j'y pense depuis toute l'après midi".

En bonne épouse, j'ai accepté sa queue. Après tout, c'est bien grâce à lui que j'ai pu prendre du bon temps cet après midi avec Djadji, la moindre des choses, c'est de l'en remercier.
Quelques minutes plus tard, il m'envoyait une bonne dose de sperme que j'avalai conscienceusement avec l'impression d'avoir fait mon devoir. Mais en m'habillant, c'est au gros sexe d'ébène que je fantasmais à nouveau.

3 jours plus tard, je n'en pouvais plus. Il fallait que je le revoie, j'avais trouvé comme excuse, la visite d'une ville située à 100 km de Dakar, et une migraine terrible m'empêchant d'y aller.

Déçu, mon mari est parti seul pour sa visite organisée.
Dès le car parti, j'appelais l'accueil réclamant Djadji, et une boisson fraîche.
Évidemment, il était en service.

Il arrive quelques minutes plus tard, avec la boisson.
J'ai revêtu une nuisette très indécente. Il a compris immédiatement ou je voulais en venir

- "M'dame a de nouveau envie de Djadji ? M'dame est très belle".
- "Je te plais, prouve le moi" ?

Je devenais folle, j'avais qu'une envie, le foutre à poil et me faire jouir avec sa bite.

- "Mais M'dame, va  devoir attendre, je suis en service"

Je feins d'être en colère, et ce grand type à la taille impressionnante fond "comme neige au soleil", à peine que je commence à montrer quelques signes d'agacement.

- "Je peux vous faire du bien avec ma langue, si vous voulez M'dame, j'ai pas le temps pour autre chose"
- "OK alors fais moi jouir comme ça...... pourme faire patienter" !

Il s'allonge sur mon lit et de demande de m'accroupir sur son visage.
C'est dans cette position qu'il commence à me lécher, comme la fois précédente, c'est un réel plaisir, et la position accroupie sur son visage m'excite  autant que lui, quelques minutes plus tard, je râle de jouissance.
 Il se redresse, visiblement la petite séance lui a donné une grosse envie au vu de l'énorme bosse qui déforme son pantalon. Je salive à l'idée du sperme à avaler. 
Hélas, il ne veux rien entendre, il sera là après son service, dans 1 heure.

Il repart et je reste à l'attendre, une heure interminable....

Une heure, plus tard.
Un grattement à la porte, il est là.

Il ente vite toujours prudent.
Il prend ma main, me jette sur le lit.

- "Depuis 1 heure que Djadji a envie" !

Il se déshabille, le costume chute à terre, son sexe est énorme, il bande comme un âne.
Je lui caresse la bite

- "Qu'as tu envie, dis moi, je veux te faire plaisir à mon tour".

Il me retourne sur le ventre, caresse ma croupe de ses énormes mains.
Immédiatement, je comprend ses attentions.
 
- "Vas y, encule moi, c'est ça que tu veux ? Moi aussi"....

Sans attendre sa langue se jette sur mon anus, me surprenant par tant d'entrain à la tâche.
On dirait un affamé. Il me bouffe le cul, je suis trempée par sa salive, par l'excitation qui me gagne.

- "Ouiii, lèche moi, bouffe moi, prends moi, je veux ta queue dans mon cul"

Il s'arrête  surpris par mon audace, et place sa bite devant ma rosette humide. Je sens son gland qui s'enfonce puis les centimètres qui m'enculent lentement, je deviens folle quand il est au 3/4 de sa queue. Je hurle comme une damnée dans le coussin et enfin la bite entière est en moi

- "Je suis dans votre cul M'dame, ça va bien" ?
- "Oh ouiii, vas y défonce moi maintenant, ahhh putain que ta queue est grosse, que c'est bon, vas y bourre moi le cul"

Mes paroles le rassurent, lui qui était d'une grande douceur, se démène mainenant dans mon anus qui s'est ouvert pour recevoir sa grosse bite.

- "Ahhhhh Je vous.. je.... ahhhh c'est bon M'dame, ça va toujours" ?
- "Mais ferme là, baise moi, ahhh oui comme ça, c'est bon"

Maintenant, il y va profondément sans douceur, je n'ai jamais été aussi bien enculé.

- "Je voudrais changer de position, M'dame, vous assoir sur moi, vous voulez" ?

Il se retire d'un coup, laissant un vide immense dans mon anus, il s'assoit sur le bord du lit, la bite énorme dressée, arrogante.
Dos à lui, je m'empale lentement sur son sexe, je suis assise sur son pieu, un moment magique d'être ainsi défoncée.
                          
 
Mes jambes écartées, il caresse mon clito et nous reprenons nos ébats, je monte et redescend sur sa verge alors qu'il caresse mon clito en feu, mon anus est grand ouvert, je suis écartelée par son sexe et un orgasme terrible m'assaille.
Il cesse de me caresser et me lime le cul sans ralentir jusqu'à son tour, il jouisse bruyamment.
En me redressant, je me rends compte de la dilatation de mon anus, c'est effarant comme celui ci s'est ouvert. Je me sens terriblement bien. Je me retourne et embrasse à pleine bouche ce géant de couleur, qui sait si bien me baiser.
Nous avons passé une partie de la journée  à baiser, jamais rassasiés.
Quand il a quitté la chambre, j'étais sur les rotules, j'ai dit à mon mari qui m'a trouvé au lit en rentrant, que ma migraine avait empiré.

Le lendemain, les jours d'après, je n'ai plus revu Djadji, un autre type qui avait pris sa place, m'a fait comprendre qu'il avait du quitter l'hôtel.

Je ne sais pas pour quelle raison, est ce à cause de moi ?
Je ne le saurais jamais.

En tout cas, grâce à lui, j'ai un souvenir merveilleux de ces vacances.
J'aurais juste aimé que cela dure plus longtemps. Mais je sais, je suis trop gourmande.

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