LE BUS

Tous les jours de la semaine, je  prend le bus pour aller travailler.
1/2 heure de bus le matin et le soir, à une heure d'influence est une corvée, dont je me passerais bien. Mais je viens de trouver un emploi après 1 an de chômage. Pas question d'acheter une voiture dans l'immédiat.
Pas de congés non plus..  C'est pourtant le mois de juillet, et le temps est déjà chaud, en ce tout début de matinée. 
J'ai  choisi  une robe légère à fines bretelles, certes la robe est plus conçue pour la plage que pour le bureau, mais en journée, la température atteint les 35°, ce qui me  permet cette audace.

7h30
J'entre dans le bus en soupirant, déjà plein à cette heure si matinale, d'un mois d'été.
Malgré la chaleur, il faut se serrer les uns contre les autres, trouver une barre pour se tenir.
 
Je  trouve une petite place, mais le prochain arrêt bonde un peu plus le bus, je suis totalement  coincée. Les odeurs de transpiration m'incommode, quelle galère !
De plus,  la personne derrière moi, se frotte beaucoup trop à mon goût. 
Je  tente de me soustraire à ce frottement, mais peine perdue, pas de place.
A mes cotés, une vieille dame entame la conversation sur le manque de savoir vivre de certains, pas un ne lui a laissé une place.
Je  répond  poliment, l'esprit ailleurs, le frottement s'est mué en caresse légère sur ses fesses, j'en suis certaine.
Une nouvelle fois, j'essaie de bouger...

- Non, ne bougez pas mon enfant, je me tiens à votre bras, si vous me permettez.

- Oui bien sûr Madame, allez y,  attention aux coups de frein, lui dis je poliment
 

Ma voix tente de rester naturelle, mais je m'affole. Derrière moi, tout se déchaîne, la main puissante a quitté le tissu pour passer sous ma robe, la main  malaxe mes fesses.
Je rougis de honte, je ne peux que subir alors que la grand mère ne cesse de parler maintenant :

- Quelle chaleur, n'est ce pas ! Il paraît que................etc

Je lui répond comme je peux. La situation devient dramatique, j'ai envie de hurler ! Mais je me tais, je n'ose pas dans ce bus surpeuplé.
Personne ne me regarde, les gens indifférents n'imaginent pas, que derrière moi, un individu a passé sa main sous ma petite culotte.
Je maudis ma tenue.
Un coup de frein puissant, me déstabilise davantage, les jambes plus écartées, la main se faufile sans hésiter, sous le string.
Je hurle en silence, la vieille dame continue de papoter inlassablement, se tenant fixement à mon bras.
Je sens que l'on arrache mon string qui tombe à terre dans l'indifférence la plus totale. 
Le souffle de l'homme est perceptible, il doit jubiler de me sentir si loquace.
Ses doigts s'aventurent sur ma fente, je gémis doucement, pour lui seul :

- Non, je vous en prie..... !

- ...... ? Qu'avez vous dit mon enfant, je suis un peu sourde, je n'ai pas compris
- RIEN Madame, juste qu'il fait chaud !

La dame reprend de plus belle ses bavardages futiles. Alors que les doigts entrent en action, je transpire de plus en plus, l'inconnu caresse mon sexe bouillant et humide. 
La vieille dame bavarde ne me lâche pas le bras et je suis dans l'impossibilité de bouger, juste de subir.
La caresse de mon agresseur se fait plus précise, ce salop glisse sur mon clito qui n'en peux plus du traitement affligé.
J'ai chaud, la bouche sèche, je tente de contrôler la situation mais il est le maître, il en est bien conscient.
 
Soudain tout dérape, je sens l'orgasme qui monte, inexorablement.... Tentant de réprimer un cri sous l'orgasme, je gémis malgré moi, tant c'est bon.

- Vous vous sentez bien, mon enfant ? S'inquiète la vieille dame
-  Oui ça va.. Je lui réponds sèchement

Celle ci un peu surprise de mon ton sec, se tait un instant, avant de reprendre volubile, ses jacasseries.

Dans mon dos, il chuchote :

- ça t'a plus ? Tu me fais bander..... Tu la sens ?

Le type a apparemment sorti son sexe et me caresse les fesses avec,  ma robe toujours relevée.
Il est fou, je suis tombée sur un satyre qui doit être ravi de m'avoir fait jouir malgré moi.
A nouveau je tente de bouger, mais un autre arrêt, et d'autres personnes montent, impossible de remuer.

Son sexe court sur mes fesses nues, l'homme est quasiment de ma taille.  Effarée je sens qu'il bande, sa queue dure, glisse sur ma raie, sur ma vulve trempée.

Non, il n'oserait pas me pénétrer. C'est impossible......

Je n'en peux plus de la vieille dame qui parle constamment, pourtant je répond par monosyllabe.

Quand tout à coup, mon agresseur cherche à s'enfoncer dans mon vagin. Mes jambes entrouvertes pour garder l'équilibre, lui facilite l'accès.
Étant apparemment bien pourvu, il s'enfonce en moi, se collant plus encore, à mon dos.

Sa queue investit ma chatte, s'en suit immédiatement un doux va et vient,  ce monstre se tient à mes hanches et contrôle tout.
Il me viole et je ne ressens que bien être et plaisir avec son sexe en moi, je mouille comme jamais, il me baise quelques minutes dans le brouhaha du bus, la foule autour de nous.
Je ne peux pas résister plus longtemps à cette queue puissante et je jouis une nouvelle fois, pendant qu'il explose en moi.

- Ohh non  Mmm..... 
- T'es bonne MMmm siffle t-il à mon oreille en se vidant les couilles

Puis aussi rapidement qu'il y est entré,  il se retire, me laissant souillée de sperme, qui rapidement, s'écoule sur mon entrejambe.

Mes cheveux sont collés à mon visage, je suis suffoquée par ce qui vient de se dérouler.
Nouvel arrêt, la vieille dame me remercie et me salue, elle descend ainsi que plusieurs personnes.
Je respire  et je peux remuer, derrière moi  personne, ce salop a quitté le bus.

Sur le sol, mon string sale et piétiné.

Je reprend mes esprits et réalise enfin le geste de cet individu, puis je dire que je viens d'être violée, alors qu'il me suffisait de crier, et surtout  que j'ai joui par 2 fois avec ce type.
Je m'assoie et tente, cachée par mon sac à main, d'essuyer le sperme de cet homme. 

Dans l'état ou je suis, sans petite culotte, la chatte souillée. J'hésite à aller travailler, pourtant je ne peux guère m'absenter.
Je décide de me nettoyer sommairement dans les toilettes au bureau, pour la petite culotte, j'irais vite fait au magasin du coin pendant ma pause, en espérant que personne ne se rende compte de rien.

Pendant les jours qui suivent, je tremble en prenant le bus, tentant toujours de me trouver une place près de la sortie.
Mais plus jamais, je n'ai eu ce genre d'expérience  malheureuse (ou heureuse).  

Présentation

Mon premier blog

Pour ceux qui ne connaissent pas encore, venez  lire mes histoires cochonnes, sur mon 1er blog !

 

http://histoires-de-cul.over-blog.com/

Vos visites !


outils webmaster

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus