INITIATION( partie 1)

[ RV samedi à 14 h00 précises, ma jolie Sarah, Place de la Liberté, j'ai une Scénic grise.]

Je lis et relis le dernier mail reçu à l'instant, heureuse et en même temps si affolée, de rencontrer enfin le monsieur, avec qui je parle depuis maintenant 1 mois, sur un forum.

J'ai 18 ans et 4 mois. Je m'apelle Sarah.

Au lycée, je suis une élève moyenne, ni bonne, ni mauvaise. Je n'ai pas d'ami(e)s.
Je suis vierge. Non  par choix,  plutôt par obligation. Les garçons ne s'intéressent pas à moi.

Je suis une jeune fille réservée et très complexée, de ma par mon poids.

La dernière fois que je suis montée sur la balance, c'était le jour de mes 18 ans, il y a 4 mois, j'ai lu 92 kgs. Depuis,  j'ai fichu la balance à la poubelle, résignée à rester telle que je suis, grosse et seule.

Mais voilà qu'il y a 1 mois, j'ai fait connaissance sur le forum d'un homme de 56 ans, plus vieux que mon père mais tellement plus ouvert d'esprit.
Au début, son âge me rebutait assez, mais sa gentillesse, son attrait pour les femmes fortes ont finalement eu raison de ma réticence.
Nous échangeons chaque jour, il ne cesse de me répèter qu'il est tombé amoureux, alors que jamais nous ne sommes vus, je n'ai pas de Cam, lui non plus. Il m'a juste envoyé une photo. Un homme mûr, séduisant, d'un aspect encore jeune.

Et voilà, après 1 mois de dialogues intenses, je le vois après demain. Alors je panique, Paul  a quand même 3 fois mon âge, mais très vite je me souviens de la douceur de ses mots, et puis c'est juste une rencontre amicale.

Le jour J, je me retrouve devant ma penderie, désespérée rien ne va, j'ai honte de mon corps boudiné dans mes vêtements, je m'angoisse à l'idée qu'il me trouve grassouillette, même si c'est la vérité.
Je finis par opter pour une robe noire et des collants opaques de la même couleur, les sous vêtements sont blancs, maman refuse de m'acheter des choses un peu sexys, voir juste féminines.
Une écharpe pailletée relève le noir. Puis je prends le bus pour descendre à l'arrêt proche de la place convoitée.

De loin, j'aperçois la Scénic, mon coeur bats plus vite. J'ai presque envie de faire demi tour. Devant la voiture aux vitres teintées, la porte s'ouvre immédiatement.

- Entre vite, il fait froid.

D'un coup, je m'assois lourdement sur le siège, la voiture démarre en trombe aussitôt. Je regarde Paul, gênée. 
L'homme paraît beaucoup plus vieux que sur la photo, c'est vraiment flagrant, je suis déçue de le trouver quelconque, presque chauve, le visage rougeâtre. Je me rends compte que la photo reçue devait dater de plusieurs années.

- Comment vas tu ? Je suis très heureux de pouvoir enfin te voir.

Je m'enfonce dans mon siège, ne sachant que dire, j'ai envie de partir, je n'ose lui dire sans le vexer. Il roule à vive allure. Je racle un peu ma voix et lui demande doucement :

- Ou allons nous ?
- Mais comme prévu, chez moi ! On y est dans 1/4 d'heure. Tu es ravissante, et tes formes me plaisent beaucoup.

Dans sa bouche, je réalise que les mots sont écoeurants tout à coup. Il est vieux, moche. Je veux rentrer.

- Je crois que c'est trop tôt pour une rencontre, je ne suis pas prête. Je voudrais que vous fassiez demi tour.
- Chut, n'aies pas peur, on va apprendre à mieux se connaître, pas de quoi paniquer.

La voiture s'enfonce dans des petits chemins étroits, je ne connais pas cet endroit, aucune idée du lieu. Nous roulons en silence, mes ongles s'enfoncent dans mes paumes, tellement je suis stressée.

Puis la voiture s'arrête devant une maison isolée. 

- Allez Sarah, ne sois pas si peureuse ! Viens vite....

Je sors de la Scénic, un coup d'oeil aux alentours me fait comprendre, que rien aux alentours, ni maisons, ni commerces, seul chemin pour y accéder, ce petit sentier caillouteux.

Je le suis dans la maison, il enlève son pardessus, il n'est pas très grand, plutôt massif.
 
- Donne ton manteau ma jolie, voilà tu seras mieux, tu es très belle.

Je retrouve sa gentillesse, qui m'a tant plu dans ces mails, je suis stupide  d'être aussi suspicieuse.

- Je peux t'offrir un café, un thé, un chocolat chaud.
- Oui je veux bien un chocolat chaud 
- Ok ma princesse. Aassieds toi, j'arrive de suite.

Je l'entend qui s'active en chantonnant, l'air hume le chocolat, les tasses chaudes arrivent. On déguste en silence le breuvage.

- Tu sais, dit il en posant sa tasse vide, tu me plais terriblement, tu es grosse oui, mais bandante.

Je pose ma tasse à mon tour, ennuyée par sa réflexion, je préfère ne rien dire.

- Tu as du chocolat 
là ! Ajoute t-il en s'approchant de moi, son doigt caressant ma lèvre souillée.

Je tressaille, lui se lèche le doigt . Ce geste m'écoeure terriblement. J'ai un peu chaud, la tête me tourne.

- Je voudrais prendre l'air, il fait trop chaud chez vous.
- Oui je vois, tu es rouge, très rouge. Ma chérie, enlève ta robe, mets toi à l'aise, dit il en se levant

Je me sens mal d'un coup, sans force. Je me lève, je titube un peu, je dois m'appuyer sur lui. Dans mon dos, il retire les boutons de ma robe, je proteste faiblement, il me rassure doucement.

- Tu seras mieux, crois moi, voilà ma beauté. Tu es belle,tes courbes sont  merveilleuses.

Rassurée par ses mots adorables, je m'assois sans plus me soucier d'être maintenant en petite tenue.

Ses mains frôlent mes seins. Je suis incapable de lui dire d'arrêter. Je me rends compte qu'il enlève mon soutien gorge, je vois son crane dégarni qui me tètent les seins avec un bruit ignoble.

- Mmm tu es si belle, tu es ravissante. Attends une minute, ma chérie.

Que puis je faire d'autre !
Je dois être malade, un virus ou je ne sais quoi, je n'ai plus de volonté.
Il revient, il me semble qu'il est nu, il enlève ma culotte.

- Laisse moi faire, si tu veux arrêter, tu me le dis, j'arrête aussitôt. Mais essaye de te détendre.

Que puis je faire d'autre !
Je hoche la tête misérablement.

Il écarte mes cuisses, sa langue me lape le sexe, je voudrais lui hurler de cesser, mais j'en suis incapable et puis, c'est bon, cette langue humide qui me lèche là, ou personne ne m'a jamais touché. L'endroit interdit.
Sa langue me fouille, m'aspire, les yeux clos, je me laisse faire....
Je suis consciente que c'est mal, mais je suis sans volonté et c'est si bon, ce que cet homme me fait.
Je suis dans un demi sommeil, le tic tac de la pendule me berce, sa langue s'active toujours sur ma fente, je gémis doucement, quelle douceur, quel bien être, je suis merveilleusement bien.
Les minutes passent, je donne à cet homme plus vieux que mon père, mon intimité la plus totale. Quand  tout à coup mon corps ne m'appartient plus, je tressaille,  l'homme a touché un endroit si sensible, que je ne peux m'empêcher de crier, tant c'est bon. Une plainte qui s'échappe dans un râle.

- "Petite salope", me semble t-il  entendre....

J'ai du mal à percevoir la réalité, tout est si flou.
Puis il me déplace, hisse mes jambes et dépose mes pieds sur ses épaules, je sais que je dois être grotesque dans cette position, je tente de bouger, impossible, seul mon esprit réagit encore un peu, mon corps ne m'appartient plus.

Je le vois devant moi, son sexe tout raide, au gland rouge foncé. Je sais qu'il va me pénétrer...

- Petite salope, je vais te baiser, être le premier. Depuis le temps que je rêve de te faire goûter à ma bite.

Son sexe s'enfonce en moi, d'un coup, puis il s'agite comme un diable. Je me sens telle une poupée de chiffon qu'on agiterait. Je n'ai même pas eu mal, la seule chose que je pense en cet instant répugnant.

- Mmmm t'es bonne, ma grosse, Han han prends ça, regarde tes grosses mamelles qui gigotent Mmmm je vais te remplir la chatte chérie Ahhhhhhhhh

Le vieil homme se retire, reprenant difficilement son souffle, il transpire énormément. Sa queue quitte le vagin inondé, toute molle à présent.
Il s'affale à coté de moi, et sans plus attendre, nous tombons  dans un profond sommeil.

J'ai froid, je me réveille. Il me faut quelques instants pour réaliser, que je suis nue. A mes cotés, Paul endormi, nu lui aussi.  J'ai du mal à rassembler mes idées, je me rends compte avec horreur de la situation, cet homme abusé de moi , j'ai honte, je cherche mes affaires. Entre mes cuisses, du sperme, du sang. Je retiens la nausée qui menace.

Le dénommé Paul a senti que je bougeais et réagit aussitôt.

- Ou vas tu mon ange ?
- Je veux rentrer de suite ? Vous m'avez, vous m'avez violé.......
- Que non chérie, tu as aimé, veux tu voir ?

Il se lève, branche le DVD, et je me vois sur le canapé, les cuisses ouvertes, les yeux mi clos, jouir avec sa langue. La nausée se précise et je cours vomir dans l'évier de cuisine.

Il me rejoint et me caresse les fesses pendant que je régurgite mon repas du midi.

- Allons ma chérie, pas la peine de te mettre dans tous tes états, tu as joui, c'est bien normal à ton âge de connaître le plaisir. Car tu  as pris beaucoup de plaisir. MMmmm Tes fesses sont douces, bien grasses, c'est vrai que tu es énorme, mais moi j'aime les femmes obèses comme toi. On va bien s'entendre.

Je reste au dessus de l'évier, réprimant une autre nausée, je sens ses mains qui  massent mon derrière, qu'il s'arrête par pitié, qu'il s'arrête...
Mais  Paul n'en a guère l'intention. Il s'agenouille et écarte les fesses pour y coller sa langue, sur le petit trou serré.
Je n'ose bouger, les nausées ne me quittent pas. Il me fait écarter les jambes et reprends sa caresse avec sa langue. Jamais je ne n'aurais cru qu'on pouvait lécher de ce coté, un endroit si sale. 
Un doigt se faufile dans mon sexe encore trempé de sperme pendant qu'il me lèche l'anus.
 
C'est abominable et sublime à la fois.

Mes seins sont écrasés sur l'évier froid en alu. Mes idées sont tout à fait claires maintenant mais je ne réagis pas plus que tout à l'heure. 
Son doigt qui me fouille fait un bruit immonde, il s'attarde longuement et je finis par m'avancer sur le doigt sans m'en rendre compte, je me pénètre moi même. 
Il reprend son souffle et me demande tout bas :

- Veux tu ma queue ?

Et je deviens folle car je m'entends dire "oui".

Il se redresse et s'enfonce en moi, presque immédiatement je jouis : 

- Ahhhhhh Ahhh Des spasmes d'un plaisir insoupçonnable inonde mon corps

C'est affolant, déroutant, c'est donc ça le sexe !
 Je ne ressens que mépris pour  ce type mais il me fait connaître des choses tellement inouïes, inimaginables.

- Tourne toi, vite, à genoux !

Je ne comprends pas ce qu'il veut. Je fais demi tour, encore sous le coup de la jouissance, il m'oblige à me mettre sur les genoux, son sexe est luisant, trempé, infâme, près de mes lévres.

- Ouvre ta bouche, dépêche salope !

L'injure me fait tressaillir, il me fait peur. J'ouvre ma bouche, il n'hésite pas, s'y enfonce, la nausée revient, il n'en a cure, quelques mouvements, et un jet immonde envahit ma bouche

- Non, reste, dit il en bloquant ma tête, Mmmmmmmmmm Ouiiiiiiiiiiiii Avale tout Ahhhh que c'est bon

Il se retire enfin. Je m'écroule sur le carrelage glacial. Ecoeurée du goût âcre dans ma bouche.

- Allons chérie, arrête de chouiner, tu sais c'est comme ça pour toutes les femmes !!!  Va t'habiller trésor, je te ramène.

Je remets mes vêtements évitant de le voir qui en fait autant. Alors c'est vraiment ça, coucher avec un homme, moi si naïve, je sais maintenant...!
Je le regarde enfin, il est vieux, il est moche, mais lui seul veux bien de moi. 

- On se retrouve mercredi, Ok ma beauté ? Demande t-il
- Vous êtes fou, JAMAIS !
 

Il rit.

- Ok chérie, comme tu voudras.

1/2 heure plus tard, je suis sur mon lit, réfléchissant à mon après midi. Quelle honte, comment en parler à quiconque !

Plus jamais, plus jamais avec ce monstre.... Plus jamais, j'irais sur ses forums....

Pourtant  dès le lendemain, je ne résiste pas à lire mes messages, juste les lire.

Un seul mail de Paul :

 [ Ma chérie adorée, j'espère que tu changeras d'avis et que je te retrouverais bientôt. Tu as fais de moi le plus heureux des hommes. Tu es une jeune femme magnifique, séduisante et tu es faite pour l'amour. Rejoins moi, même heure, même RV mercredi.
Si tu ne viens pas amour, je ne t'ennuierais plus jamais. Ton amoureux. ]

Partagée entre le dégoût et la flatterie, je lis et relis ce mail des dizaines de fois.
Pourtant non, je ne répondrais pas, je n'irais pas. JAMAIS.
 

Le début de semaine est difficile, les moqueries pendant les cours de sport sont difficiles à supporter.
Je ne peux m'empêcher, de penser à Paul, qu'il  a des sentiments pour moi, qu'il a envie de moi, de mon corps.

Je me sens si seule....
 

Le mercredi arrive, je touche à peine à mon repas du midi, et comme toujours les railleries fusent, même à la maison.
 

- "Tu fais régime", se moque mon père !

Évidemment cela fait rire tout le monde. Je quitte la table. Dans ma chambre, je décide brusquement de me rendre au RV.

Vêtue d'une jupe, pull et bottes. Je quitte la maison pour rejoindre Paul.
Il est là, nous roulons à vive allure. Je sais cette fois ce qui m'attend.

- Je t'ai manqué un peu chérie ? Toi énormément, je n'ai pensé qu'à toi.

Sa main droite caresse ma cuisse. Je le regarde du coin de l'oeil, il a l'air aux anges. Le visage toujours aussi rouge, une barbe naissante le vieillit davantage.

La voiture s'arrête devant la maison.
Il me prend la main et nous entrons dans sa demeure.

- Enlève ton manteau ma beauté, d'ailleurs enlève tout.
- Non pas tout, ça me gêne, vous le savez !
- Allons, je veux te voir à poil ! Ne fais pas l'enfant, une vraie femme ne se comporte pas ainsi, dit il froidement ! Tu es si belle nue, ajoute t-il doucement.

Je retire lentement ma jupe, mon pull, les bottes. Rien que de me trouver en petite tenue, je me sens mal. Lui dans le fauteuil, ne bouge pas.
Je continue, le soutien gorge et le slip. Je me sens énorme, mes seins sont gonflés comme jamais. Je frissonne sous son regard perçant.

- Tourne toi, montre ton cul, penche toi, les mains sur le sol, s'il te plaît ! 

Je ne suis pas très souple, mais je fais ce qu'il veut, la position est inconfortable, humiliante.

- Bien, écarte tes fesses maintenant ! Mmmm quel cul, tu as ! Une vraie jument

Je relâche, vexée par ses paroles.

- Écarte, obéis moi, ne sais tu pas qu'une femme doit obéir à son amant ?

J'ai mal au dos, la tête me tourne, je m'écarte comme il  veut. Le temps dans cette position dégradante, me semble bien long.

- Bien ma chérie, redresse toi. Assieds toi sur le canapé, les cuisses écartées au maximum.

J'obéis encore. 
Il se dévêt à son tour.
Il a du ventre, la peau fripée sur le torse. Son sexe est flasque, les couilles pendantes.

Il s'agenouille devant moi.

- Embrasse moi !

L'idée de  sa langue dans ma bouche me révulse, mais déjà sa bouche écrase  la mienne, nos langues se mélangent.
Sa langue est baveuse, pénétrante. Ce baiser m'écoeure.

- Mmmm après avoir embrasser le haut, je vais embrasser le bas, écarte bien tes cuisses, je vais te faire jouir.

Sa tête disparaît sans attendre davantage entre mes cuisses, je ne vois plus que son crâne dégarni.

Sa langue baveuse, caresse ma vulve avec délice. Je ne veux pas penser à l'homme qui me fait cette caresse, juste à sa langue qui sait me faire, tant de bien.
Paul plie mes jambes sur le canapé, la position est moins confortable, mais du même coup, il peux voyager de ma chatte à mon cul et l'effet est terrible. Je gémis déjà, les sons s'échappent involontairement de ma bouche. Est ce que toutes les femmes ressentent ça, je me pose la question, c'est si merveilleux.

Soudain alors qu'il lèche copieusement un endroit bien précis, je ne peux me contenir davantage, un orgasme fulgurant me submerge et je crie tant cela est intense.

- Ouiiiii ahhhhhhhhh ahhhhhhhh

C'est tellement bon, incontrôlable.

Paul se redresse, le visage rouge écarlate, humide de mes sécrétions et de sa salive. Il est hideux.

- Tu aimes ça toi ! Tu vois que tu es faite pour le cul, j'adore te bouffer la chatte, te lécher le clito ma grosse. Tourne toi.

Je lui obéis, pensant qu'il va continuer ses caresses qui me mettent dans des états incroyables.

Je me tourne, mes seins pendent, indécents. Je sais que mon ventre grassouillet pendouille également, j'ai honte.
Lui n'a même pas l'air de s'en rendre compte.
Il a recommencé à me lécher, il ne quitte plus mon anus, je sais que je me suis lavée longuement mais je ne peux m'empêcher de penser, que c'est un endroit sale.
Ma tête dans le canapé, j'ai  les fesses relevées. C'est au moment où je le sens enfoncer un doigt dans mon petit trou, que je tente de me redresser

- Aïe, non, faites pas ça, ça fait mal !

Mais Paul a plus de force que moi, la rondouillarde engoncée dans un canapé profond.

- Tais toi, je vais te faire goûter à autre chose, un gros cul pareil !!! Je vais t'enculer ma grosse

Je sais évidemment ce que cela veut dire, mais pas question, j'ai toujours été dégoûté par la vision de photos de sodomie ...

- Non, pas ça...!
- Trop tard ma belle, fallait pas me rendre dingue avec ton cul, Mmmmmmm voilà ma bite, j'arrive pour te défoncer le trou du cul

Avec horreur, je sens son sexe déchirer ma chair, je hurle quand il s'enfonce en moi, sentant le passage de sa queue par palier, au fur et à mesure qu'il me défonce.

- Mmmmmm  ferme la, t'es trop bonne, si serrée sur ma bite, bouge pas salope, je t'encule ouiiiiiiiiiii

Je ne bouge plus, limitant la douleur, il est au fond de mes entrailles désormais et se mets à coulisser doucement en moi, puis plus vite, je n'en peux plus, je voudrais qu'il s'arrête. Il accélère encore, je sens ses couilles sur mes fesses.

- T'es bonne, je t'encule à fond, je vais remplir ton cul de vache Ahhhhhh ouiiiii je jouis  !!!!!!! MMMMmmmmmmmm

Puis il s'arrête enfin, me libère. Je suis anéantie. Mon cul est en feu.

- Tu verras beauté, tu y prendras goût, les femmes ont toujours mal la première fois.

Je réfléchis, c'est pourtant vrai que sur les photos, les femmes n'avaient pas l'air de souffrir, au contraire. Je décide alors naïvement de lui faire confiance, il a l'expérience, moi non.

- Mmmm chérie, tu m'as épuisé, je vais faire un somme pour être en forme pour toi. Fais en autant, mon ange.

Je le regarde s'endormir sur le canapé. Je dois aller aux petits coins, je décide de chercher moi même où se trouve les toilettes, alors que je l'entends ronfler.

Une fois que je me suis soulagée. j'enfile mon pull et décide de visiter la maison.
Une maison au mobilier vieillot.
Les pièces sont assez poussiéreuses.
Je me retrouve devant une porte fermée, curieuse j'ouvre et pénètre dans une grande pièce.
 
Sur le mur plusieurs photos obscènes de femmes très grosses qui se font baiser par des hommes, tous des vieux, voir très vieux. 
Paul est parmi ses hommes. Les femmes sont toutes très occupées, les photos sont répugnantes et des gros plans sont partout. C'est bien dans cette pièce apparemment, qu'a eu lieu ses moments de débauches.

Je me sens mal d'un seul coup. 
Je note le lit énorme, ainsi qu'une penderie, je ne peux m'empêcher d'ouvrir la porte qui grince, à l'intérieur, des nuisettes et autres combinaisons transparentes, vulgaires. 

- Alors chérie, on visite ?
- Je, je suis désolée, je cherchais les toilettes ! Mais c'est quoi, tout ça ??
- Tu sais, j'ai des amis qui aiment s'amuser, on fait parfois des petites soirées, quand on a des jeunes femmes qui aiment le sexe, et qui aiment prendre du plaisir comme toi.
- Comme moi ? Mais non  jamais, je ne pourrais faire ça !
- Alors c'est que tu n'es qu'une pauvre gamine qui n'a rien compris, retourne donc avec tes boutonneux qui ne te regardent pas, qui refusent de te baiser ! Ajoute l'homme méprisant.

Je pleure d'un seul coup, Paul me prend dans ses bras.

- Allons  chérie, ne t'occuppe pas des apparences, fais comme tu le sens, mes amis sont gentils, ils aiment le plaisir et avec nous, tu apprendras beaucoup.

Il m'embrasse le visage, me dit qu'il m'adore. Nous nous retrouvons sur le lit, il me berce, me caresse, me tête les seins, j'adore ça.
Je ferme les yeux. J'oublie tout, la pièce, Paul, ces photos. Sa bouche fait des miracles sur mon corps.

- Caresse ma queue, chuchote t-il

Je le branle doucement, comme si j'avais toujours fait ça, sans complexe. Il grossit rapidement.

- Viens sur moi, chérie, viens prendre ton plaisir

Je l'enfourche, et sa queue s'enfonce en moi, je m'agite sur son sexe, mes seins et mon gros ventre  se déplacent en vague.

- Ouii chérie, baise moi, tu aimes la bite !!!! Mmmm tu es une bonne salope, je t'adore Mmm tu es bonne

Ses paroles qui devraient me vexer, me font l'effet inverse, c'est vrai, j'aime avoir un sexe en moi, j'aime jouir.
Je coulisse sur la pine dressée, il malaxe mes seins, triture mes tétons.

- Quels nichons, tu as !!!!! Mmm baise moi bien

J'accélère, je halète. Sa queue frotte mon clito à chaque montée et descente, je n'en peux plus, la bouche ouverte, je manque d'air, soudain je sens l'orgasme qui arrive et je hurleeeee

- ça vient , ouiiiiii oh ouiiiiiiiiiiii c'est bon ohhhhhh

Paul excité, de la voir ainsi perdre toute fierté, se soulage et vide ses couilles une seconde fois, dans sa nouvelle proie.
Il pense qu'il a encore atteint son but et que bientôt se profilera une bonne soirée de partouze avec les potes.
Cette salope est au delà de ses espérances. Il ne lui aura pas fallu longtemps pour faire ce qu'il veut d'elle.
Une frustrée du cul. Les pires salopes.......

- Tu es vraiment merveilleuse mon amour, je t'aime, tu sais ! Dit l'ignoble individu.

1/2 heures plus tard, ils prendront le chemin du retour.

- A bientôt, mon ange ! Mais réfléchis à tout ce que je t'ai dit, il n'y a rien de mal à aimer le sexe, tu sais.....

Je me tais, guère convaincue. Les photos sur le mur m'ont déplu, vraiment !

Les jours se succèdent et plus de nouvelles de Paul, mes mails restent sans réponse, je ne comprends pas. Je me rends compte que si je n'aime pas cet homme, le sexe me manque, c'est indéniable, maintenant que j'y ai goûté.

8 jours, rien ! Je perds l'appétit. Je ne supporte plus le lycée.

C'est à 2 heures du matin, que je lui envoie le  23 ème mail en 8 jours, mais celui ci dira juste :

[ Je veux te revoir, je suis partante pour tout ! ]

En me levant, je me précipite sur ma boite, une réponse m'y attend  :

[ Demain 14 h, même endroit ! ]

A suivre......

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